L’information n’a pas été donnée lors de l’audience solennelle de rentrée des Cours et Tribunaux, mais sur Twitter. En effet, sur la page officielle du Président Macky Sall , son gérant indique : « Je mets à disposition un terrain de 10 000 m2 et une enveloppe d'un milliard pour l'école de formation des avocats. MS »
Lors de son discours, le Chef de l’Etat dira par ailleurs que « la réflexion sur la profession d’avocat, dans un monde en mutation, mérite d’être approfondie dans le contexte de notre pays afin de concilier l’ouverture et l’attractivité du métier. » En promettant par ailleurs que pour ce qui est de l’Ecole de formation des avocats, le Gouvernement fera parvenir très bientôt sa contribution.
Sur un autre point, le Président a réaffirmé son engagement à poursuivre les réformes allant dans le sens du renforcement de l’Etat de droit en général et de l’amélioration qualitative du fonctionnement du service public de la justice en particulier. « Approfondissement de l’Etat de droit, c’est le sens et l’objectif de la révision constitutionnelle qui est envisagée pour cette année, et dont une importante partie est relative au pouvoir judiciaire, notamment à la justice constitutionnelle ».
Avec cette nouvelle voie de droit, les justiciables sénégalais n’attendront plus l’étape de la Cassation pour invoquer la garantie de leurs droits à valeur constitutionnelle, fera-t-il savoir.
La cérémonie de rentrée solennelle des Cours et Tribunaux avait pour thème : « Les collectivités locales et le contrôle de légalité. » Ce thème revêt un intérêt majeur et c’est dans ce sens « qu’il faut comprendre l’inscription dans le projet de révision constitutionnelle, de la constitutionnalisation des principes de la décentralisation et de la déconcentration, mais aussi de la promotion de la gouvernance locale par la création du Haut Conseil des Collectivités territoriales », dira le Président Macky Sall.
Sur le registre des insuffisances et l’absence de suivi et d’évaluation du contrôle de légalité qui a, entre autres, pour conséquence le non respect de l’exigence de production, chaque année, par le Gouvernement d’un rapport sur le contrôle de légalité prévue depuis 1996 et réaffirmée par le code général des collectivités locales.
Macky Sall demandera au Premier Ministre de veiller au respect de cette obligation par le Gouvernement. La production annuelle de ce rapport permettra, à coup sûr, d’avoir une meilleure compréhension des problèmes et de leur apporter les solutions appropriées, fera t-il savoir.
Lors de son discours, le Chef de l’Etat dira par ailleurs que « la réflexion sur la profession d’avocat, dans un monde en mutation, mérite d’être approfondie dans le contexte de notre pays afin de concilier l’ouverture et l’attractivité du métier. » En promettant par ailleurs que pour ce qui est de l’Ecole de formation des avocats, le Gouvernement fera parvenir très bientôt sa contribution.
Sur un autre point, le Président a réaffirmé son engagement à poursuivre les réformes allant dans le sens du renforcement de l’Etat de droit en général et de l’amélioration qualitative du fonctionnement du service public de la justice en particulier. « Approfondissement de l’Etat de droit, c’est le sens et l’objectif de la révision constitutionnelle qui est envisagée pour cette année, et dont une importante partie est relative au pouvoir judiciaire, notamment à la justice constitutionnelle ».
Avec cette nouvelle voie de droit, les justiciables sénégalais n’attendront plus l’étape de la Cassation pour invoquer la garantie de leurs droits à valeur constitutionnelle, fera-t-il savoir.
La cérémonie de rentrée solennelle des Cours et Tribunaux avait pour thème : « Les collectivités locales et le contrôle de légalité. » Ce thème revêt un intérêt majeur et c’est dans ce sens « qu’il faut comprendre l’inscription dans le projet de révision constitutionnelle, de la constitutionnalisation des principes de la décentralisation et de la déconcentration, mais aussi de la promotion de la gouvernance locale par la création du Haut Conseil des Collectivités territoriales », dira le Président Macky Sall.
Sur le registre des insuffisances et l’absence de suivi et d’évaluation du contrôle de légalité qui a, entre autres, pour conséquence le non respect de l’exigence de production, chaque année, par le Gouvernement d’un rapport sur le contrôle de légalité prévue depuis 1996 et réaffirmée par le code général des collectivités locales.
Macky Sall demandera au Premier Ministre de veiller au respect de cette obligation par le Gouvernement. La production annuelle de ce rapport permettra, à coup sûr, d’avoir une meilleure compréhension des problèmes et de leur apporter les solutions appropriées, fera t-il savoir.