Dans presque tous les pays du monde, la jeunesse occupe une place importante voir même primordiale dans les compétitions électorales. Cette jeunesse bien formée et bien informée est à la base des grands changements dans l’histoire des démocraties modernes.
A l’instar des autres pays, la jeunesse constitue une composante majeure dans la vie politique au Sénégal. Passionnée, désorientée, bouillonnante et amère mais aussi exigeante et attentiste, la jeunesse sénégalaise a toujours occupé une place importante dans toutes les compétitions électorales au Sénégal.
L’état d’esprit des jeunes, largement scolarisés et très politisés est aisément perceptible à travers des débats spontanés qui animent la majeure partie des rassemblements de jeunes dans tout le pays. Il s’illustre par la virulence des critiques envers le régime en place, une grande appréhension teintée d’inquiétude, face à l’avenir, et un désir profond de changement radical qui s’exprime par l’adhésion massive des jeunes dans les mouvements politiques ou citoyens.
Compte tenu du poids démographique que représente la jeunesse dans notre pays, il est indispensable de faire des jeunes de véritables apôtres et partisans des élections libres, démocratiques et transparentes pour la consolidation d’un véritable Etat de droit et non des fourmis ouvrières qui doivent exécuter des ordres émanant des comités directeurs ou bureaux politiques. Depuis que le Sénégal à accéder à la souveraineté internationale et commencer à organiser des élections présidentielles aux fins de choisir le candidat qui portera les destinés de tout un peuple, la jeunesse y a joué un rôle déterminant.
Ainsi nous voilà à l’approche des échéances électorales qui auront lieu le 26 février 2012. D’où la nécessité de se poser la question à savoir quel sera le rôle et la place de la jeunesse dans le processus électoral de 2012 ?
Les élections présidentielles constituent dans tout pays moderne, un moyen d’alternance politique démocratique. Les jeunes doivent s’impliquer totalement dans le processus électoral en cours et leur rôle citoyen doit être exercé pendant et après ce processus électoral.
La jeunesse doit aujourd’hui être la pierre de lance dans la défense de l’exercice des libertés fondamentales au sein de formations politiques, un instrument de stabilité et même de contrepoids face au pouvoir et à la suprématie des acteurs économiques classiques, dans les pays en voie de développement, elle doit surtout apparaître comme la planche de salut sans laquelle une large position de la population demeurerait en marge du jeu politique, en marge de l’activité économique et en marge de la redistribution équitable des revenus et de l’amélioration de leur bien être.
Ceci étant dit, il convient de s’arrêter un moment pour s’interroger sur la capacité réelle et potentielle de la jeunesse sénégalaise de relever les défis qui sont actuellement placés en elle.
En effet le constat fait ressortir aujourd’hui une jeunesse divisée. La classe politique contemporaine a toujours adopté la loi du diviser pour mieux régner en faisant de nous des fourmis ouvrières, en nous envoyant dans la rue s’entre-déchirer, casser, dilapider, saccager ceux que nous allons réparer plutard au moment ou ils se sucrent sur nos dos. Non il faut que ca cesse ! Je me rejouis de l’engagement patriotique des jeunes comme Y’en A Marre, On s’engage, Nouveau Centre du Senegal, les Patriotes Unis du Senegal et j’en passe. Cette jeunesse, a beaucoup appris de l’histoire de son pays et même du monde entier et s’inspire des grands hommes de Dieu a l’image de Mame Diara Bousso, Alioune Sitoe Diatta, Cheikh Oumar Foutiyou, Mame Limamou, Seydi Hadj Malick, Baye Niass, Serigne Touba, Cardinal Yaceinte Thiandoum, Bou Counta, Mame Abdoul Aziz Dabakh entre autres, cette jeunesse qui a choisi comme idoles, Cheikh Anta Diop, Gandhi, Frantz Fanon, Lumumba, Thomas Sankara, Che Guevera pour ne citer que ceux là, saura bien dire non a la politique politicienne et oui a la politique autrement.
Cependant il est utile de rappeler à celle-ci sa position, position qui ne s’aurait dépassé celle du citoyen devant se préoccuper davantage du devenir de son pays et de ses pairs. La vrai démocratie, a écrit la fondation allemande Friedrich Neumann dans sa revue est ‘’la liberté par imagination, a besoin des citoyens qui s’engagent en toute conscience pour leur propre liberté.
Pour terminer j’escorte tous mes compatriotes a réclamer de manière pacifique le respect de la constitution et de l’organisation des élections libres, transparentes et démocratiques a date échue. En plus de cette réclamation, elle doit non seulement sensibiliser les populations sur l’importance de suivre la campagne et le déroulement de programmes des différents candidats afin de faire un vote réfléchi mais surtout insister sur les conséquences néfastes de l’achat de consciences. La jeunesse doit aussi s’informer et s’impliquer sur l’évolution du processus électoral pour bien faire le contrôle du monitoring des opérations pré-électorales et électorales par rapport aux objectifs fixés et résultats attendus. Elle doit enfin, jouer le rôle d’instructrice sur les enjeux électoraux pour le choix des hommes par les communautés de base.
