Il reste ainsi sur sa position visant à préserver le domaine national, en particulier les terres à usage agricole, qui doivent « rester un patrimoine national non cessible pour l’intérêt des communautés présentes et futures ».
Le sol appartenant à l’État ne doit faire l’objet ni d’une immatriculation, ni d’une privatisation, ni d’aucune forme de marchandisation, si l’on en croit les membres du CRAFS. Ils invitent l’État à prendre des mesures visant à mieux réguler l'accès aux terres agricoles face aux appétits des sociétés d'investissement.
Le sol appartenant à l’État ne doit faire l’objet ni d’une immatriculation, ni d’une privatisation, ni d’aucune forme de marchandisation, si l’on en croit les membres du CRAFS. Ils invitent l’État à prendre des mesures visant à mieux réguler l'accès aux terres agricoles face aux appétits des sociétés d'investissement.