Son implication active dans la recherche en santé et la surveillance épidémiologique a permis à l'Iressef d'être reconnu non seulement au Sénégal, mais également en Afrique. La preuve de cette consécration est la visite rendue ce vendredi 26 février au Professeur Souleymane Mboup et à son équipe par une délégation de l'Institut national de santé publique du Burkina Faso. « Pour discuter projet et partenariat et lui présenter notre plan architectural pour le siège de l'INSP », renseigne le Dr Dezemon Zingue qui dirige le Laboratoire principal de l'Institut national de santé publique burkinabé.
La délégation burkinabé a ainsi eu droit à une présentation des différentes étapes de la mise sur pied de l'Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef) par le Professeur Souleymane Mboup. De cet exposé, sera révélé le temps record (une année) de la construction de cette institution avec une implication personnelle de son président fondateur pour un budget d'environ 10 milliards.
«L'expérience de l'Iressef est enrichissante. Il faut avoir foi en ce qu'on entreprend, ce qu'on veut. Il faut avoir la foi pour qu'à la fin, vous ayez le produit escompté », s'est félicité le Dr Zingue selon qui « l'exemple » sénégalais doit être suivi par tous les pairs. C'est d'autant plus nécessaire que « le grand défi que nous avons, c'est comment retenir nos chercheurs pour éviter la fuite des cerveaux », ajoute le scientifique burkinabé.
Honoré par cette reconnaissance sous régionale, le Professeur Souleymane Mboup a rappelé la nécessité pour les chercheurs africains d'œuvrer dans le cadre de partenariats sud-sud pour appuyer la santé publique et la recherche.
La délégation burkinabé a ainsi eu droit à une présentation des différentes étapes de la mise sur pied de l'Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef) par le Professeur Souleymane Mboup. De cet exposé, sera révélé le temps record (une année) de la construction de cette institution avec une implication personnelle de son président fondateur pour un budget d'environ 10 milliards.
«L'expérience de l'Iressef est enrichissante. Il faut avoir foi en ce qu'on entreprend, ce qu'on veut. Il faut avoir la foi pour qu'à la fin, vous ayez le produit escompté », s'est félicité le Dr Zingue selon qui « l'exemple » sénégalais doit être suivi par tous les pairs. C'est d'autant plus nécessaire que « le grand défi que nous avons, c'est comment retenir nos chercheurs pour éviter la fuite des cerveaux », ajoute le scientifique burkinabé.
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