"La dévolution du pouvoir en République trouve sa source dans le choix des citoyens", a déclaré samedi le chef de l’Etat du Sénégal, Abdoulaye Wade, dans son message à la nation.
‘’Le 26 février prochain, nous irons aux urnes pour le scrutin présidentiel. Par définition, la dévolution du pouvoir en République trouve sa source dans le choix des citoyens’’, a-t-il dit.
Selon le président Wade, ‘’un choix libre, à travers un scrutin équitable et transparent, reste l’identité remarquable des démocraties majeures et apaisées’’. ‘’C’est l’ambition que se fixe le Sénégal.’’
Le chef de l’Etat a rappelé la création d’un ministère exclusivement chargé des Elections, l’audit complet du fichier électoral et la refonte du Code électoral avec la participation de l’opposition et l’appui des partenaires du Sénégal.
‘’Je remercie (ces partenaires) pour leur soutien et que j’ai invités à poursuivre l’observation du processus électoral jusqu’à la publication des résultats.’’
‘’A ma grande satisfaction, nous avons ainsi perfectionné de manière consensuelle notre mécanisme électoral, déjà certifié crédible au terme de l’audit international du fichier par les pays de l’UE et les Etats-Unis d’Amérique’’, s’est-il félicité.
‘’Ces conditions préalables réunies, a poursuivi Me Wade, le gouvernement est en train de prendre toutes les dispositions matérielles et organisationnelles requises pour un scrutin sans entrave ni contestation sous contrôle international que nous avons accepté de bon cœur.’’
Le président Wade a rappelé que ‘’cette exigence nous engage tous et toutes’’. ‘’Elle nous engage pour l’approfondissement de notre démocratie (et) pour la consolidation de nos efforts de développement économique et social’’, a-t-il insisté.
‘’Elle nous engage, enfin et surtout, pour la sauvegarde de notre héritage commun et de notre destin solidaire de nation unie et indivisible.’’
‘’Je m’acquitterai de mon devoir constitutionnel de garant du fonctionnement régulier des Institutions et de l’ordre public pour la bonne tenue d’élection, de sorte qu’au lendemain du scrutin, chacun puisse vaquer librement à ses occupations’’, a assuré le président de la République.
‘’La violence, sous quelles formes qu’elles soient, est inacceptable’’, a-t-il martelé estimant que ‘’toutes les personnes impliquées dans des incidents regrettables feront face à leurs responsabilités et répondront de leurs forfaits devant la justice’’.
Pour le président Wade, les ambitions et les choix des acteurs-citoyens peuvent être différents dans un régime de démocratie pluraliste, mais ils ne valent ‘’la Patrie qui nous rassemble et qui nous est commune’’.
‘’(…) Il y a ce Sénégal uni et indivisible’’, a-t-il souligné. ‘’Il nous dépasse par son histoire, il nous dépasse par son destin’’, a-t-il rappelé, invoquant l’‘’héritage d’un idéal de +Vivre ensemble+’’, forgé par les ancêtres des Sénégalais.
Le président de la République a relevé que ‘’le Sénégal, déjà nation avant l’indépendance, uni et indivisible est, aussi et surtout, un viatique sur le chemin que nous parcourons ensemble et un legs que nous devons transmettre aux générations futures’’.
‘’Ce bien commun, il est de ma responsabilité principale de veiller à sa préservation. Je ne faillirai pas à ce devoir.’’
( APS )
‘’Le 26 février prochain, nous irons aux urnes pour le scrutin présidentiel. Par définition, la dévolution du pouvoir en République trouve sa source dans le choix des citoyens’’, a-t-il dit.
Selon le président Wade, ‘’un choix libre, à travers un scrutin équitable et transparent, reste l’identité remarquable des démocraties majeures et apaisées’’. ‘’C’est l’ambition que se fixe le Sénégal.’’
Le chef de l’Etat a rappelé la création d’un ministère exclusivement chargé des Elections, l’audit complet du fichier électoral et la refonte du Code électoral avec la participation de l’opposition et l’appui des partenaires du Sénégal.
‘’Je remercie (ces partenaires) pour leur soutien et que j’ai invités à poursuivre l’observation du processus électoral jusqu’à la publication des résultats.’’
‘’A ma grande satisfaction, nous avons ainsi perfectionné de manière consensuelle notre mécanisme électoral, déjà certifié crédible au terme de l’audit international du fichier par les pays de l’UE et les Etats-Unis d’Amérique’’, s’est-il félicité.
‘’Ces conditions préalables réunies, a poursuivi Me Wade, le gouvernement est en train de prendre toutes les dispositions matérielles et organisationnelles requises pour un scrutin sans entrave ni contestation sous contrôle international que nous avons accepté de bon cœur.’’
Le président Wade a rappelé que ‘’cette exigence nous engage tous et toutes’’. ‘’Elle nous engage pour l’approfondissement de notre démocratie (et) pour la consolidation de nos efforts de développement économique et social’’, a-t-il insisté.
‘’Elle nous engage, enfin et surtout, pour la sauvegarde de notre héritage commun et de notre destin solidaire de nation unie et indivisible.’’
‘’Je m’acquitterai de mon devoir constitutionnel de garant du fonctionnement régulier des Institutions et de l’ordre public pour la bonne tenue d’élection, de sorte qu’au lendemain du scrutin, chacun puisse vaquer librement à ses occupations’’, a assuré le président de la République.
‘’La violence, sous quelles formes qu’elles soient, est inacceptable’’, a-t-il martelé estimant que ‘’toutes les personnes impliquées dans des incidents regrettables feront face à leurs responsabilités et répondront de leurs forfaits devant la justice’’.
Pour le président Wade, les ambitions et les choix des acteurs-citoyens peuvent être différents dans un régime de démocratie pluraliste, mais ils ne valent ‘’la Patrie qui nous rassemble et qui nous est commune’’.
‘’(…) Il y a ce Sénégal uni et indivisible’’, a-t-il souligné. ‘’Il nous dépasse par son histoire, il nous dépasse par son destin’’, a-t-il rappelé, invoquant l’‘’héritage d’un idéal de +Vivre ensemble+’’, forgé par les ancêtres des Sénégalais.
Le président de la République a relevé que ‘’le Sénégal, déjà nation avant l’indépendance, uni et indivisible est, aussi et surtout, un viatique sur le chemin que nous parcourons ensemble et un legs que nous devons transmettre aux générations futures’’.
‘’Ce bien commun, il est de ma responsabilité principale de veiller à sa préservation. Je ne faillirai pas à ce devoir.’’
( APS )