La première réaction du président du mouvement AGIR a été de regretter « le non respect de la parole donnée du Président de la République ». « Le Président de la République prolonge le deuil. » Après les morts par désespoir, le parjure s'installe pour juste satisfaire une soumission indécente envers un Premier ministre qui avait déjà tout annoncé, a lancé Thierno Bocoum. Pour rappel, le président de la République a acté la dissolution de l’Assemblée nationale ce jeudi après avoir dernièrement annoncé, à travers un décret, la tenue de la déclaration de politique générale le 13 septembre 2024.