Le Mouvement Initiative Citoyenne pour le Changement au Sénégal est né à la suite d'un constat amer et douloureux pour les populations sénégalaises en général et celles des régions périphériques du Sénégal, en particulier après 12 Ans du régime du Président Abdoulaye Wade suite à la première Alternance de 2000.
C'est ainsi que des Cadres de la Région de Sédhiou ont décidé de s'organiser en Mouvement Citoyen qui vise à fonder une organisation capable de :
constituer une force de propositions propres à apporter les changements à la fois politiques, économiques, sociaux, culturels, environnementaux et comportementaux; prendre part aux débats de société et prendre position sur des questions de gouvernance, d’orientations politiques, économiques et sociales ; participer au titre de la société civile aux grands choix électoraux y compris par le soutien à ses membres engagés dans une bataille de positionnement politique ou des candidats qui s’inscrivent et acceptent l’idéal et la charte du mouvement ; servir de sentinelle pour la prise en compte et l’application des engagements des pouvoirs publics pour la recherche de solutions aux crises politiques, économiques, culturelles et sociales qui peuvent survenir au Sénégal, voire dans la sous-région; faire un plaidoyer pour la promotion des actions de développement des terroirs ; Appuyer les actions de bonne gouvernance locale et favoriser leur diffusion ; initier et impulser des actions de solidarité nationale et régionale en faveur des populations ; encourager les membres à investir dans les actions de développement économique. Ainsi, le MICCS a pris une part importante à travers son encrage dans les Assises Nationales et son appartenance à Benno Siggil Sénégal (BSS) dans la bataille qui a mis fin au Régime de l'Alternance incarné par le PDS.
Le Régime de la deuxième Alternance, que le MICCS a contribué à mettre en place avec ses moyens propres, n'en demeure pas moins décevant au regard de ses attentes par rapport au Mémorandum qui a notamment motivé son engagement pour l’élection du Président et qui portait sur une gestion efficace et non phagocytée par un clan du processus de paix en Casamance; de la réalisation des Infrastructures de désenclavement externe et interne, de celles économiques, sociales, culturelles et sportives de base.
Dans ce contexte, le MICCS considère qu’un Référendum, uniquement axé sur 15 points, est de nature à vider de toute leur substance les orientations pertinentes et stratégiques relatives au Projet de révision de la Constitution des Assises Nationales; celles-là mêmes qui ont été proposées au Candidat Macky Sall qui avait pris l'engagement de mettre en œuvre la charte des Assises Nationales qu’il a fini par signer, opportunément, entre les deux tours.
Par la suite, le Projet de révision de la Constitution ficelé à sa demande et remis en main propre par la Commission Nationale de Réforme des Institutions est apparemment soigneusement rangé dans les tiroirs.
Dès lors, quel sens donner au référendum uniquement basé sur les 15 points prévus au projet de retouche de la Constitution, et qui ne traduisent que très partiellement les vrais enjeux d’une véritable et ambitieuse révision constitutionnelle qu’attend actuellement et légitiment le peuple sénégalais. Certes ces points constituent quelques avancées mais, au regard d’une révision en profondeur basée sur les larges orientations stratégiques et conclusions issues des Assises Nationales et, dans une moindre mesure, sur les recommandations de la Commission Nationale de Réforme des Institutions (CNRI), ils sont largement insuffisants.
N’est-il pas opportun que ce moment exceptionnel de la consultation du Peuple soit de nature à consacrer durablement la stabilisation de notre Charte Fondamentale, au lieu d’emprunter la voie tortueuse de multiples et répétitives révisions de la Constitution dans le temps, fussent-elles dites de « petites avancées ! » ?
Le refus du Président Macky Sall d’accepter, simplement le report de la date du référendum, à la demande de la société civile pour lui permettre de formuler ses suggestions, est pour le moins incompréhensible
Qui plus est, dans un contexte fortement marqué par une crise multiforme, un référendum, qui pourrait coûter 3 Milliards de FCFA pour les uns voire 15 Milliards de FCFA pour les autres, n'a pas de sens et ne nous paraît pas opportun au moment où le Régime en place peine à respecter ses engagements vis à vis des Enseignants, des travailleurs de la Santé, des travailleurs des Collectivités locales, etc.
Le MICCS, considérant les résultats décevants et quasi nuls enregistrés dans la Région de Sédhiou, compte tenu du manque de considération à l'endroits du potentiel de Ressources Humaines de Qualité de la Région de Sédhiou et intégrant certains aspects non convaincants et non opportuns du Référendum du 20 Mars, demande aux populations, et singulièrement à celles de la Région de Sédhiou, de voter NON afin d'exiger une considération sans équivoque pour notre Région.
Le MICCS, considérant le non respect des engagements du Régime de Macky SALL à l'endroit des secteurs de l'Education et de la Santé et prenant en compte les énormes difficultés que traversent nos Industries, et Entreprises qui perdent de jour en jour des parts de marché au profit exclusif des Entreprises étrangères à cause d'une politique qui ne protège pas suffisamment les Industries et Entreprises sénégalaises, demande au peuple sénégalais de voter NON au Référendum du 20 Mars 2016 pour exiger du Régime de Macky SALL le respect de ses engagements sociaux et une politique plus efficiente à l'endroit des Industries et Entreprises du Sénégal.
