Je ne te ferais pas l'injure de t'apprendre les conditions qui ont prévalu dans ces pays et qui ont mené à la destruction non seulement de leur potentiel économique mais, plus grave encore, à ces atteintes inimaginables à la vie humaine. Des intérêts étrangers ont prévalu pour, sans état d'âme, mettre les dirigeants de ces deux pays à terre ou sous terre, c'est selon. Il est donc malhonnête de faire de fausses comparaisons dans le seul dessein d’installer la peur dans la tête des Sénégal. La ficelle est trop grosse pour être avalée !
Au Sénégal, certains cherchent à jeter l'opprobre sur le Conseil constitutionnel qui ne s'est limité qu'à dire le droit et simplement le droit. Leur décision, parce que n'étant pas celle souhaitée par les autres candidats, ne répondrait donc pas au droit. Elle est à jeter aux orties parce que honnie par ceux-là qui s'attendaient à une décision qui leur est favorable, une décision mettant hors course le candidat Abdoulaye Wade afin qu’ils puissent, comme des lions affamés, se jeter dans la mare aux crocodiles pour y tirer le sceptre du pouvoir. C'est à croire que la plupart de nos candidats qui disent s'opposer à cette décision ne sont pas des républicains et certainement, ignorent le principe de l'autorité de la chose jugée. S'il faut jeter aux orties le Conseil constitutionnel, il faut en faire de même avec toutes les institutions de la République ! Et là, c'est la voie grande ouverte à l'anarchie et au chaos. On ne peut vouloir une chose et son contraire. Cessons d’amuser la galerie.
Pourquoi donc s'arroger le droit de classifier les candidats en groupes de "candidats sans illusion et de candidats sérieux" ? Soyons sérieux ! Tous les candidats sont de la même veine. Ils sont tous animés par la volonté de conquérir le pouvoir suprême. Ce qui va certainement les différencier, ce sont les moyens et l'énergie qu'ils mettront à nous convaincre. Et il appartient aux Sénégalais de faire leur choix le moment venu. Qu’on ne vienne donc pas faire offense à nos intelligences en nous faisant croire qu’il existe des candidats au dessus des autres. Ils sont tous Sénégalais. Point barre. Nous voyons tous les jours les méfaits de cette presse partisane qui, malheureusement, s'érige en donneur de leçons quand elle ne joue pas simplement le néfaste rôle de la radio des mille collines. C’est à croire que ces journalistes ne sont pas mus par les intérieurs supérieurs du Sénégal mais par des raisons aussi obscures que maléfiques. Arrêtons de verser de l'huile sur le feu ! Le Sénégal appartient à tous les Sénégalais. S'il brûle, que personne ne s'imagine qu'il ne sera pas concerné. Nous serions tous, comme sous une coulée de lave qui se déverserait sur notre pays, entièrement recouverts sous les amas de cendre chaude et mouvante. Surtout ceux-là qui tiennent des discours va-t-en guerre en pensant que c'est cela la politique. Ces gens se trompent lourdement et les Sénégalais dans leur grande majorité, ont d'autres préoccupations que d'aller servir de chair à canon à des candidats en quête de pouvoir, je dirai même avides de pouvoir, sans pour autant passer par les voies et moyens de le conquérir ...démocratiquement et sans heurts. C'est bien de conquête de pouvoir dont il s'agit. Mais pour cela, il faut satisfaire à des conditions prévues par la loi. On ne s'improvise pas politicien quoiqu'on dispose de moyens financiers pour en faire. On essaye de donner une certaine dimension à l’invalidation du candidat Youssou Ndour parce que simplement il y a tout un lobbying qui ne dit pas son nom derrière sa candidature. Et vous tombez dans le panneau en faisant l'injure aux membres du Conseil constitutionnel d'avoir prétendument répondu aux injonctions du candidat Wade de rejeter la validité de sa candidature pour la fallacieuse raison qu'il ferait peur comme candidat. Allons donc ! Pourquoi la candidature de Kéba Keinde, spécialiste de la haute finance ne ferait-elle pas peur aussi ? Au Sénégal, nous avons malheureusement ce vilain défaut de donner de l'importance à des gens ou à des choses qui ne le méritent pas parce que simplement cela va dans l'air du temps, c'est à la mode. Comme au Libéria il y a un footballeur qui brigue les rênes de l'Etat, comme à Haïti, un chanteur est aux commandes, pourquoi donc un chanteur "planétaire" ne viendrait pas présider aux destinées du Sénégal ?
