Me Abdoulaye Wade, candidat de la coalition Forces alliées (FAL 2012) à l’élection présidentielle du 26 février prochain, a déclaré dimanche à Mbacké (centre) qu’il avait une mission pour le Sénégal et qu’il la remplirait.
‘’J’ai beaucoup travaillé, j’ai beaucoup fait et j’ai beaucoup de choses en chantier. Donc, il faut que je les termine’’, a notamment dit à Me Wade à un groupe de journalistes dont des occidentaux.
Au sujet de son âge, 86 ans, Me Wade a soutenu : ‘’Que les étrangers le disent, ce n’est pas grave. Que les Sénégalais le disent, c’est un manque de respect. C’est la posture d’un sage. Moi, j’ai une mission au Sénégal et je la remplirai’’.
‘’Vous dites en France qu’on a l’âge de ses artères. Ces gens-là sont plus jeunes que moi, mais qu’on les voit sur le terrain ! C’est un manque de respect aux Sénégalais que de leur fixer des choses. Cela pousse les Sénégalais à me soutenir et les Sénégalais se révolter’’, a-t-il poursuivi.
Concernant la contestation dont sa candidature est l’objet et les violences notées dans le pays, le candidat de FAL 2012 a déclaré : ‘’L’opposition avait brandi la menace que si jamais le Conseil constitutionnel acceptait ma candidature, ils allaient mettre le pays à feu et à sang ensuite si Abdoulaye Wade est élu, le pays va flamber’’.
Le président de la République sortant s’est insurgé contre le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, et la Secrétaire d’Etat Hilary Clinton (Etats-Unis). ‘’Est-ce que vous trouvez normal qu’un ministre d’un pays étranger se mêle de la politique d’un pays pour dire ce que nous allons faire. Je le réfute moi’’.
‘’Qu’est-ce que ces manières-là. On ne peut l’accepter. Aucun sénégalais ne va l’accepter. C’est inacceptable, c’est indécent. Je répondrai éventuellement si Sarkozy avait parlé pour le parallélisme des formes’’, a dit Me Wade.
Le chef d’Etat sénégalais a aussi accusé des responsables politiques et d’autres personnes ont qui contacté des parlementaires membres du Congrès des Etats-Unis.
Selon lui, des sénateurs américains ont également écrit au Département d’Etat pour dire : ‘’Vous avez demandé au président Wade de ne pas se présenter au nom des intérêts américains et pour nous aussi, l’intérêt des Etats-Unis, c’est de continuer la coopération avec le président Wade. Aujourd’hui, c’est un débat aux Etats-Unis’’.
Evoquant la présence de son fils Karim dans la gestion des affaires publiques, Me Abdoulaye Wade a dit : ‘’J’ai un fils qui a une formation particulière qu’on trouve rarement. Diplômé de la Sorbonne en audit et management. Il était dans une grande banque à Londres’’.
‘’Quand j’ai lancé un appel à tous les jeunes du Sénégal en leur disant après vos diplômes, venaient travailler avec moi dans le développement du Sénégal, il a décidé de venir avec sa sœur (Syndiély), j’ai dit non parce que les gens ne comprendraient pas’’, a expliqué le candidat des FAL 2012.
‘’Je lui ai confié (au ministre d’Etat Karim Wade, NDLR) des choses où, a-t-il précisé, plusieurs ministres avaient échoué : la question de l’électricité, des infrastructures. Vous savez moi, je tiens à réaliser de bonnes routes, pas des routes qu’on refait tous les cinq ans. Maintenant, j’ai un fils qui est intelligent, capable de travailler. Je n’ai pas de dauphin, je ne veux pas avoir de dauphin’’.
‘’J’ai beaucoup travaillé, j’ai beaucoup fait et j’ai beaucoup de choses en chantier. Donc, il faut que je les termine’’, a notamment dit à Me Wade à un groupe de journalistes dont des occidentaux.
Au sujet de son âge, 86 ans, Me Wade a soutenu : ‘’Que les étrangers le disent, ce n’est pas grave. Que les Sénégalais le disent, c’est un manque de respect. C’est la posture d’un sage. Moi, j’ai une mission au Sénégal et je la remplirai’’.
‘’Vous dites en France qu’on a l’âge de ses artères. Ces gens-là sont plus jeunes que moi, mais qu’on les voit sur le terrain ! C’est un manque de respect aux Sénégalais que de leur fixer des choses. Cela pousse les Sénégalais à me soutenir et les Sénégalais se révolter’’, a-t-il poursuivi.
Concernant la contestation dont sa candidature est l’objet et les violences notées dans le pays, le candidat de FAL 2012 a déclaré : ‘’L’opposition avait brandi la menace que si jamais le Conseil constitutionnel acceptait ma candidature, ils allaient mettre le pays à feu et à sang ensuite si Abdoulaye Wade est élu, le pays va flamber’’.
Le président de la République sortant s’est insurgé contre le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, et la Secrétaire d’Etat Hilary Clinton (Etats-Unis). ‘’Est-ce que vous trouvez normal qu’un ministre d’un pays étranger se mêle de la politique d’un pays pour dire ce que nous allons faire. Je le réfute moi’’.
‘’Qu’est-ce que ces manières-là. On ne peut l’accepter. Aucun sénégalais ne va l’accepter. C’est inacceptable, c’est indécent. Je répondrai éventuellement si Sarkozy avait parlé pour le parallélisme des formes’’, a dit Me Wade.
Le chef d’Etat sénégalais a aussi accusé des responsables politiques et d’autres personnes ont qui contacté des parlementaires membres du Congrès des Etats-Unis.
Selon lui, des sénateurs américains ont également écrit au Département d’Etat pour dire : ‘’Vous avez demandé au président Wade de ne pas se présenter au nom des intérêts américains et pour nous aussi, l’intérêt des Etats-Unis, c’est de continuer la coopération avec le président Wade. Aujourd’hui, c’est un débat aux Etats-Unis’’.
Evoquant la présence de son fils Karim dans la gestion des affaires publiques, Me Abdoulaye Wade a dit : ‘’J’ai un fils qui a une formation particulière qu’on trouve rarement. Diplômé de la Sorbonne en audit et management. Il était dans une grande banque à Londres’’.
‘’Quand j’ai lancé un appel à tous les jeunes du Sénégal en leur disant après vos diplômes, venaient travailler avec moi dans le développement du Sénégal, il a décidé de venir avec sa sœur (Syndiély), j’ai dit non parce que les gens ne comprendraient pas’’, a expliqué le candidat des FAL 2012.
‘’Je lui ai confié (au ministre d’Etat Karim Wade, NDLR) des choses où, a-t-il précisé, plusieurs ministres avaient échoué : la question de l’électricité, des infrastructures. Vous savez moi, je tiens à réaliser de bonnes routes, pas des routes qu’on refait tous les cinq ans. Maintenant, j’ai un fils qui est intelligent, capable de travailler. Je n’ai pas de dauphin, je ne veux pas avoir de dauphin’’.
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