Une violente explosion s'est produite près de la principale gare routière de la ville au passage d'un car de police, a-t-on indiqué de source de sécurité locale. Cette attaque survient à la veille d'une visite du Premier ministre Ahmet Davutoglu dans la ville. De nombreuses ambulances ont été dépêchées sur les lieux.
Attentat à la voiture piégée
Selon l'agence de presse Dogan, il s'agit d'un attentat à la voiture piégée mais cette information n'a pas été confirmée de source officielle dans l'immédiat.
Les forces de sécurité turques mènent depuis plusieurs mois des opérations d'envergure contre les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans plusieurs quartiers de cette ville et dans le sud-est anatolien en général, où le PKK a lancé un "soulèvement" dans les zones urbaines.
Alerte maximale
La Turquie vit depuis plusieurs mois en état d'alerte renforcée en raison d'une série inédites d'attaques attribuées aux djihadistes ou liées à la reprise du conflit kurde. La dernière, un attentat suicide attribué par les autorités turques au groupe Etat islamique (EI), a frappé le coeur d'Istanbul le 19 mars sur l'avenue commerçante Istiklal, tuant quatre touristes étrangers et blessant une trentaine de personnes.
Après plus de deux ans de cessez-le-feu, le conflit kurde a repris l'été dernier. Des affrontements opposent les forces de sécurité aux rebelles du PKK dans de nombreuses villes du sud-est anatolien placées sous couvre-feu. Ils ont fait de nombreuses victimes dans les deux camps et tué des dizaines de civils.
Erdogan veut "détruire" le PKK
Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a affiché à plusieurs reprises sa volonté ferme de "détruire" le PKK, dont les bases arrières situées dans le nord de l'Irak sont régulièrement pilonnés par l'aviation turque.
Attentat à la voiture piégée
Selon l'agence de presse Dogan, il s'agit d'un attentat à la voiture piégée mais cette information n'a pas été confirmée de source officielle dans l'immédiat.
Les forces de sécurité turques mènent depuis plusieurs mois des opérations d'envergure contre les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans plusieurs quartiers de cette ville et dans le sud-est anatolien en général, où le PKK a lancé un "soulèvement" dans les zones urbaines.
Alerte maximale
La Turquie vit depuis plusieurs mois en état d'alerte renforcée en raison d'une série inédites d'attaques attribuées aux djihadistes ou liées à la reprise du conflit kurde. La dernière, un attentat suicide attribué par les autorités turques au groupe Etat islamique (EI), a frappé le coeur d'Istanbul le 19 mars sur l'avenue commerçante Istiklal, tuant quatre touristes étrangers et blessant une trentaine de personnes.
Après plus de deux ans de cessez-le-feu, le conflit kurde a repris l'été dernier. Des affrontements opposent les forces de sécurité aux rebelles du PKK dans de nombreuses villes du sud-est anatolien placées sous couvre-feu. Ils ont fait de nombreuses victimes dans les deux camps et tué des dizaines de civils.
Erdogan veut "détruire" le PKK
Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a affiché à plusieurs reprises sa volonté ferme de "détruire" le PKK, dont les bases arrières situées dans le nord de l'Irak sont régulièrement pilonnés par l'aviation turque.