S'il y a une volonté de la part de la coalition de lancer une opération terrestre, nous y contribuerons de façon positive, a déclaré à l'AFP le général Ahmed al-Assiri.
Depuis 2014, l'Arabie saoudite fait partie de la coalition internationale dirigée par Washington contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI), qui a pris le contrôle de vastes territoires en Syrie et en Irak.
Cette coalition, composée d'une soixantaine de membres, mène des raids aériens contre les fiefs jihadistes dans ces deux pays.
Le général Assiri est le porte-parole d'une coalition distincte, dirigée par Ryad et qui aide le gouvernement yéménite à combattre les rebelles chiites Houthis et leurs alliés.
Depuis mars 2015, l'Arabie saoudite conduit dans ce cadre des frappes aériennes contre ces rebelles, qui ont ensuite été élargies à des opérations terrestres.
Les rebelles houthis sont notamment soutenus par l'Iran qui est par ailleurs un des principaux alliés du régime de Bachar al-Assad, auquel est farouchement opposé Ryad.
Depuis 2014, l'Arabie saoudite fait partie de la coalition internationale dirigée par Washington contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI), qui a pris le contrôle de vastes territoires en Syrie et en Irak.
Cette coalition, composée d'une soixantaine de membres, mène des raids aériens contre les fiefs jihadistes dans ces deux pays.
Le général Assiri est le porte-parole d'une coalition distincte, dirigée par Ryad et qui aide le gouvernement yéménite à combattre les rebelles chiites Houthis et leurs alliés.
Depuis mars 2015, l'Arabie saoudite conduit dans ce cadre des frappes aériennes contre ces rebelles, qui ont ensuite été élargies à des opérations terrestres.
Les rebelles houthis sont notamment soutenus par l'Iran qui est par ailleurs un des principaux alliés du régime de Bachar al-Assad, auquel est farouchement opposé Ryad.