La chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Saint-Louis a condamné lundi Babacar Fall à une peine d’emprisonnement de sept ans de travaux forcés pour le meurtre sur son frère Ibrahima Fall.
Selon l’acte d’accusation, les faits se sont déroulés au quartier Pikine 700, le 13 novembre 2015, date à laquelle les éléments du commissariat de police de Saint-Louis avaient été avisés par coup de fil téléphonique leur apprenant que le nommé Babacar Fall venait de poignarder son frère suite à une bagarre.
Dans son réquisitoire, l’avocat général est revenu sur les faits avant de déclarer que l’accusé coupable du délit d’assassinat sur son propre frère, car l’ayant volontairement poignardé sur une partie vitale.
Selon lui, l’accusé a tenté de corriger l’épouse de son frère avec qui il avait un précédent portant sur une affaire de restitution de téléphones portables appartenant à sa cousine. C’est ainsi que la bagarre a éclaté entre l’accusé et sa victime de frère qui a reçu mortellement un coup de poignard.
Dans sa plaidoirie, l’avocat général a requis une peine d’emprisonnement de 20 ans de travaux forcés contre l’accusé.
De son côté, l’avocat de la défense a plaidé pour une indulgence de la chambre criminelle à l’égard de son client qui, selon lui, ne jouit pas de toutes ses facultés mentales.
Il a souligné que Babacar Fall est un déficient mental qui mérite des soins au lieu d’être placé en détention, affirmant que la défense précise est constamment aux prises avec des crises d’épilepsie, son état mental se dégradant de jour en jour.
La chambre criminelle, après en avoir délibéré, a reconnu l’accusé coupable des faits qui lui sont reprochés avant de prononcer une condamnation de 7 ans de travaux forcés à son encontre.
Le président du Tribunal de grande instance de Saint-Louis, Ndiamé Gaye, a salué, lors de l’ouverture des travaux de la chambre criminelle pour la session 2017, la tenue périodique des procès qui, selon lui, ne sont plus limités dans le temps comme par le passé.
Il note que l’organisation des sessions se rapproche maintenant selon le volume de dossiers enrôlés pour la chambre criminelle, ce qui permet de viser les dossiers en attente.
Le président Gaye a ensuite relevé que pour cette session, avec deux cas de meurtre, deux cas d’association de malfaiteurs, de vol en réunion, d’infanticide et de trafic de drogue, le droit sera dit dans toute sa plénitude.
Selon l’acte d’accusation, les faits se sont déroulés au quartier Pikine 700, le 13 novembre 2015, date à laquelle les éléments du commissariat de police de Saint-Louis avaient été avisés par coup de fil téléphonique leur apprenant que le nommé Babacar Fall venait de poignarder son frère suite à une bagarre.
Dans son réquisitoire, l’avocat général est revenu sur les faits avant de déclarer que l’accusé coupable du délit d’assassinat sur son propre frère, car l’ayant volontairement poignardé sur une partie vitale.
Selon lui, l’accusé a tenté de corriger l’épouse de son frère avec qui il avait un précédent portant sur une affaire de restitution de téléphones portables appartenant à sa cousine. C’est ainsi que la bagarre a éclaté entre l’accusé et sa victime de frère qui a reçu mortellement un coup de poignard.
Dans sa plaidoirie, l’avocat général a requis une peine d’emprisonnement de 20 ans de travaux forcés contre l’accusé.
De son côté, l’avocat de la défense a plaidé pour une indulgence de la chambre criminelle à l’égard de son client qui, selon lui, ne jouit pas de toutes ses facultés mentales.
Il a souligné que Babacar Fall est un déficient mental qui mérite des soins au lieu d’être placé en détention, affirmant que la défense précise est constamment aux prises avec des crises d’épilepsie, son état mental se dégradant de jour en jour.
La chambre criminelle, après en avoir délibéré, a reconnu l’accusé coupable des faits qui lui sont reprochés avant de prononcer une condamnation de 7 ans de travaux forcés à son encontre.
Le président du Tribunal de grande instance de Saint-Louis, Ndiamé Gaye, a salué, lors de l’ouverture des travaux de la chambre criminelle pour la session 2017, la tenue périodique des procès qui, selon lui, ne sont plus limités dans le temps comme par le passé.
Il note que l’organisation des sessions se rapproche maintenant selon le volume de dossiers enrôlés pour la chambre criminelle, ce qui permet de viser les dossiers en attente.
Le président Gaye a ensuite relevé que pour cette session, avec deux cas de meurtre, deux cas d’association de malfaiteurs, de vol en réunion, d’infanticide et de trafic de drogue, le droit sera dit dans toute sa plénitude.