A l’instar des autres pays, la jeunesse constitue une composante majeure dans la vie politique au Sénégal. Passionnée, désorientée, bouillonnante et amère mais aussi exigeante et attentiste, la jeunesse sénégalaise a toujours occupé une place importante dans toutes les compétitions électorales au Sénégal.
L’état d’esprit des jeunes, largement scolarisés et très politisés est aisément perceptible à travers des débats spontanés qui animent la majeure partie des rassemblements de jeunes dans tout le pays. Il s’illustre par la virulence des critiques envers le régime en place, une grande appréhension teintée d’inquiétude, face à l’avenir, et un désir profond de changement radical qui s’exprime par l’adhésion massive des jeunes dans les mouvements politiques ou citoyens.
Compte tenu du poids démographique que représente la jeunesse dans notre pays, il est indispensable de faire des jeunes de véritables apôtres et partisans des élections libres, démocratiques et transparentes pour la consolidation d’un véritable Etat de droit et non des fourmis ouvrières qui doivent exécuter des ordres émanant des comités directeurs ou bureaux politiques. Depuis que le Sénégal à accéder à la souveraineté internationale et commencer à organiser des élections présidentielles aux fins de choisir le candidat qui portera les destinés de tout un peuple, la jeunesse y a joué un rôle déterminant.
Ainsi nous voilà à l’approche des échéances électorales qui auront lieu le 26 février 2012. D’où la nécessité de se poser la question à savoir quel sera le rôle et la place de la jeunesse dans le processus électoral de 2012 ?
Les élections présidentielles constituent dans tout pays moderne, un moyen d’alternance politique démocratique. Les jeunes doivent s’impliquer totalement dans le processus électoral en cours et leur rôle citoyen doit être exercé pendant et après ce processus électoral.
La jeunesse doit aujourd’hui être la pierre de lance dans la défense de l’exercice des libertés fondamentales au sein de formations politiques, un instrument de stabilité et même de contrepoids face au pouvoir et à la suprématie des acteurs économiques classiques, dans les pays en voie de développement, elle doit surtout apparaître comme la planche de salut sans laquelle une large position de la population demeurerait en marge du jeu politique, en marge de l’activité économique et en marge de la redistribution équitable des revenus et de l’amélioration de leur bien être.
Ceci étant dit, il convient de s’arrêter un moment pour s’interroger sur la capacité réelle et potentielle de la jeunesse sénégalaise de relever les défis qui sont actuellement placés en elle.
En effet le constat fait ressortir aujourd’hui une jeunesse divisée. La classe politique contemporaine a toujours adopté la loi du diviser pour mieux régner en faisant de nous des fourmis ouvrières, en nous envoyant dans la rue s’entre-déchirer, casser, dilapider, saccager ceux que nous allons réparer plutard au moment ou ils se sucrent sur nos dos. Non il faut que ca cesse ! Je me rejouis de l’engagement patriotique des jeunes comme Y’en A Marre, On s’engage, Nouveau Centre du Senegal, les Patriotes Unis du Senegal et j’en passe. Cette jeunesse, a beaucoup appris de l’histoire de son pays et même du monde entier et s’inspire des grands hommes de Dieu a l’image de Mame Diara Bousso, Alioune Sitoe Diatta, Cheikh Oumar Foutiyou, Mame Limamou, Seydi Hadj Malick, Baye Niass, Serigne Touba, Cardinal Yaceinte Thiandoum, Bou Counta, Mame Abdoul Aziz Dabakh entre autres, cette jeunesse qui a choisi comme idoles, Cheikh Anta Diop, Gandhi, Frantz Fanon, Lumumba, Thomas Sankara, Che Guevera pour ne citer que ceux là, saura bien dire non a la politique politicienne et oui a la politique autrement.
Cependant il est utile de rappeler à celle-ci sa position, position qui ne s’aurait dépassé celle du citoyen devant se préoccuper davantage du devenir de son pays et de ses pairs. La vrai démocratie, a écrit la fondation allemande Friedrich Neumann dans sa revue est ‘’la liberté par imagination, a besoin des citoyens qui s’engagent en toute conscience pour leur propre liberté.
Pour terminer j’escorte tous mes compatriotes a réclamer de manière pacifique le respect de la constitution et de l’organisation des élections libres, transparentes et démocratiques a date échue. En plus de cette réclamation, elle doit non seulement sensibiliser les populations sur l’importance de suivre la campagne et le déroulement de programmes des différents candidats afin de faire un vote réfléchi mais surtout insister sur les conséquences néfastes de l’achat de consciences. La jeunesse doit aussi s’informer et s’impliquer sur l’évolution du processus électoral pour bien faire le contrôle du monitoring des opérations pré-électorales et électorales par rapport aux objectifs fixés et résultats attendus. Elle doit enfin, jouer le rôle d’instructrice sur les enjeux électoraux pour le choix des hommes par les communautés de base.