Décision du Conseil constitutionnel
D'abord il faut reconnaître que le président Macky Sall a tenu sa promesse et a respecté ses engagements jusqu'au bout. C'est parce que c'est un président courageux que lorsqu'il a proposé les 15 points de réformes constitutionnelles, il y a mis la proposition de réduction de son mandat de 7 à 5 ans. Maintenant, lui, en tant que président de la République, il ne pouvait que proposer. Ce sont les cinq sages qui sont chargés de prendre les décisions par rapport à la Constitution. Une Constitution est sacrée dans la mesure où elle définit la charte d'un pays, alors les sages ont une lourde tâche qui est aussi importante. Raison pour laquelle, elle doit être verrouillée pour que quiconque arrive au pouvoir, ne pourra changer les textes qui la régissent. Le président Macky Sall, soucieux de l'avenir du pays, voulant la stabilité et consolidé la démocratie, avait pris la ferme volonté de réduire son mandat.
Ceci a été sa volonté et son vœu le plus sincère. Il avait prêté serment pour 7 ans tout en soulignant qu'il allait garantir et protéger la Constitution. Comment quelqu'un élu pour 7 ans mais qui a décidé de réduire son mandat avant que le Conseil Constitutionnel ne l'invalide peut-il être traité d'avoir fait du "wax waxeet". Le président Macky Sall n'a pas fait du "wax waxeet".
On pouvait parler de wax waxeet si dans les 15 points de réforme, il n'avait pas mis la proposition de réduction du mandat. Mais puisqu'il l'a fait, cela montre sa volonté d'emmener le Sénégal sur les rampes de l'émergence. Mais le Conseil Constitutionnel a pris sa décision, nous nous plions à cette décision là. Maintenant, la seule possibilité étant la démission, nous lui conseillons pas. On veut pas qu'il démissionne parce qu'il a été élu pour 7 et non pour 5 ans.
Non respect de sa promesse électorale : Une trahison?
Il faut que les gens arrêtent de spéculer pour rien. Il a pris des engagements et il a tout fait pour les respecter. Maintenant, on peut pas parler de trahison d'autant plus que c'est le Conseil Constitutionnel qui a invalidé sa proposition.
Ceux qui parlent de trahison sont ces politiciens là qui sont pressés d'arriver au pouvoir. Ce n'est pas en étant pressé qu'on te confie un pays. Quand on est dans un pays, on doit travailler et attendre son tour pour être servi. Il faut que les gens arrêtent de parler pour ne rien dire. Macky Sall n'a pas trahi les sénégalais et ça tous les sénégalais le savent.
Et je suis sûr que tous ceux que tu vois en train de parler de trahison, ç'aurait été eux, jamais ils ne tenteraient de réduire leur mandat. Alors il faut qu'ils soient sérieux et qu'ils aillent travailler. La décision du Conseil Constitutionnel est à respecter car nous ne cautionnerons jamais qu'on trahisse le pays. Macky Sall est un homme de parole et de convictions. Jamais il ne ferait ça aux sénégalais. Il faut que les gens retournent au travail et qu'ils arrêtent de parler.
Les points de réforme sont pour une consolidation des institutions et pour une bonne marche de notre démocratie. Je me rappelle en 2012, quand le Conseil Constitutionnel avait validé la candidature de Me Wade, Macky Sall lui-même m'a dit avec mon frère Serigne Alioune Mbacké qu'il fallait respecter la décision du Conseil et aller aux élections. On s'est expliqué qu'il fallait accepter et aller de l'avant pour une bonne marche de la démocratie au Sénégal.
S'il avait pas accepté cela et battu campagne, jamais il ne serait sans doute président de la République. Le Sénégal n'appartient pas aux politiciens, il faut qu'ils aillent au travail.
Puisque la décision est tombée, ils doivent retourner travailler et le laisser terminer. Maintenant si en 2019 ils peuvent prendre le pouvoir, Macky Sall et Cie accepteront la volonté divine car le pouvoir c'est Dieu qui le donne pas les hommes. Le pouvoir c'est Dieu qui le donne, pas les hommes, la preuve parmi tous les millions de sénégalais, Dieu l'a choisi lui, c'est pas un hasard.
Pour terminer, je vous dis juste que nous nous préparons à aller au référendum et faire adopter les points de réformes constitutionnelles.
