Il fut un temps où personne ne pouvait s’imaginer que la prostitution occuperait une place si importante au Sénégal, un pays de valeurs et de normes entretenues par nos autorités et guides religieux. Hélas, il est maintenant très regrettable de voir que le plus vieux métier du monde a pris une ampleur insoupçonnée.
Les appartements dans des quartiers dortoirs comme Ouest Foire ou encore la Cité Mixta sont le nid de la débauche absolue, même si la vieille méthode des filles racolant au bord des routes, reste toujours de mise. Un petit tour aux Almadies vers les coups de deux heures du matin nous a permis de voir comment les filles s’adonnaient à la prostitution.
À chaque arrêt, ces dernières demandaient la somme de 25 000 fcfa pour une passe. Malgré nos multiples tentatives pour les interviewer, une seule a bien voulu nous parler. Frêle, de petite taille et l’œil gauche enflé, notre interlocutrice feint de n’avoir pas au préalable « compris nos préoccupations ».
« Finalement, ça ne m'arrangerait pas de faire une interview, car il y a des risques, c’est pourquoi j’ai rejeté votre appel », dira-t-elle dans un premier temps. « J’ai 22 ans, ma famille n’a pas les moyens, je vis des situations très difficiles, c’est pourquoi j’ai arrêté mes études pour me prostituer afin de subvenir à mes besoins », dit elle.
« On rencontre toutes sortes de personnes méchantes comme gentilles, mais qu’importe la situation, il faut bien être en règle afin d’éviter des problèmes », nous raconte-t-elle.
Pour Serigne Mouhamed Kara Sène, oustaz et maître coranique, l’Islam ne réserve aucune pitié aux femmes qui s’adonnent à la prostitution, ce dernier est bien revenu sur les hadith du prophète Mohamed (Psl) « C’est un des plus grands péchés, la sanction est valable pour l’homme comme à la femme.
Qu’importe la situation et difficultés que traverse la fille, elle ne doit jamais s’adonner à la prostitution », nous dit Oustaz Kara. Ainsi, il incite tout homme à prendre en considération notre religion et à préserver nos valeurs morales et culturelles...
Les appartements dans des quartiers dortoirs comme Ouest Foire ou encore la Cité Mixta sont le nid de la débauche absolue, même si la vieille méthode des filles racolant au bord des routes, reste toujours de mise. Un petit tour aux Almadies vers les coups de deux heures du matin nous a permis de voir comment les filles s’adonnaient à la prostitution.
À chaque arrêt, ces dernières demandaient la somme de 25 000 fcfa pour une passe. Malgré nos multiples tentatives pour les interviewer, une seule a bien voulu nous parler. Frêle, de petite taille et l’œil gauche enflé, notre interlocutrice feint de n’avoir pas au préalable « compris nos préoccupations ».
« Finalement, ça ne m'arrangerait pas de faire une interview, car il y a des risques, c’est pourquoi j’ai rejeté votre appel », dira-t-elle dans un premier temps. « J’ai 22 ans, ma famille n’a pas les moyens, je vis des situations très difficiles, c’est pourquoi j’ai arrêté mes études pour me prostituer afin de subvenir à mes besoins », dit elle.
« On rencontre toutes sortes de personnes méchantes comme gentilles, mais qu’importe la situation, il faut bien être en règle afin d’éviter des problèmes », nous raconte-t-elle.
Pour Serigne Mouhamed Kara Sène, oustaz et maître coranique, l’Islam ne réserve aucune pitié aux femmes qui s’adonnent à la prostitution, ce dernier est bien revenu sur les hadith du prophète Mohamed (Psl) « C’est un des plus grands péchés, la sanction est valable pour l’homme comme à la femme.
Qu’importe la situation et difficultés que traverse la fille, elle ne doit jamais s’adonner à la prostitution », nous dit Oustaz Kara. Ainsi, il incite tout homme à prendre en considération notre religion et à préserver nos valeurs morales et culturelles...