DAKARACTU.COM Viviane Wade n'avait jusqu'à une époque récente pas une opinion tranchée sur la candidature de son président d'époux à la présidentielle de février 2012. Sa position variait suivant le contexte et les arguments de son interlocuteur. Au lendemain des soulèvements populaires des 23 et 27 juin, elle a confié à l'un des vieux amis parisiens de son mari : "Je pense que l'heure est venue pour Abdoulaye de partir. Les choses commencent à prendre une tournure dangereuse."
Après un moment de doute et de flottement, les choses ont commencé à rentrer dans l'ordre aux yeux de la Première dame. Au point qu'elle soit aujourd'hui devenue l'un des plus farouches défenseurs de la candidature.
Lorsque, dernièrement, celui qu'elle appelle "Aboulaye" a eu un moment de doute et a pensé devoir se retirer, elle l'a gonflé à bloc. Commentaire d'un Français très au fait des arcanes de la politique sénégalaise : "Viviane Wade est devenue une sorte de Simone Gbagbo. Elle exhorte son mari à être candidat de la même façon que l'ex-Première dame de Côte d'Ivoire incitait le sien à confisquer le pouvoir après sa défaite."
Viviane Wade ne se limite pas qu'à parler. Joignant le geste à la parole, elle s'implique pour faire accepter la candidature de son mari aux autorités de son pays d'origine, la France. Elle active leurs réseaux hexagonaux à son mari et à elle-même. Et se prépare à une bataille qui risque d'être celle de trop pour sa famille.
Après un moment de doute et de flottement, les choses ont commencé à rentrer dans l'ordre aux yeux de la Première dame. Au point qu'elle soit aujourd'hui devenue l'un des plus farouches défenseurs de la candidature.
Lorsque, dernièrement, celui qu'elle appelle "Aboulaye" a eu un moment de doute et a pensé devoir se retirer, elle l'a gonflé à bloc. Commentaire d'un Français très au fait des arcanes de la politique sénégalaise : "Viviane Wade est devenue une sorte de Simone Gbagbo. Elle exhorte son mari à être candidat de la même façon que l'ex-Première dame de Côte d'Ivoire incitait le sien à confisquer le pouvoir après sa défaite."
Viviane Wade ne se limite pas qu'à parler. Joignant le geste à la parole, elle s'implique pour faire accepter la candidature de son mari aux autorités de son pays d'origine, la France. Elle active leurs réseaux hexagonaux à son mari et à elle-même. Et se prépare à une bataille qui risque d'être celle de trop pour sa famille.