Quatre mines détenues par des entreprises étrangères
Cette décision devrait changer le paysage de l’industrie diamantifère au Zimbabwe, où, sur six compagnies qui exploitent les mines, quatre sont détenues par des investisseurs privés étrangers, deux chinois, un ghanéen et une entreprise de Dubaï.
L’année dernière, le Zimbabwe avait fait part de sa volonté de fusionner les six entreprises extrayant des diamants autour de la zone de Marange (Est) au sein d’une seule entité publique, la Zimbabwe Consolidated Diamond Company. Le gouvernement compte sur cette industrie pour redresser l’économie moribonde du pays, prisonnière d’une faible croissance, d’un chômage de masse et d’un manque de trésorerie budgétaire.
Cette décision devrait changer le paysage de l’industrie diamantifère au Zimbabwe, où, sur six compagnies qui exploitent les mines, quatre sont détenues par des investisseurs privés étrangers, deux chinois, un ghanéen et une entreprise de Dubaï.
L’année dernière, le Zimbabwe avait fait part de sa volonté de fusionner les six entreprises extrayant des diamants autour de la zone de Marange (Est) au sein d’une seule entité publique, la Zimbabwe Consolidated Diamond Company. Le gouvernement compte sur cette industrie pour redresser l’économie moribonde du pays, prisonnière d’une faible croissance, d’un chômage de masse et d’un manque de trésorerie budgétaire.