L’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal (UNSAS) se dit ‘’prête à s’engager avec les autres centrales syndicales pour constituer un large front’’ au vu de ‘’la situation critique qui prévaut dans le pays’’, indique un communiqué transmis à l’APS.
Il s’agit, précise la centrale syndicale, ‘’d’exiger du gouvernement le respect des droits humains, la préservation de la paix civile et l’amorce d’un dialogue franc et sincère avec l’ensemble des forces vives du pays’’.
A cet égard, elle a ‘’condamné énergiquement’’ la répression des manifestants par les forces de l’ordre avec comme conséquences des ‘’morts d’hommes à Dakar et à Podor.’’
De même, elle dénonce ‘’la violation de la Constitution et la tentative de confiscation des libertés des citoyens […]’’.
Selon l’’UNSAS, des ‘’menaces lourdes’’ pèsent sur notre système démocratique, ’’considéré jadis comme ‘’la vitrine de la démocratie en Afrique.’’
‘’Au plan social, c’est une situation catastrophique que vivent les populations éprouvées par la cherté de la vie ponctuée par une montée vertigineuse des prix des produits de base et la sur-taxation des produits pétroliers et dérivés’’, s’indigne-t-elle.
A cela, s’ajoute un ‘’blocage du système éducatif de tous les ordres d’enseignement confondus (…) qui réclament l’application des accords signés entre le gouvernement et les syndicats.’’
‘’Sur toutes ces questions, l’UNSAS est prête à s’engager avec les autres centrales syndicales afin d’exiger du gouvernement le respect des droits humains, la préservation de la paix civile et l’amorce d’un dialogue franc et sincère avec l’ensemble des forces vives du pays.’’
Il s’agit, précise la centrale syndicale, ‘’d’exiger du gouvernement le respect des droits humains, la préservation de la paix civile et l’amorce d’un dialogue franc et sincère avec l’ensemble des forces vives du pays’’.
A cet égard, elle a ‘’condamné énergiquement’’ la répression des manifestants par les forces de l’ordre avec comme conséquences des ‘’morts d’hommes à Dakar et à Podor.’’
De même, elle dénonce ‘’la violation de la Constitution et la tentative de confiscation des libertés des citoyens […]’’.
Selon l’’UNSAS, des ‘’menaces lourdes’’ pèsent sur notre système démocratique, ’’considéré jadis comme ‘’la vitrine de la démocratie en Afrique.’’
‘’Au plan social, c’est une situation catastrophique que vivent les populations éprouvées par la cherté de la vie ponctuée par une montée vertigineuse des prix des produits de base et la sur-taxation des produits pétroliers et dérivés’’, s’indigne-t-elle.
A cela, s’ajoute un ‘’blocage du système éducatif de tous les ordres d’enseignement confondus (…) qui réclament l’application des accords signés entre le gouvernement et les syndicats.’’
‘’Sur toutes ces questions, l’UNSAS est prête à s’engager avec les autres centrales syndicales afin d’exiger du gouvernement le respect des droits humains, la préservation de la paix civile et l’amorce d’un dialogue franc et sincère avec l’ensemble des forces vives du pays.’’
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