Dans notre article publié ce mercredi et qui porte sur l’audience présidentielle accordée hier au patronat, le maire de la ville de Kaolack a tenu à apporter des éclairages. Effectivement, l’invitation a été bien reçue par Serigne Mboup en tant que président de l'Union des Chambres de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture du Sénégal.
Néanmoins, l’homme d’affaires précise en guise d’information, que son intervention a effectivement porté sur : « le respect du calendrier électoral et la limitation des mandats doivent aussi s’appliquer au secteur privé. Malheureusement depuis 2010 les élections n’ont pas été organisées en dépit de la fin de nos mandats. Cette situation est due à un dilatoire de certains élus qui sont en place depuis plus de 30 ans. Plus grave des décisions rendues par la cour suprême par arrêt n° 25 et 26 du 20 /12 2012 dont copie ci-joint, ne sont pas exécutées par l’autorité consacrant l’illégitimité du président de chambre de Dakar qui malgré cela gère des deniers publics ».
Est-ce réellement le sujet qu’attendait le président de la République ? Visiblement non, car le successeur de Macky Sall qui, naturellement , pas indiqué à recevoir ce genre de plainte, a abordé ces sujets qui ont d’ailleurs été mentionnés dans le communiqué du conseil des ministres ce mercredi : « (…) Le Président de la République a, dans le même élan, informé le Conseil des audiences qu’il a accordées, le mardi 24 avril 2024, aux responsables des centrales syndicales les plus représentatives et aux dirigeants des organisations du Patronat, dans le cadre des concertations pour la consolidation de la stabilité sociale et des efforts collectifs de lutte contre la vie chère, la relance de l’économie nationale et la création d’emplois pour les jeunes » telle est l’économie de la rencontre avec les centrales syndicales et le patronat.
Néanmoins, l’homme d’affaires précise en guise d’information, que son intervention a effectivement porté sur : « le respect du calendrier électoral et la limitation des mandats doivent aussi s’appliquer au secteur privé. Malheureusement depuis 2010 les élections n’ont pas été organisées en dépit de la fin de nos mandats. Cette situation est due à un dilatoire de certains élus qui sont en place depuis plus de 30 ans. Plus grave des décisions rendues par la cour suprême par arrêt n° 25 et 26 du 20 /12 2012 dont copie ci-joint, ne sont pas exécutées par l’autorité consacrant l’illégitimité du président de chambre de Dakar qui malgré cela gère des deniers publics ».
Est-ce réellement le sujet qu’attendait le président de la République ? Visiblement non, car le successeur de Macky Sall qui, naturellement , pas indiqué à recevoir ce genre de plainte, a abordé ces sujets qui ont d’ailleurs été mentionnés dans le communiqué du conseil des ministres ce mercredi : « (…) Le Président de la République a, dans le même élan, informé le Conseil des audiences qu’il a accordées, le mardi 24 avril 2024, aux responsables des centrales syndicales les plus représentatives et aux dirigeants des organisations du Patronat, dans le cadre des concertations pour la consolidation de la stabilité sociale et des efforts collectifs de lutte contre la vie chère, la relance de l’économie nationale et la création d’emplois pour les jeunes » telle est l’économie de la rencontre avec les centrales syndicales et le patronat.
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