DAKARACTU.COM - Après avoir longtemps attendu le paiement de leurs arriérés de salaire estimés à plus de 1 milliards 250 millions de francs CFA, les ex-travailleurs de la Société industrielle d'aménagement du Sénégal (SIAS) se sont engagés dans une grève de la faim illimitée.
Selon le porte-parole du collectif, Cheikh Yade, il est hors de question de renoncer. « Nous sommes prêts à aller jusqu’à la catastrophe », déclare M. Yade qui affiche sa détermination à ne reculer devant rien ni personne. « Nous sommes fatigués des promesses non tenues », ajoute-t-il, non sans signaler qu’ils ne veulent aucune négociation qui ne rentre pas dans le cadre d’une remise de leurs arriérés de salaire. Cheikh Yade et Cie, qui n’excluent rien, menacent de s’immoler si rien n’est fait d’ici là.
Cela fait déjà plus de deux ans que les ex-travailleurs de la Société industrielle d’aménagement du Sénégal (Sias) courent derrière leur salaire mais sans suite. Cette nouvelle grève de la faim est leur énième forme de lutte. Au moment où l’on distribue des milliards à tour de bras, ces honnêtes travailleurs ne demandent qu'à recouvrer leurs droits découlant de prestations de travail effectuées. Vont-ils être payés ?
Selon le porte-parole du collectif, Cheikh Yade, il est hors de question de renoncer. « Nous sommes prêts à aller jusqu’à la catastrophe », déclare M. Yade qui affiche sa détermination à ne reculer devant rien ni personne. « Nous sommes fatigués des promesses non tenues », ajoute-t-il, non sans signaler qu’ils ne veulent aucune négociation qui ne rentre pas dans le cadre d’une remise de leurs arriérés de salaire. Cheikh Yade et Cie, qui n’excluent rien, menacent de s’immoler si rien n’est fait d’ici là.
Cela fait déjà plus de deux ans que les ex-travailleurs de la Société industrielle d’aménagement du Sénégal (Sias) courent derrière leur salaire mais sans suite. Cette nouvelle grève de la faim est leur énième forme de lutte. Au moment où l’on distribue des milliards à tour de bras, ces honnêtes travailleurs ne demandent qu'à recouvrer leurs droits découlant de prestations de travail effectuées. Vont-ils être payés ?