Après la visite guidée de la nouvelle unité de production de tests de diagnostic rapide contre certaines maladies à Mbao, le ministre de la Santé et de l’action sociale, Dr Ibrahima Sy, a donné ses impressions.
Devant le public, le ministre a manifesté sa satisfaction pour la matérialisation de cette usine d’une très grande capacité. En matière de souveraineté pharmaceutique, il estime que cette usine pourra servir le Sénégal mais aussi les pays de l’Afrique de l’Ouest d’autant plus que cela correspond à la vision de l’État.
En effet, quand on parle de test, il s’agit de mettre en place un dispositif qui permet d’identifier une maladie et de pouvoir réagir très rapidement pour contenir le développement de la maladie. Par ailleurs, s’il y a une épidémie qui survient au Sénégal ou dans une autre zone, il y a une capacité d’adaptation pour fabriquer les tests de diagnostic rapide et aider le pays à faire face en terme de riposte, mais aussi aider les autres pays. Ceci dit, pour le ministre, le Sénégal n’est plus dépendant de l’extérieur pour fabrication des tests de diagnostic rapide contre les épidémies présentes.
« Quand on avait le Covid, on n’avait pas cette possibilité-là, on était dépendant de l’extérieur. Donc, il fallait attendre que les autres pays fabriquent leurs tests de diagnostic rapides, se servent avant qu’ils nous en envoient; mais maintenant, je pense qu’on n’a pas besoin d’attendre. On a une usine qui est ici à côté qui peut fabriquer, aller vite et riposter par rapport aux épidémies présentes à tout moment », confirme-t-il.
Pour son mot de clôture, il a remercié l’État pour son engagement et les partenaires techniques et financiers qui ont apporté leur soutien pour la réalisation de cette usine de production de tests de diagnostic.
Devant le public, le ministre a manifesté sa satisfaction pour la matérialisation de cette usine d’une très grande capacité. En matière de souveraineté pharmaceutique, il estime que cette usine pourra servir le Sénégal mais aussi les pays de l’Afrique de l’Ouest d’autant plus que cela correspond à la vision de l’État.
En effet, quand on parle de test, il s’agit de mettre en place un dispositif qui permet d’identifier une maladie et de pouvoir réagir très rapidement pour contenir le développement de la maladie. Par ailleurs, s’il y a une épidémie qui survient au Sénégal ou dans une autre zone, il y a une capacité d’adaptation pour fabriquer les tests de diagnostic rapide et aider le pays à faire face en terme de riposte, mais aussi aider les autres pays. Ceci dit, pour le ministre, le Sénégal n’est plus dépendant de l’extérieur pour fabrication des tests de diagnostic rapide contre les épidémies présentes.
« Quand on avait le Covid, on n’avait pas cette possibilité-là, on était dépendant de l’extérieur. Donc, il fallait attendre que les autres pays fabriquent leurs tests de diagnostic rapides, se servent avant qu’ils nous en envoient; mais maintenant, je pense qu’on n’a pas besoin d’attendre. On a une usine qui est ici à côté qui peut fabriquer, aller vite et riposter par rapport aux épidémies présentes à tout moment », confirme-t-il.
Pour son mot de clôture, il a remercié l’État pour son engagement et les partenaires techniques et financiers qui ont apporté leur soutien pour la réalisation de cette usine de production de tests de diagnostic.
Autres articles
-
La Russie dit avoir frappé "massivement" l'Ukraine vendredi après les tirs d'ATACMS de Kiev
-
Kéba Sarr sous mandat de dépôt : un fils accusé de viols répétés sur sa mère malade
-
Nomination du Premier ministre: Bayrou quitte l'Elysée après 1H45 d'entretien avec Macron
-
Nioro / Violence entre agriculteurs et éleveurs : 2 blessés et 3 individus interpellés dont le propriétaire du champ pour possession d’arme à feu sans autorisation
-
Suppression du HCCT - Vers une campagne de dénonciation et une plainte à déposer sur la table de l’UA et de la CEDEAO