D'abord il faut reconnaître que le président Macky Sall a tenu sa promesse et a respecté ses engagements jusqu'au bout. C'est parce que c'est un président courageux que lorsqu'il a proposé les 15 points de réformes constitutionnelles, il y a mis la proposition de réduction de son mandat de 7 à 5 ans. Maintenant, lui, en tant que président de la République, il ne pouvait que proposer. Ce sont les cinq sages qui sont chargés de prendre les décisions par rapport à la Constitution. Une Constitution est sacrée dans la mesure où elle définit la charte d'un pays, alors les sages ont une lourde tâche qui est aussi importante. Raison pour laquelle, elle doit être verrouillée pour que quiconque arrive au pouvoir, ne pourra changer les textes qui la régissent. Le président Macky Sall, soucieux de l'avenir du pays, voulant la stabilité et consolidé la démocratie, avait pris la ferme volonté de réduire son mandat.
Ceci a été sa volonté et son vœu le plus sincère. Il avait prêté serment pour 7 ans tout en soulignant qu'il allait garantir et protéger la Constitution. Comment quelqu'un élu pour 7 ans mais qui a décidé de réduire son mandat avant que le Conseil Constitutionnel ne l'invalide peut-il être traité d'avoir fait du "wax waxeet". Le président Macky Sall n'a pas fait du "wax waxeet".
On pouvait parler de wax waxeet si dans les 15 points de réforme, il n'avait pas mis la proposition de réduction du mandat. Mais puisqu'il l'a fait, cela montre sa volonté d'emmener le Sénégal sur les rampes de l'émergence. Mais le Conseil Constitutionnel a pris sa décision, nous nous plions à cette décision là. Maintenant, la seule possibilité étant la démission, nous lui conseillons pas. On veut pas qu'il démissionne parce qu'il a été élu pour 7 et non pour 5 ans.
Non respect de sa promesse électorale : Une trahison?
Il faut que les gens arrêtent de spéculer pour rien. Il a pris des engagements et il a tout fait pour les respecter. Maintenant, on peut pas parler de trahison d'autant plus que c'est le Conseil Constitutionnel qui a invalidé sa proposition.
Ceux qui parlent de trahison sont ces politiciens là qui sont pressés d'arriver au pouvoir. Ce n'est pas en étant pressé qu'on te confie un pays. Quand on est dans un pays, on doit travailler et attendre son tour pour être servi. Il faut que les gens arrêtent de parler pour ne rien dire. Macky Sall n'a pas trahi les sénégalais et ça tous les sénégalais le savent.
Et je suis sûr que tous ceux que tu vois en train de parler de trahison, ç'aurait été eux, jamais ils ne tenteraient de réduire leur mandat. Alors il faut qu'ils soient sérieux et qu'ils aillent travailler. La décision du Conseil Constitutionnel est à respecter car nous ne cautionnerons jamais qu'on trahisse le pays. Macky Sall est un homme de parole et de convictions. Jamais il ne ferait ça aux sénégalais. Il faut que les gens retournent au travail et qu'ils arrêtent de parler.
Les points de réforme sont pour une consolidation des institutions et pour une bonne marche de notre démocratie. Je me rappelle en 2012, quand le Conseil Constitutionnel avait validé la candidature de Me Wade, Macky Sall lui-même m'a dit avec mon frère Serigne Alioune Mbacké qu'il fallait respecter la décision du Conseil et aller aux élections. On s'est expliqué qu'il fallait accepter et aller de l'avant pour une bonne marche de la démocratie au Sénégal.
S'il avait pas accepté cela et battu campagne, jamais il ne serait sans doute président de la République. Le Sénégal n'appartient pas aux politiciens, il faut qu'ils aillent au travail.
Puisque la décision est tombée, ils doivent retourner travailler et le laisser terminer. Maintenant si en 2019 ils peuvent prendre le pouvoir, Macky Sall et Cie accepteront la volonté divine car le pouvoir c'est Dieu qui le donne pas les hommes. Le pouvoir c'est Dieu qui le donne, pas les hommes, la preuve parmi tous les millions de sénégalais, Dieu l'a choisi lui, c'est pas un hasard.
Pour terminer, je vous dis juste que nous nous préparons à aller au référendum et faire adopter les points de réformes constitutionnelles.