Le Président de la République, dans son discours adressé à la nation, vient de dissoudre l’Assemblée nationale. « En vertu des pouvoirs qui me sont conférés par l’article 87 de la constitution et après avoir consulté le Conseil constitutionnel sur la bonne date, le Premier ministre et le président de l’Assemblée nationale sur l’opportunité, je dissous l’Assemblée nationale », a déclaré le chef de l’Exécutif qui s’explique sur l’opportunité de cette dissolution.
Le chef de l’État rappelle que la majorité parlementaire a décidé de ramer un compte courant de la volonté du peuple sénégalais qui s’est clairement exprimée au soir du 24 mars 2024. D’abord en refusant de tenir le débat d’orientation budgétaire pour simple supposée attaque sur le terrain politique. Cette violation d’une obligation légale prévue par l’article 56 de la loi organique relative aux lois de Finances a terni l’image du Sénégal aux yeux des institutions internationales. Aussi, ils ont rejeté le projet de loi constitutionnel visant à concrétiser la promesse que j’ai faite au peuple de supprimer le Haut conseil des collectivités territoriales et le conseil économique, social et environnemental, alors que la situation des finances publiques impose urgemment de rationaliser les dépenses publiques. Enfin, cette usurpation des prérogatives constitutionnelles du président de la république pour fixer une date pour la déclaration de politique générale, en violation flagrante de l’article 84 de la constitution et de l’article 97 de l’organique portant règlement intérieur de l’Assemblée, sans parler de la menace, regrette le chef de l’État qui officialise la dissolution de la 14e législature.
Le chef de l’État rappelle que la majorité parlementaire a décidé de ramer un compte courant de la volonté du peuple sénégalais qui s’est clairement exprimée au soir du 24 mars 2024. D’abord en refusant de tenir le débat d’orientation budgétaire pour simple supposée attaque sur le terrain politique. Cette violation d’une obligation légale prévue par l’article 56 de la loi organique relative aux lois de Finances a terni l’image du Sénégal aux yeux des institutions internationales. Aussi, ils ont rejeté le projet de loi constitutionnel visant à concrétiser la promesse que j’ai faite au peuple de supprimer le Haut conseil des collectivités territoriales et le conseil économique, social et environnemental, alors que la situation des finances publiques impose urgemment de rationaliser les dépenses publiques. Enfin, cette usurpation des prérogatives constitutionnelles du président de la république pour fixer une date pour la déclaration de politique générale, en violation flagrante de l’article 84 de la constitution et de l’article 97 de l’organique portant règlement intérieur de l’Assemblée, sans parler de la menace, regrette le chef de l’État qui officialise la dissolution de la 14e législature.