Pour une République de la Bonne Gouvernance et de la Patrie avant le Parti et les Clans.
C'est ainsi que des Cadres de la Région de Sédhiou ont décidé de s'organiser en Mouvement Citoyen qui vise à fonder une organisation capable de :
constituer une force de propositions propres à apporter les changements à la fois politiques, économiques, sociaux, culturels, environnementaux et comportementaux; prendre part aux débats de société et prendre position sur des questions de gouvernance, d’orientations politiques, économiques et sociales ; participer au titre de la société civile aux grands choix électoraux y compris par le soutien à ses membres engagés dans une bataille de positionnement politique ou des candidats qui s’inscrivent et acceptent l’idéal et la charte du mouvement ; servir de sentinelle pour la prise en compte et l’application des engagements des pouvoirs publics pour la recherche de solutions aux crises politiques, économiques, culturelles et sociales qui peuvent survenir au Sénégal, voire dans la sous-région; faire un plaidoyer pour la promotion des actions de développement des terroirs ; Appuyer les actions de bonne gouvernance locale et favoriser leur diffusion ; initier et impulser des actions de solidarité nationale et régionale en faveur des populations ; encourager les membres à investir dans les actions de développement économique. Ainsi, le MICCS a pris une part importante à travers son encrage dans les Assises Nationales et son appartenance à Benno Siggil Sénégal (BSS) dans la bataille qui a mis fin au Régime de l'Alternance incarné par le PDS.
Le Régime de la deuxième Alternance, que le MICCS a contribué à mettre en place avec ses moyens propres, n'en demeure pas moins décevant au regard de ses attentes par rapport au Mémorandum qui a notamment motivé son engagement pour l’élection du Président et qui portait sur une gestion efficace et non phagocytée par un clan du processus de paix en Casamance; de la réalisation des Infrastructures de désenclavement externe et interne, de celles économiques, sociales, culturelles et sportives de base.
Dans ce contexte, le MICCS considère qu’un Référendum, uniquement axé sur 15 points, est de nature à vider de toute leur substance les orientations pertinentes et stratégiques relatives au Projet de révision de la Constitution des Assises Nationales; celles-là mêmes qui ont été proposées au Candidat Macky Sall qui avait pris l'engagement de mettre en œuvre la charte des Assises Nationales qu’il a fini par signer, opportunément, entre les deux tours.
Par la suite, le Projet de révision de la Constitution ficelé à sa demande et remis en main propre par la Commission Nationale de Réforme des Institutions est apparemment soigneusement rangé dans les tiroirs.
Dès lors, quel sens donner au référendum uniquement basé sur les 15 points prévus au projet de retouche de la Constitution, et qui ne traduisent que très partiellement les vrais enjeux d’une véritable et ambitieuse révision constitutionnelle qu’attend actuellement et légitiment le peuple sénégalais. Certes ces points constituent quelques avancées mais, au regard d’une révision en profondeur basée sur les larges orientations stratégiques et conclusions issues des Assises Nationales et, dans une moindre mesure, sur les recommandations de la Commission Nationale de Réforme des Institutions (CNRI), ils sont largement insuffisants.
N’est-il pas opportun que ce moment exceptionnel de la consultation du Peuple soit de nature à consacrer durablement la stabilisation de notre Charte Fondamentale, au lieu d’emprunter la voie tortueuse de multiples et répétitives révisions de la Constitution dans le temps, fussent-elles dites de « petites avancées ! » ?
Le refus du Président Macky Sall d’accepter, simplement le report de la date du référendum, à la demande de la société civile pour lui permettre de formuler ses suggestions, est pour le moins incompréhensible
Qui plus est, dans un contexte fortement marqué par une crise multiforme, un référendum, qui pourrait coûter 3 Milliards de FCFA pour les uns voire 15 Milliards de FCFA pour les autres, n'a pas de sens et ne nous paraît pas opportun au moment où le Régime en place peine à respecter ses engagements vis à vis des Enseignants, des travailleurs de la Santé, des travailleurs des Collectivités locales, etc.
Le MICCS, considérant les résultats décevants et quasi nuls enregistrés dans la Région de Sédhiou, compte tenu du manque de considération à l'endroits du potentiel de Ressources Humaines de Qualité de la Région de Sédhiou et intégrant certains aspects non convaincants et non opportuns du Référendum du 20 Mars, demande aux populations, et singulièrement à celles de la Région de Sédhiou, de voter NON afin d'exiger une considération sans équivoque pour notre Région.
Le MICCS, considérant le non respect des engagements du Régime de Macky SALL à l'endroit des secteurs de l'Education et de la Santé et prenant en compte les énormes difficultés que traversent nos Industries, et Entreprises qui perdent de jour en jour des parts de marché au profit exclusif des Entreprises étrangères à cause d'une politique qui ne protège pas suffisamment les Industries et Entreprises sénégalaises, demande au peuple sénégalais de voter NON au Référendum du 20 Mars 2016 pour exiger du Régime de Macky SALL le respect de ses engagements sociaux et une politique plus efficiente à l'endroit des Industries et Entreprises du Sénégal.
Pour une République de la Bonne Gouvernance et de la Patrie avant le Parti et les Clans.