Seif Al-Islam, 39 ans, "est aux abords de la frontière nigérienne, il n'est pas encore entré au Niger mais il n'est pas très loin. Il semble qu'il soit escorté par d'ex-combattants touareg, mais je ne peux pas encore confirmer cette information", a déclaré cet élu de la région d'Agadez sous couvert d'anonymat.
Ce fils Kadhafi et l'ex-chef des renseignements libyens, Abdallah Al-Senoussi, 62 ans, également recherché par la CPI, "sont tous deux aux abords de la frontière du Niger, ils ne doivent pas être loin l'un de l'autre", a-t-il ajouté.
Une source gouvernementale nigérienne a affirmé samedi qu'Abdallah Al-Senoussi, ancien bras droit du colonel Kadhafi, avait été "signalé" dans l'extrême nord du Niger, frontalier de la Libye.
La CPI avait émis le 27 juin des mandats d'arrêt contre Mouammar Kadhafi, capturé puis tué jeudi dans des circonstances troubles, son fils Seif Al-Islam et son beau-frère Abdallah al-Senoussi, recherchés pour crimes contre l'humanité. Tous trois faisaient également l'objet d'une "notice rouge" d'Interpol depuis le 9 septembre.
Jusque-là, 32 proches de l'ex-dirigeant libyen, dont un autre de ses fils, Saadi, ont été accueillis par les autorités du Niger pour raisons "humanitaires". (afp)
Ce fils Kadhafi et l'ex-chef des renseignements libyens, Abdallah Al-Senoussi, 62 ans, également recherché par la CPI, "sont tous deux aux abords de la frontière du Niger, ils ne doivent pas être loin l'un de l'autre", a-t-il ajouté.
Une source gouvernementale nigérienne a affirmé samedi qu'Abdallah Al-Senoussi, ancien bras droit du colonel Kadhafi, avait été "signalé" dans l'extrême nord du Niger, frontalier de la Libye.
La CPI avait émis le 27 juin des mandats d'arrêt contre Mouammar Kadhafi, capturé puis tué jeudi dans des circonstances troubles, son fils Seif Al-Islam et son beau-frère Abdallah al-Senoussi, recherchés pour crimes contre l'humanité. Tous trois faisaient également l'objet d'une "notice rouge" d'Interpol depuis le 9 septembre.
Jusque-là, 32 proches de l'ex-dirigeant libyen, dont un autre de ses fils, Saadi, ont été accueillis par les autorités du Niger pour raisons "humanitaires". (afp)