Le décès de Ndiaga Diop suite à l’attaque de la mairie de Sicap-Mermoz par des nervis occupe largement, vendredi, la une des journaux qui mettent en exergue cette violence dans l’arène politique.
‘’Violence politique dans l’arène : la bêtise fait un mort’’, affiche Sud Quotidien à sa une. Selon le journal, ‘’des quatre nervis blessés hier, jeudi 22 décembre, lors des altercations avec les partisans du maire de Mermoz, Barthélémy Dias, le nommé Ndiaga Diop succombera des suites de ses blessures. Pour le maire, ces nervis étaient venus l’attaquer et brûler sa maison. Barthélémy Dias dit avoir +tiré des coups de feu en l’air avant d’ouvrir le feu sur les gens+’’, écrit Sud.
L’As assimile cette scène à ‘’un Far West à Baobab’’. Selon le quotidien ‘’(…) la scène digne de Far West se passe sous les yeux de trois policiers. Aucune réaction de la part des limiers qui semblent être dépassés par les évènements’’.
’’Bienvenue au Far West : le Sénégal mort de peur’’, renchérit L’Observateur. ’’C’était une question de vie ou de mort, j’ai choisi de vivre...’’, affirme Bathélémy Dias, à la une du même journal.
Selon Le Populaire, c’est ‘’la mort de trop’’ dans cette course à la présidentielle du 26 février qui ‘’commence mal’’. ‘’L’année 2011 est en train de mal finir et 2012, l’année de la présidentielle de commencer pire encore. La violence politique qui s’est exprimée tout le long de l’année a atteint un nouveau seuil qui fait peur. La violence, on sait quand elle commence, mais on ne sait jamais quand elle finit (…)’’, souligne le journal.
Pour le quotidien Enquête, ‘’l’attaque de la mairie de Baobab est un précédent gravissime qui sape les fondements de l’Etat de droit qu’est jusqu’ici le Sénégal. La forfaiture interpelle l’ensemble de la société sénégalaise et induit un certain nombre de questions (….) Pourquoi également s’attaquer à la mairie de Barthélémy Dias ?’’.
Citant des sources concordantes, Enquête, relève que ‘’les trois commanditaires de l’attaque auraient payé 15.000 francs à chacun des nervis dépêchés à la mairie de Sacré-Cœur-Mermoz pour saccager les locaux et menacer de mort son locataire. Comme ils l’ont fait auparavant avec le professeur Abdoulaye Bathily de la Ligue démocratique (….)’’.
Selon le journal Le Pays, ‘’la police est aux trousses de Barthélémy Dias’’. Pour Walfadjri, le leader des jeunes socialistes ‘’risque le mandat de dépôt’’. ‘’Dias risque la prison. C’est la loi qui le dit. En matière criminelle, le mandat de dépôt est obligatoire dans l’affaire qui le concerne (…), écrit Walf qui souligne que le maire de Sicap-Mermoz ‘’plaide la légitime défense’’.
Selon le journal Rewmi, le chef de l’Etat ‘’veut tous les commanditaires’’ dont 4 sont déjà tombés, ajoute Rewmi. Les journaux sportifs accordent la priorité au football et à la lutte. Stades rapporte les propos du président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Me Augustin Senghor qui dit : ’’Abdoulaye Makhtar Diop (ministre des Sports) brise l’élan de notre football’’.
Sur le même sujet, L’Observateur parle de crise de football, avec ce titre : ’’le virulent réquisitoire de Me Augustin Senghor contre Abdoulaye Makhtar Diop’’.
En lutte, Sunu Lamb donne la parole à Boy Bambara qui’’dévoile les failles de Gris Bordeaux’’. ’’Il a un problème de finition’’, selon l’ancien lutteur.
( APS )
‘’Violence politique dans l’arène : la bêtise fait un mort’’, affiche Sud Quotidien à sa une. Selon le journal, ‘’des quatre nervis blessés hier, jeudi 22 décembre, lors des altercations avec les partisans du maire de Mermoz, Barthélémy Dias, le nommé Ndiaga Diop succombera des suites de ses blessures. Pour le maire, ces nervis étaient venus l’attaquer et brûler sa maison. Barthélémy Dias dit avoir +tiré des coups de feu en l’air avant d’ouvrir le feu sur les gens+’’, écrit Sud.
L’As assimile cette scène à ‘’un Far West à Baobab’’. Selon le quotidien ‘’(…) la scène digne de Far West se passe sous les yeux de trois policiers. Aucune réaction de la part des limiers qui semblent être dépassés par les évènements’’.
’’Bienvenue au Far West : le Sénégal mort de peur’’, renchérit L’Observateur. ’’C’était une question de vie ou de mort, j’ai choisi de vivre...’’, affirme Bathélémy Dias, à la une du même journal.
Selon Le Populaire, c’est ‘’la mort de trop’’ dans cette course à la présidentielle du 26 février qui ‘’commence mal’’. ‘’L’année 2011 est en train de mal finir et 2012, l’année de la présidentielle de commencer pire encore. La violence politique qui s’est exprimée tout le long de l’année a atteint un nouveau seuil qui fait peur. La violence, on sait quand elle commence, mais on ne sait jamais quand elle finit (…)’’, souligne le journal.
Pour le quotidien Enquête, ‘’l’attaque de la mairie de Baobab est un précédent gravissime qui sape les fondements de l’Etat de droit qu’est jusqu’ici le Sénégal. La forfaiture interpelle l’ensemble de la société sénégalaise et induit un certain nombre de questions (….) Pourquoi également s’attaquer à la mairie de Barthélémy Dias ?’’.
Citant des sources concordantes, Enquête, relève que ‘’les trois commanditaires de l’attaque auraient payé 15.000 francs à chacun des nervis dépêchés à la mairie de Sacré-Cœur-Mermoz pour saccager les locaux et menacer de mort son locataire. Comme ils l’ont fait auparavant avec le professeur Abdoulaye Bathily de la Ligue démocratique (….)’’.
Selon le journal Le Pays, ‘’la police est aux trousses de Barthélémy Dias’’. Pour Walfadjri, le leader des jeunes socialistes ‘’risque le mandat de dépôt’’. ‘’Dias risque la prison. C’est la loi qui le dit. En matière criminelle, le mandat de dépôt est obligatoire dans l’affaire qui le concerne (…), écrit Walf qui souligne que le maire de Sicap-Mermoz ‘’plaide la légitime défense’’.
Selon le journal Rewmi, le chef de l’Etat ‘’veut tous les commanditaires’’ dont 4 sont déjà tombés, ajoute Rewmi. Les journaux sportifs accordent la priorité au football et à la lutte. Stades rapporte les propos du président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Me Augustin Senghor qui dit : ’’Abdoulaye Makhtar Diop (ministre des Sports) brise l’élan de notre football’’.
Sur le même sujet, L’Observateur parle de crise de football, avec ce titre : ’’le virulent réquisitoire de Me Augustin Senghor contre Abdoulaye Makhtar Diop’’.
En lutte, Sunu Lamb donne la parole à Boy Bambara qui’’dévoile les failles de Gris Bordeaux’’. ’’Il a un problème de finition’’, selon l’ancien lutteur.
( APS )
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