Nous étions tous, le Président Wade également, suspendus à la décision du Conseil constitutionnel. Maintenant que la décision a été rendue, il nous faut nous en remettre à la sagesse de la décision et tourner la page. Il en va de même lorsqu’un juge rend une décision dans une affaire quelconque. Bien qu'elle puisse ne pas être en notre faveur, nous nous devons de nous soumettre et accepter le verdict rendu. Ce n'est pas pour autant que nous allons mettre le feu au tribunal. Accepter la candidature de Wade ou ne pas l'accepter, là n'est plus le problème. Les Sénégalais attendent les candidats dans la présentation de leurs projets de société, dans leur capacité à démontrer leur stature d'hommes ou de femmes d'Etat, dans leur capacité à montrer leur disponibilité à servir le Sénégal et les Sénégalais. Tout le reste n'est que broutille qui n'intéresse guère les Sénégalais qui ont certainement d'autres chats à fouetter.
Mon cher Mouhamadou, tu sembles ignorer que les Sénégalais sont un peuple non violent. Pourquoi voudrait que le Sénégal s'embrase parce que simplement des candidats à l'élection présidentielle auraient été laissés sur le carreau de leurs ambitions ? Pourquoi y aurait-il de la violence là où le peuple souverain a le pouvoir de départager, de faire un choix, de porter son choix sur celui ou celle qui répond le mieux à ses aspirations et à ses attentes ? Pourquoi donc emboucher les trompettes de l'occident pour déclarer le président sortant sénile, bon à ranger dans une maison pour retraités, invalides, atteints de la maladie d’Alzheimer ? Arrêtons donc un peu de suivre benoîtement ces occidentaux qui ne donnent pas le bon exemple. Chez nous, en Afrique, l'ancien est vénéré, adulé même si quelques fois nous ne partageons pas le même point de vue que lui. Il n'en est pas de même en occident où la cellule familiale éclate dans tous les sens et où les vieux, les personnes âgées sont considérés comme source d'ennuis, d'empêcheurs de vivre normalement. L'Africain en général, et le Sénégalais en particulier, vénère la famille et ses anciens. Cette considération, nous sommes en droit de la donner à Abdoulaye Wade qui non seulement est un ancien mais est aussi le Président de tous les Sénégalais.
Certains candidats plus parricides que Brutus ne font guère honneur aux Sénégalais en venant nous le dépeindre comme le pire des démons. Il ne faudrait pas qu'ils nous prennent pour des demeurés. Nous connaissons tous leur parcours et surtout leur soif de conquérir ce pouvoir si grisant, si valorisant. C’est dans leur empressement à vouloir porter rapidement le manteau du pouvoir qu’ils ont été découverts et rejetés par celui qui les a portés au firmament, celui qui les a portés au devant du Sénégal et du monde. Ils ont beau être mus par le besoin de répondre à cette alternance générationnelle qui se prépare encore faudrait-il qu’il fasse preuve de retenue et surtout de moins d’arrogance dans cette quête invétérée de la station présidentielle. Ils veulent le pouvoir ? Soit, qu'ils aillent donc le conquérir dans les règles de l'art, sans se dérober, sans se cacher derrière de pauvres étudiants en quête de savoir, sans se dissimuler derrière des jeunes du mouvement hip hop qui à travers leurs musiques dénoncent les travers de notre société et expriment leur vague à l'âme, sans pousser à l’insurrection et à la désobéissance civile. La démagogie ne peut prospérer dans un pays comme le Sénégal où même le charbonnier du coin détient sa carte d'électeur et attend le jour et l'heure pour aller s'exprimer de manière citoyenne et libre.
Quoique veuillent nous faire croire les oiseaux de mauvais augure, il n'y a pas de guerre au Sénégal et il n’y en aura pas. Il y a certes des antagonismes, des tiraillements d'idées et d'opinions, etc. qui font le socle de notre démocratie, si vivante et exemplaire. Les prières des responsables religieux seront toujours utiles et nous en aurons toujours besoin comme dans tous les actes quotidiens de notre vie. Ces prières sont le soubassement de la paix dans ce pays. Nous en redemandons encore contrairement à ces philosophes en perte de repères qui feraient mieux de revenir sur leurs pas au lieu de se perdre dans les méandres de pensées venues d'ailleurs et dont ils n’ont aucune maîtrise. Pour finir, la communauté internationale c'est qui ? Ceux-là qui lancent des injonctions au gré de leurs vils intérêts mercantiles et méprisants ? Ceux-là qui nous gratifient de leurs bombes et armes de toutes sortes pour nous réduire au silence des agneaux ? Si c'est cette communauté là, nous la rejetons avec la dernière énergie, conscients que nous sommes porteurs de valeurs humaines inébranlables et respectueux des recommandations divines nous invitant à la paix des âmes et des cœurs. Vade de retro satanas !
