Les populations du quartier Kip-kip extension de Sébikotane ont fait face à la presse pour alerter les autorités sur les difficultés auxquelles ils font face à cause de leur cohabitation avec l'entreprise chinoise, la Someta.
En effet, l'érection d'un mur de fortune par la Someta dans cette localité aurait constitué la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Selon les populations, l'usine de ferraille a construit un mur dans la localité sans tenir compte des voies servant de servitude. "Aujourd'hui on est emprisonné et enfermé dans un circuit dont nous pensons pas pouvoir sortir sans révolte", a décrié Mansour Diatta, un des habitants.
Selon eux, leurs cohabitants qui sont les chinois de l'entreprise Someta n'ont laissé qu'un couloir de 4m versant qui draine les eaux vers leurs habitations. "Arrivé au niveau de nos dernières maisons, ils ont créé des impasses qui pourraient recueillir l'eau. Et ces mêmes impasses qui devaient servir de route sont bloquées. Et si nos fosses sceptiques se remplissent, nous n'aurons pas la possibilité d'appeler les camions de vidange", a déploré Mansour Diatta, le porte-parole du jour.
En effet, l'érection d'un mur de fortune par la Someta dans cette localité aurait constitué la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Selon les populations, l'usine de ferraille a construit un mur dans la localité sans tenir compte des voies servant de servitude. "Aujourd'hui on est emprisonné et enfermé dans un circuit dont nous pensons pas pouvoir sortir sans révolte", a décrié Mansour Diatta, un des habitants.
Selon eux, leurs cohabitants qui sont les chinois de l'entreprise Someta n'ont laissé qu'un couloir de 4m versant qui draine les eaux vers leurs habitations. "Arrivé au niveau de nos dernières maisons, ils ont créé des impasses qui pourraient recueillir l'eau. Et ces mêmes impasses qui devaient servir de route sont bloquées. Et si nos fosses sceptiques se remplissent, nous n'aurons pas la possibilité d'appeler les camions de vidange", a déploré Mansour Diatta, le porte-parole du jour.
Par la même occasion, ces habitants du quartier kip-kip extension ont dénoncé le mutisme des autorités locales qui jusque là, n'ont pipé mot sur la situation. Toutefois, ils interpellent le chef de l'État et menacent de passer à la vitesse supérieure s'ils n'obtiennent pas gain de cause...
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