Votre site préféré est resté inaccessible pendant presque deux heures ce matin. Nous présentons nos excuses à tous les internautes qui nous font confiance et qui ont multiplié les coups de fil, d’un peu partout dans le monde, pour s’informer sur les raisons de ce désagrément. Nous en connaissons un bout, mais déontologie journalistique oblige, ne pouvons rien révéler avant d’avoir fini de reconstituer de bout en bout ce qui apparaît clairement comme un complot pour éteindre une voix de plus en plus écoutée au Sénégal et dans le monde.
Dakaractu ne mourra pas et ne se taira pas. Avant de revenir sur ce complot après bouclage de notre enquête, nous rassurons dorénavant tous ceux qui nous confiance que nous mettons un point d’honneur à sauver ce site qui est un espace démocratique de recherche de la vérité et d’exercice de la liberté d’expression.
En moins de trois mois d’existence, dakaractu a tenté de montrer, quoique avec des imperfections, qu’il est possible, même dans un pays africain, d’expérimenter un journalisme d’investigation respectueux des faits, de la dignité des personnes, du droit de réponse de chacun, de l’équidistance entre les forces politiques… Tous ceux qui sont de bonne foi reconnaissent que nous travaillons dans le souci de sauvegarder les intérêts du Sénégal et de traiter l’actualité de manière à permettre aux Sénégalais de saisir les dessous des cartes afin de mieux choisir en février 2012. Tous ceux qui, pour se faire plaisir ou pour étayer leurs préjugés, tentent de nous ranger dans un camp, sont sans cesse démentis par le contenu de dakaractu.
Directeur de publication du site, je ne suis pas l’homme de quelqu’un ni d’un camp. On ne peut pas avoir le parcours qui est le mien, être doté par Dieu de la chance extraordinaire qui est la mienne, et devenir un homme-lige. Tous ceux qui me connaissent, à commencer par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade, savent que je crois trop en moi-même pour être capable de me ranger derrière quelqu’un. J’appartiens à la nation. Je milite pour le parti Sénégal. Je suis revenu vivre dans mon pays pour participer, à mon modeste niveau, à négocier ce dangereux virage jusqu’à l’échéance cruciale de février 2012. Et prends l’engagement, si Dieu me prête vie d’ici là, de fournir à ceux qui nous font l’honneur de nous lire le maximum possible de clés de compréhension du jeu politique.
Ceux qui cherchent à tuer dakaractu n’ont qu’à redoubler d’efforts. Les révélations, les documents confidentiels, les dessous des scandales déjà publiés sur ce site sont une goutte d’eau dans l’océan d’informations que nous allons déverser sur le Sénégal d’ici février 2012.
Que ce qui ont touché dakaractu ce matin, et qui ont échoué à le tuer, sachent que ce sera la dernière fois qu’ils réussiront à l’atteindre ! Toutes les dispositions idoines ont été prises. Nous le devons à ceux qui brûlent de la même passion du Sénégal que nous. Et qui ont très mal vécu ces deux heures au cours desquelles ils n’ont pas réussi à entrer dans leur site préféré.
Dakaractu ne mourra pas et ne se taira pas. Avant de revenir sur ce complot après bouclage de notre enquête, nous rassurons dorénavant tous ceux qui nous confiance que nous mettons un point d’honneur à sauver ce site qui est un espace démocratique de recherche de la vérité et d’exercice de la liberté d’expression.
En moins de trois mois d’existence, dakaractu a tenté de montrer, quoique avec des imperfections, qu’il est possible, même dans un pays africain, d’expérimenter un journalisme d’investigation respectueux des faits, de la dignité des personnes, du droit de réponse de chacun, de l’équidistance entre les forces politiques… Tous ceux qui sont de bonne foi reconnaissent que nous travaillons dans le souci de sauvegarder les intérêts du Sénégal et de traiter l’actualité de manière à permettre aux Sénégalais de saisir les dessous des cartes afin de mieux choisir en février 2012. Tous ceux qui, pour se faire plaisir ou pour étayer leurs préjugés, tentent de nous ranger dans un camp, sont sans cesse démentis par le contenu de dakaractu.
Directeur de publication du site, je ne suis pas l’homme de quelqu’un ni d’un camp. On ne peut pas avoir le parcours qui est le mien, être doté par Dieu de la chance extraordinaire qui est la mienne, et devenir un homme-lige. Tous ceux qui me connaissent, à commencer par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade, savent que je crois trop en moi-même pour être capable de me ranger derrière quelqu’un. J’appartiens à la nation. Je milite pour le parti Sénégal. Je suis revenu vivre dans mon pays pour participer, à mon modeste niveau, à négocier ce dangereux virage jusqu’à l’échéance cruciale de février 2012. Et prends l’engagement, si Dieu me prête vie d’ici là, de fournir à ceux qui nous font l’honneur de nous lire le maximum possible de clés de compréhension du jeu politique.
Ceux qui cherchent à tuer dakaractu n’ont qu’à redoubler d’efforts. Les révélations, les documents confidentiels, les dessous des scandales déjà publiés sur ce site sont une goutte d’eau dans l’océan d’informations que nous allons déverser sur le Sénégal d’ici février 2012.
Que ce qui ont touché dakaractu ce matin, et qui ont échoué à le tuer, sachent que ce sera la dernière fois qu’ils réussiront à l’atteindre ! Toutes les dispositions idoines ont été prises. Nous le devons à ceux qui brûlent de la même passion du Sénégal que nous. Et qui ont très mal vécu ces deux heures au cours desquelles ils n’ont pas réussi à entrer dans leur site préféré.