Au Sénégal, certains cherchent à jeter l'opprobre sur le Conseil constitutionnel qui ne s'est limité qu'à dire le droit et simplement le droit. Leur décision, parce que n'étant pas celle souhaitée par les autres candidats, ne répondrait donc pas au droit. Elle est à jeter aux orties parce que honnie par ceux-là qui s'attendaient à une décision qui leur est favorable, une décision mettant hors course le candidat Abdoulaye Wade afin qu’ils puissent, comme des lions affamés, se jeter dans la mare aux crocodiles pour y tirer le sceptre du pouvoir. C'est à croire que la plupart de nos candidats qui disent s'opposer à cette décision ne sont pas des républicains et certainement, ignorent le principe de l'autorité de la chose jugée. S'il faut jeter aux orties le Conseil constitutionnel, il faut en faire de même avec toutes les institutions de la République ! Et là, c'est la voie grande ouverte à l'anarchie et au chaos. On ne peut vouloir une chose et son contraire. Cessons d’amuser la galerie.
Pourquoi donc s'arroger le droit de classifier les candidats en groupes de "candidats sans illusion et de candidats sérieux" ? Soyons sérieux ! Tous les candidats sont de la même veine. Ils sont tous animés par la volonté de conquérir le pouvoir suprême. Ce qui va certainement les différencier, ce sont les moyens et l'énergie qu'ils mettront à nous convaincre. Et il appartient aux Sénégalais de faire leur choix le moment venu. Qu’on ne vienne donc pas faire offense à nos intelligences en nous faisant croire qu’il existe des candidats au dessus des autres. Ils sont tous Sénégalais. Point barre. Nous voyons tous les jours les méfaits de cette presse partisane qui, malheureusement, s'érige en donneur de leçons quand elle ne joue pas simplement le néfaste rôle de la radio des mille collines. C’est à croire que ces journalistes ne sont pas mus par les intérieurs supérieurs du Sénégal mais par des raisons aussi obscures que maléfiques. Arrêtons de verser de l'huile sur le feu ! Le Sénégal appartient à tous les Sénégalais. S'il brûle, que personne ne s'imagine qu'il ne sera pas concerné. Nous serions tous, comme sous une coulée de lave qui se déverserait sur notre pays, entièrement recouverts sous les amas de cendre chaude et mouvante. Surtout ceux-là qui tiennent des discours va-t-en guerre en pensant que c'est cela la politique. Ces gens se trompent lourdement et les Sénégalais dans leur grande majorité, ont d'autres préoccupations que d'aller servir de chair à canon à des candidats en quête de pouvoir, je dirai même avides de pouvoir, sans pour autant passer par les voies et moyens de le conquérir ...démocratiquement et sans heurts. C'est bien de conquête de pouvoir dont il s'agit. Mais pour cela, il faut satisfaire à des conditions prévues par la loi. On ne s'improvise pas politicien quoiqu'on dispose de moyens financiers pour en faire. On essaye de donner une certaine dimension à l’invalidation du candidat Youssou Ndour parce que simplement il y a tout un lobbying qui ne dit pas son nom derrière sa candidature. Et vous tombez dans le panneau en faisant l'injure aux membres du Conseil constitutionnel d'avoir prétendument répondu aux injonctions du candidat Wade de rejeter la validité de sa candidature pour la fallacieuse raison qu'il ferait peur comme candidat. Allons donc ! Pourquoi la candidature de Kéba Keinde, spécialiste de la haute finance ne ferait-elle pas peur aussi ? Au Sénégal, nous avons malheureusement ce vilain défaut de donner de l'importance à des gens ou à des choses qui ne le méritent pas parce que simplement cela va dans l'air du temps, c'est à la mode. Comme au Libéria il y a un footballeur qui brigue les rênes de l'Etat, comme à Haïti, un chanteur est aux commandes, pourquoi donc un chanteur "planétaire" ne viendrait pas présider aux destinées du Sénégal ?
