L'absence d'une souveraineté monétaire constitue une préoccupation pour le parti Pastef qui a fustigé l'incapacité du gouvernement de Macky Sall à financer l'économie. Actuellement aux affaires, l’heure est de voir comment arrêter cette dette qui se paie selon la devise de l’occident et ces fluctuations qui fragilisent l’économie sénégalaise. Que faire ? Dans cette entreprise effectuée pour dénicher les facteurs concourant vers la mise en place de cette reforme monétaire, nous avons découvert que les initiateurs du projet systémique, ont engagé le développement économique et social du Sénégal. Il faudra dès lors mettre en œuvre une politique macroéconomique solide avec une monnaie qui évolue dans un marché et qui respecte cette loi fondamentale de l'offre et de la demande. En effet, le gouvernement Diomaye 1, compte mettre en place une monnaie soutenue par une bonne situation macroéconomique. Pour le lancement de cette monnaie nationale le Sénégal doit avoir une structure économique solide et reposer, selon les nouvelles autorités, sur un bon modèle économique. Principalement, pour prendre le large et faire un bond qualitatif dans ce secteur monétaire, Diomaye et son équipe misent sur ses ressources naturelles notamment l’or, le fer, le cuivre, le chrome, nickel et des minéraux industriels telles que les phosphates, calcaires industriels, barytine, le zircon le titane entre autres.
Dans cette perspective, le projet prône la séparation des banques d'affaires des banques de dépôt pour permettre les prêts de consommation à court terme et leur interdire le marché des obligations. In fine, l’objectif est de créer des banques nationales pour financer le développement en ciblant les secteurs stratégiques. Une posture pour tendre, selon le parti au pouvoir, vers un renforcement des banques nationales comme d’ailleurs, l’avaient indiqué certains candidats lors de la dernière présidentielle. Il faut également, pour le régime actuel, disposer de moyens techniques de création monétaire. Dans le cadre de l'UEMOA ou après la mise en place d'une monnaie nationale, il faut permettre aux États de se refinancer au taux de 0% au niveau de la Banque centrale ou, à tout le moins, au taux directeur de la banque centrale.
D’autres part, ce qui préoccupe l’actuel régime est également, la dette publique et privée. Il faudra reprofiler la première et annuler celle privée. Quant au déficit commercial qui crée une tension permanente de devises et oblige l'Etat à recourir à la dette, à des exportations de matières premières et aux investissements directs étrangers, le régime de Diomaye entend engager une réduction du déficit qui passe par l'atteinte de l'autosuffisance en produits alimentaires. Dans leur projet pour la souveraineté monétaire, le président Bassirou Diomaye Faye et son premier ministre Ousmane Sonko entendent prendre part dans les avoirs extérieurs actuellement gérés par la BCEAO, dans le cadre de l’UEMOA. « À partir du moment où le Sénégal a et gère sa propre monnaie, il gérera par lui-même, ses propres ressources financières « dormantes » dans les comptes de dépôt éparpillés à travers le monde » d’après le tandem.
Il est attendue entre autres, la réduction du déficit budgétaire, du recours à l'endettement et la baisse des intérêts de commissions de la dette, sans oublier la réédition des comptes et le renforcement de la confiance des citoyens aux institutions de la République et l’augmentation de la part des dépenses publiques allouées aux secteurs prioritaires et stratégiques.
Dans cette perspective, le projet prône la séparation des banques d'affaires des banques de dépôt pour permettre les prêts de consommation à court terme et leur interdire le marché des obligations. In fine, l’objectif est de créer des banques nationales pour financer le développement en ciblant les secteurs stratégiques. Une posture pour tendre, selon le parti au pouvoir, vers un renforcement des banques nationales comme d’ailleurs, l’avaient indiqué certains candidats lors de la dernière présidentielle. Il faut également, pour le régime actuel, disposer de moyens techniques de création monétaire. Dans le cadre de l'UEMOA ou après la mise en place d'une monnaie nationale, il faut permettre aux États de se refinancer au taux de 0% au niveau de la Banque centrale ou, à tout le moins, au taux directeur de la banque centrale.
D’autres part, ce qui préoccupe l’actuel régime est également, la dette publique et privée. Il faudra reprofiler la première et annuler celle privée. Quant au déficit commercial qui crée une tension permanente de devises et oblige l'Etat à recourir à la dette, à des exportations de matières premières et aux investissements directs étrangers, le régime de Diomaye entend engager une réduction du déficit qui passe par l'atteinte de l'autosuffisance en produits alimentaires. Dans leur projet pour la souveraineté monétaire, le président Bassirou Diomaye Faye et son premier ministre Ousmane Sonko entendent prendre part dans les avoirs extérieurs actuellement gérés par la BCEAO, dans le cadre de l’UEMOA. « À partir du moment où le Sénégal a et gère sa propre monnaie, il gérera par lui-même, ses propres ressources financières « dormantes » dans les comptes de dépôt éparpillés à travers le monde » d’après le tandem.
Il est attendue entre autres, la réduction du déficit budgétaire, du recours à l'endettement et la baisse des intérêts de commissions de la dette, sans oublier la réédition des comptes et le renforcement de la confiance des citoyens aux institutions de la République et l’augmentation de la part des dépenses publiques allouées aux secteurs prioritaires et stratégiques.