« J’ai déjà discuté avec les deux candidats pour que si possible nous puissions avoir une candidature unique, si possible ! Dans l’histoire de la confédération africaine de football, c'est la première fois que notre zone a la chance d’avoir un président de la CAF. Comparativement aux autres zones qui ont déjà exercé. La seule zone qui à ma connaissance n’a pas encore exercé, c’est la zone ouest-africaine. »
« Avec le bureau exécutif de l’UFOA - A, nous essayons de faire notre travail parce que c’est notre rôle… Mais vous savez, il y’a un problème épineux qui se pose, qui est au-dessus de nous : C’est les politiques. Le problème c’est les politiques. Vous ne pouvez pas être candidat à la présidence de la CAF sans consulter votre président de la République. On les consulte et ils donnent leur accord avant qu’on présente la candidature. »
« C’est un honneur pour chaque président, aussi bien sur le plan politique, pour le pays et pour la zone, qu’un fils du pays puisse être le président du football africain. Donc ils prennent leurs dispositions, ils se consultent, ils forment des comités de soutien… Même si aujourd’hui nous parvenons à un accord pour une candidature unique, l’accord final sera entre les chefs d’Etat. Nos chefs d’Etat, eux seuls peuvent décider aujourd’hui... »
« Avec le bureau exécutif de l’UFOA - A, nous essayons de faire notre travail parce que c’est notre rôle… Mais vous savez, il y’a un problème épineux qui se pose, qui est au-dessus de nous : C’est les politiques. Le problème c’est les politiques. Vous ne pouvez pas être candidat à la présidence de la CAF sans consulter votre président de la République. On les consulte et ils donnent leur accord avant qu’on présente la candidature. »
« C’est un honneur pour chaque président, aussi bien sur le plan politique, pour le pays et pour la zone, qu’un fils du pays puisse être le président du football africain. Donc ils prennent leurs dispositions, ils se consultent, ils forment des comités de soutien… Même si aujourd’hui nous parvenons à un accord pour une candidature unique, l’accord final sera entre les chefs d’Etat. Nos chefs d’Etat, eux seuls peuvent décider aujourd’hui... »