Nous étions tous, le Président Wade également, suspendus à la décision du Conseil constitutionnel. Maintenant que la décision a été rendue, il nous faut nous en remettre à la sagesse de la décision et tourner la page. Il en va de même lorsqu’un juge rend une décision dans une affaire quelconque. Bien qu'elle puisse ne pas être en notre faveur, nous nous devons de nous soumettre et accepter le verdict rendu. Ce n'est pas pour autant que nous allons mettre le feu au tribunal. Accepter la candidature de Wade ou ne pas l'accepter, là n'est plus le problème. Les Sénégalais attendent les candidats dans la présentation de leurs projets de société, dans leur capacité à démontrer leur stature d'hommes ou de femmes d'Etat, dans leur capacité à montrer leur disponibilité à servir le Sénégal et les Sénégalais. Tout le reste n'est que broutille qui n'intéresse guère les Sénégalais qui ont certainement d'autres chats à fouetter.
Mon cher Mouhamadou, tu sembles ignorer que les Sénégalais sont un peuple non violent. Pourquoi voudrait que le Sénégal s'embrase parce que simplement des candidats à l'élection présidentielle auraient été laissés sur le carreau de leurs ambitions ? Pourquoi y aurait-il de la violence là où le peuple souverain a le pouvoir de départager, de faire un choix, de porter son choix sur celui ou celle qui répond le mieux à ses aspirations et à ses attentes ? Pourquoi donc emboucher les trompettes de l'occident pour déclarer le président sortant sénile, bon à ranger dans une maison pour retraités, invalides, atteints de la maladie d’Alzheimer ? Arrêtons donc un peu de suivre benoîtement ces occidentaux qui ne donnent pas le bon exemple. Chez nous, en Afrique, l'ancien est vénéré, adulé même si quelques fois nous ne partageons pas le même point de vue que lui. Il n'en est pas de même en occident où la cellule familiale éclate dans tous les sens et où les vieux, les personnes âgées sont considérés comme source d'ennuis, d'empêcheurs de vivre normalement. L'Africain en général, et le Sénégalais en particulier, vénère la famille et ses anciens. Cette considération, nous sommes en droit de la donner à Abdoulaye Wade qui non seulement est un ancien mais est aussi le Président de tous les Sénégalais.
Certains candidats plus parricides que Brutus ne font guère honneur aux Sénégalais en venant nous le dépeindre comme le pire des démons. Il ne faudrait pas qu'ils nous prennent pour des demeurés. Nous connaissons tous leur parcours et surtout leur soif de conquérir ce pouvoir si grisant, si valorisant. C’est dans leur empressement à vouloir porter rapidement le manteau du pouvoir qu’ils ont été découverts et rejetés par celui qui les a portés au firmament, celui qui les a portés au devant du Sénégal et du monde. Ils ont beau être mus par le besoin de répondre à cette alternance générationnelle qui se prépare encore faudrait-il qu’il fasse preuve de retenue et surtout de moins d’arrogance dans cette quête invétérée de la station présidentielle. Ils veulent le pouvoir ? Soit, qu'ils aillent donc le conquérir dans les règles de l'art, sans se dérober, sans se cacher derrière de pauvres étudiants en quête de savoir, sans se dissimuler derrière des jeunes du mouvement hip hop qui à travers leurs musiques dénoncent les travers de notre société et expriment leur vague à l'âme, sans pousser à l’insurrection et à la désobéissance civile. La démagogie ne peut prospérer dans un pays comme le Sénégal où même le charbonnier du coin détient sa carte d'électeur et attend le jour et l'heure pour aller s'exprimer de manière citoyenne et libre.
Quoique veuillent nous faire croire les oiseaux de mauvais augure, il n'y a pas de guerre au Sénégal et il n’y en aura pas. Il y a certes des antagonismes, des tiraillements d'idées et d'opinions, etc. qui font le socle de notre démocratie, si vivante et exemplaire. Les prières des responsables religieux seront toujours utiles et nous en aurons toujours besoin comme dans tous les actes quotidiens de notre vie. Ces prières sont le soubassement de la paix dans ce pays. Nous en redemandons encore contrairement à ces philosophes en perte de repères qui feraient mieux de revenir sur leurs pas au lieu de se perdre dans les méandres de pensées venues d'ailleurs et dont ils n’ont aucune maîtrise. Pour finir, la communauté internationale c'est qui ? Ceux-là qui lancent des injonctions au gré de leurs vils intérêts mercantiles et méprisants ? Ceux-là qui nous gratifient de leurs bombes et armes de toutes sortes pour nous réduire au silence des agneaux ? Si c'est cette communauté là, nous la rejetons avec la dernière énergie, conscients que nous sommes porteurs de valeurs humaines inébranlables et respectueux des recommandations divines nous invitant à la paix des âmes et des cœurs. Vade de retro satanas !
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