Ce rapport de "GreenPeace" demandant aux gouvernements des pays d'Afrique de l'Ouest de mettre fin aux différentes pratiques de l'industrie de farine et d'huile de poisson veut par ailleurs montrer que l'essentiel doit être concentré sur les moyens de subsistance des populations locales.
Estimant "que des centaines de milliers de tonnes de poissons sont transformées en farine ou en huile pour l'exportation au détriment d'environ 40 millions d'Africains, ces gouvernements d'Afrique de l'Ouest doivent penser dans une certaine mesure à protéger les stocks halieutiques de la région.
Pour "GreenPeace", ces gouvernants doivent avoir comme priorité, la défense du droit à la sécurité alimentaire de leurs citoyens. Ainsi, "il faudra donc réduire rapidement les volumes de poisson destinés à la production de l'huile et de la farine", déclare Ibrahima Cissé, responsable de la campagne Océans de Greenpeace Afrique.
En guise de rappel, "Greenpeace" estime avoir recensé 50 usines de transformation de farine et d'huile de poisson dans la région. 40 parmi elles, étaient en activité en mars 2019. La majorité de la production de ces usines est cependant destinée à l'exportation principalement dans les pays d'Asie et de l'Union européenne (qui est censé soutenir les modèles de développement de ces pays).
L'organisation "Greenpeace" souligne toujours que "l'industrie de la farine et de l'huile de poisson, en plein essor, menace non seulement les stocks de poisson régionaux, mais affecte également les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire des populations locales. C'est ce qui se manifeste dans l'exemple du Sénégal où 80% des débarquements de poisson proviennent du secteur artisanal, le poisson couvrant 70% des besoins en protéine animale de la population".
Cependant, Greenpeace Afrique incite les gouvernements des pays d'Afrique de l'Ouest et les entreprises à faire face à leurs responsabilités en protégeant les précieuses réserves halieutiques de la région. Aussi, d'accorder la priorité au respect des droits fondamentaux à la sécurité alimentaire et à une vie décente pour les pêcheurs artisans et les femmes transformatrices.
Estimant "que des centaines de milliers de tonnes de poissons sont transformées en farine ou en huile pour l'exportation au détriment d'environ 40 millions d'Africains, ces gouvernements d'Afrique de l'Ouest doivent penser dans une certaine mesure à protéger les stocks halieutiques de la région.
Pour "GreenPeace", ces gouvernants doivent avoir comme priorité, la défense du droit à la sécurité alimentaire de leurs citoyens. Ainsi, "il faudra donc réduire rapidement les volumes de poisson destinés à la production de l'huile et de la farine", déclare Ibrahima Cissé, responsable de la campagne Océans de Greenpeace Afrique.
En guise de rappel, "Greenpeace" estime avoir recensé 50 usines de transformation de farine et d'huile de poisson dans la région. 40 parmi elles, étaient en activité en mars 2019. La majorité de la production de ces usines est cependant destinée à l'exportation principalement dans les pays d'Asie et de l'Union européenne (qui est censé soutenir les modèles de développement de ces pays).
L'organisation "Greenpeace" souligne toujours que "l'industrie de la farine et de l'huile de poisson, en plein essor, menace non seulement les stocks de poisson régionaux, mais affecte également les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire des populations locales. C'est ce qui se manifeste dans l'exemple du Sénégal où 80% des débarquements de poisson proviennent du secteur artisanal, le poisson couvrant 70% des besoins en protéine animale de la population".
Cependant, Greenpeace Afrique incite les gouvernements des pays d'Afrique de l'Ouest et les entreprises à faire face à leurs responsabilités en protégeant les précieuses réserves halieutiques de la région. Aussi, d'accorder la priorité au respect des droits fondamentaux à la sécurité alimentaire et à une vie décente pour les pêcheurs artisans et les femmes transformatrices.
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