Rosso est une commune du département de Dagana dans la région de Saint-Louis. Cette localité du Sénégal plus connue sous le nom de Rosso Sénégal est séparée de sa jumelle Rosso Mauritanie par le fleuve Sénégal que l'on traverse à l'aide d'un bac.
La position stratégique de la ville fait d'elle la deuxième porte d'entrée au Sénégal, après l'Aéroport international Blaise Diagne de Dakar.
Cependant, force est de constater que la traversée du bac entre les deux pays devient de plus en plus compliquée pour les transporteurs et voyageurs sénégalais tout comme mauritaniens.
Dans ce reportage réalisé à l'embarcadère de Rosso, certains voyageurs confient leur galère quotidienne à Dakaractu. "Le pont dont on entend toujours parler de la part des autorités, c'est quelque chose qu'on attend avec impatience. Car il va faciliter la libre circulation parce qu'il y a des voitures qui quittent Dakar et viennent ici à des heures tardives pour traverser alors que le bac arrête ses activités à 18 heures", confie El Hadj Sock.
Embouchant la même trompette, Soulèye Diop, la cinquantaine, estime que "des centaines de personnes passent ici la nuit. Car ils n'osent pas prendre les pirogues pour traverser et du coup, ils préfèrent passer la nuit à attendre le bac. Du reste, certains piroguiers refusent de traverser la nuit".
Ce qui constitue un frein à l'intégration économique et à la libre circulation des biens et services pour les deux pays.
Cependant, les autorités sénégalaises rassurent que toutes les procédures sont terminées du côté sénégalais pour le démarrage effectif des travaux.
"Tout ce qui est procédure au niveau régional, identification, sécurisation de l'assiette foncière commission d'évaluation des impenses et PV de conciliation, actes d'acquiescement, tout a été terminé du côté sénégalais", rassure le gouverneur de Saint-Louis, Aliou Aïdara Niang. Qui se dit rassuré par le fait que "dans un avenir proche les autorités des deux pays lanceront les travaux de réalisation du pont de Rosso pour booster les échanges entre le Sénégal, la Mauritanie et le reste de l'Afrique et de l'Europe du Sud".
La position stratégique de la ville fait d'elle la deuxième porte d'entrée au Sénégal, après l'Aéroport international Blaise Diagne de Dakar.
Cependant, force est de constater que la traversée du bac entre les deux pays devient de plus en plus compliquée pour les transporteurs et voyageurs sénégalais tout comme mauritaniens.
Dans ce reportage réalisé à l'embarcadère de Rosso, certains voyageurs confient leur galère quotidienne à Dakaractu. "Le pont dont on entend toujours parler de la part des autorités, c'est quelque chose qu'on attend avec impatience. Car il va faciliter la libre circulation parce qu'il y a des voitures qui quittent Dakar et viennent ici à des heures tardives pour traverser alors que le bac arrête ses activités à 18 heures", confie El Hadj Sock.
Embouchant la même trompette, Soulèye Diop, la cinquantaine, estime que "des centaines de personnes passent ici la nuit. Car ils n'osent pas prendre les pirogues pour traverser et du coup, ils préfèrent passer la nuit à attendre le bac. Du reste, certains piroguiers refusent de traverser la nuit".
Ce qui constitue un frein à l'intégration économique et à la libre circulation des biens et services pour les deux pays.
Cependant, les autorités sénégalaises rassurent que toutes les procédures sont terminées du côté sénégalais pour le démarrage effectif des travaux.
"Tout ce qui est procédure au niveau régional, identification, sécurisation de l'assiette foncière commission d'évaluation des impenses et PV de conciliation, actes d'acquiescement, tout a été terminé du côté sénégalais", rassure le gouverneur de Saint-Louis, Aliou Aïdara Niang. Qui se dit rassuré par le fait que "dans un avenir proche les autorités des deux pays lanceront les travaux de réalisation du pont de Rosso pour booster les échanges entre le Sénégal, la Mauritanie et le reste de l'Afrique et de l'Europe du Sud".