Le Mouvement panafricain et citoyen Luy jot jotna (Mpcl) constatant que les portes du report, de la concertation sincère et de la recherche du consensus, étant résolument fermées, indique qu’il ne leur reste qu’à se prononcer sur la meilleure façon de manifester leur désaccord profond avec le passage en force et l’organisation d’un référendum coûteux, vidé de sa substance et pourtant évitable! “Or donc, ce Référendum laissera sur leur faim tous les partisans sincères d’institutions démocratiques fortes et l’émergence d’une nouvelle citoyenneté, avec en prime l’immense déception que “le respect de la parole donnée” soit traité par des politiciens naufragés comme une simple “variable” et non une “constante” et un épicentre de nos valeurs africaines fondatrices”.
Le “boycott actif” n’étant pas quantifiable dans notre système électoral référendaire (organisé uniquement autour du “OUI” ou du “NON”), le MPCL, positionné dès le départ dans “le camp du refus” (Ñaani Bañ Na!), appelle ses partisans, amis et sympathisants à ne pas s’abstenir et à ne pas rester en marge d’un débat essentiel pour le futur de notre démocratie et pour la défense de “l’exception sénégalaise”, en allant massivement VOTER NON le 20 mars prochain.
Le NON MASSIF, quelle que soit par ailleurs l’issue du scrutin, ouvrira la porte à un débat fécond et continu sur les voies et moyens de la mise en place d’une nouvelle constitution sénégalaise, aux réformes réellement “consolidantes”, symbolisées par un retour du quinquennat et par la fin des excès et dérives du présidentialisme fort qui demeure, à nos yeux, le véritable talon d’Achille de notre République et de notre démocratie. Le Sénégal s’en portera mieux, l’Afrique (notre destin) qui a toujours perçu le Sénégal, depuis le premier vote des Saint-Louisiens en 1848, comme une boussole, en sera fière!
Le “boycott actif” n’étant pas quantifiable dans notre système électoral référendaire (organisé uniquement autour du “OUI” ou du “NON”), le MPCL, positionné dès le départ dans “le camp du refus” (Ñaani Bañ Na!), appelle ses partisans, amis et sympathisants à ne pas s’abstenir et à ne pas rester en marge d’un débat essentiel pour le futur de notre démocratie et pour la défense de “l’exception sénégalaise”, en allant massivement VOTER NON le 20 mars prochain.
Le NON MASSIF, quelle que soit par ailleurs l’issue du scrutin, ouvrira la porte à un débat fécond et continu sur les voies et moyens de la mise en place d’une nouvelle constitution sénégalaise, aux réformes réellement “consolidantes”, symbolisées par un retour du quinquennat et par la fin des excès et dérives du présidentialisme fort qui demeure, à nos yeux, le véritable talon d’Achille de notre République et de notre démocratie. Le Sénégal s’en portera mieux, l’Afrique (notre destin) qui a toujours perçu le Sénégal, depuis le premier vote des Saint-Louisiens en 1848, comme une boussole, en sera fière!