Le neuvième jour de campagne du candidat Amadou Bâ a été bouclée dans la région de Sédhiou, au cœur de la casamance. À l'assistance composée majoritairement de jeunes, le candidat de la coalition BBY a exprimé toute sa gratitude pour leur accueil populaire. « Votre engagement me va droit au cœur et renforce ma confiance. La jeunesse, pour moi, c'est plus que l'avenir, elle est le présent. Notre présent. »
Dans la même veine, le candidat de Benno Bokk Yaakaar rappelle que la mouvance à laquelle il appartient a lancé un vaste programme de désenclavement de la région qui a permis l'érection du pont de Marsassoum. Celui de Farafégné, communément appelé pont Senegambie entre également dans ce registre. Déterminé à faire du Sénégal la locomotive de l'Uemoa, l'ancien Premier ministre n'a pas pris de gants pour envoyer certains dans les cordes.
À l'en croire, des hommes politiques veulent couper le Sénégal de ses voisins comme la Guinée, le Mali, la Guinée Bissau... et même du reste du continent. « Ne l'acceptez pas. N'acceptez pas qu'on vous isole. Mon ambition est de faire du Sénégal la locomotive de l'Uemoa. Le projet politique que certains présentent au peuple est inadéquat, incohérent et même insensé. Un État, c'est une affaire sérieuse. On n'a pas le droit de jouer comme ça avec le destin de 18 millions de concitoyens, en ne maîtrisant rien de ce qu'on propose. Vous croyez que c'est aussi simple de remettre en cause des contrats, dûment signés, pour ensuite les renégocier ? »
De l'avis de l'ancien Premier ministre, l'alternative à ces programmes populistes et même ubuesques, « c'est d'approfondir et de consolider ce qui est en train d'être fait depuis douze ans. En allant encore plus vite, pour réduire les inégalités. » Sur le plan social, Amadou Ba, la main sur le cœur, jure que dans deux ans, s'il est élu ce 24 mars, "tous les Sénégalais établis sur le territoire national auront accès à l'eau et à l'électricité".
Par contre, dit-il, « si vous élisez des gens qui sont encore à la maternelle, ils apprendront pendant des années à exercer l'État. Et il n'y a pas pire catastrophe que ça. Parce que ce serait un gâchis et une perte de temps pour le pays. » Le candidat de Benno rappelle que : « faire de la politique ne renvoie forcément pas aux invectives, diatribes, menaces et insanités. On doit préserver les bons rapports, le respect de l'autre et le bon voisinage qui restent le ciment des relations entre tous les Sénégalais. On n'a pas besoin d'un Sénégal de clivage et de clans. »
Il ajoute en passant que l'État étant naturellement une continuité, « tous les engagements pris par les différents gouvernements, ces douze dernières années, seront respectés et exécutés à la lettre par l'équipe qu'il mettra en place après son accession à la présidence de la République. »
Dans la même veine, le candidat de Benno Bokk Yaakaar rappelle que la mouvance à laquelle il appartient a lancé un vaste programme de désenclavement de la région qui a permis l'érection du pont de Marsassoum. Celui de Farafégné, communément appelé pont Senegambie entre également dans ce registre. Déterminé à faire du Sénégal la locomotive de l'Uemoa, l'ancien Premier ministre n'a pas pris de gants pour envoyer certains dans les cordes.
À l'en croire, des hommes politiques veulent couper le Sénégal de ses voisins comme la Guinée, le Mali, la Guinée Bissau... et même du reste du continent. « Ne l'acceptez pas. N'acceptez pas qu'on vous isole. Mon ambition est de faire du Sénégal la locomotive de l'Uemoa. Le projet politique que certains présentent au peuple est inadéquat, incohérent et même insensé. Un État, c'est une affaire sérieuse. On n'a pas le droit de jouer comme ça avec le destin de 18 millions de concitoyens, en ne maîtrisant rien de ce qu'on propose. Vous croyez que c'est aussi simple de remettre en cause des contrats, dûment signés, pour ensuite les renégocier ? »
De l'avis de l'ancien Premier ministre, l'alternative à ces programmes populistes et même ubuesques, « c'est d'approfondir et de consolider ce qui est en train d'être fait depuis douze ans. En allant encore plus vite, pour réduire les inégalités. » Sur le plan social, Amadou Ba, la main sur le cœur, jure que dans deux ans, s'il est élu ce 24 mars, "tous les Sénégalais établis sur le territoire national auront accès à l'eau et à l'électricité".
Par contre, dit-il, « si vous élisez des gens qui sont encore à la maternelle, ils apprendront pendant des années à exercer l'État. Et il n'y a pas pire catastrophe que ça. Parce que ce serait un gâchis et une perte de temps pour le pays. » Le candidat de Benno rappelle que : « faire de la politique ne renvoie forcément pas aux invectives, diatribes, menaces et insanités. On doit préserver les bons rapports, le respect de l'autre et le bon voisinage qui restent le ciment des relations entre tous les Sénégalais. On n'a pas besoin d'un Sénégal de clivage et de clans. »
Il ajoute en passant que l'État étant naturellement une continuité, « tous les engagements pris par les différents gouvernements, ces douze dernières années, seront respectés et exécutés à la lettre par l'équipe qu'il mettra en place après son accession à la présidence de la République. »