Le prévenu O. Ba âgé de la trentaine a échappé de justesse à la peine ferme de prison pour trafic de drogue. Le jeune homme est poursuivi pour offre et cession de drogue sur une prise de 67 cornets de chanvre indien. Attrait, ce 6 décembre, à la barre du tribunal correctionnel, O. Ba a clamé contre vents et marées son innocence.
« Je suis vendeur de café Touba à Yarakh Soleil. Les policiers m’ont arrêté avant de me mettre dans leur véhicule avec d’autres personnes. Ils sont revenus me présenter un sachet dont ils me prêtent la propriété en me réclamant une somme d’argent», a indiqué devant la barre le prévenu.
Il ressort des débats d’audience que l’accusé a été suivi de près pendant plusieurs heures après dénonciation avant d’être interpellé pour offre et cession de chanvre indien. Selon le procès-verbal des enquêteurs, O. Ba utilisait le commerce de vendeur de café pour cacher son activité de dealer ce qu’il conteste devant le juge.
« Les policiers ne m’ont jamais vu vendre du chanvre indien et je n’ai jamais possédé par devers moi du chanvre indien. Les policiers n’ont même pas trouvé de l’argent sur moi. Je ne fume pas et je ne vends rien d’autre que du café touba», a-t-il soutenu.
Dans son réquisitoire, le procureur a requis 2 ans ferme d’emprisonnement contre l’accusé. Selon lui, les agents enquêteurs ont bel bien mis la main sur une importante quantité de drogue lorsque le mis en cause a été arrêté.
« O. Ba a voulu prendre la poudre d’escampette mais il a été alpagué», a expliqué le maître des poursuites.
Pour la défense, le dossier qui incrimine O. Ba est vide de sens. Pour l’avocat, les éléments qui ont procédé à l’arrestation de son client n’ont rien trouvé sur lui. Il a plaidé le doute avant de solliciter sa relaxe.
Rendant son verdict, le tribunal a relaxé O. Ba au bénéfice du doute et a ordonné la destruction de la drogue saisie.
« Je suis vendeur de café Touba à Yarakh Soleil. Les policiers m’ont arrêté avant de me mettre dans leur véhicule avec d’autres personnes. Ils sont revenus me présenter un sachet dont ils me prêtent la propriété en me réclamant une somme d’argent», a indiqué devant la barre le prévenu.
Il ressort des débats d’audience que l’accusé a été suivi de près pendant plusieurs heures après dénonciation avant d’être interpellé pour offre et cession de chanvre indien. Selon le procès-verbal des enquêteurs, O. Ba utilisait le commerce de vendeur de café pour cacher son activité de dealer ce qu’il conteste devant le juge.
« Les policiers ne m’ont jamais vu vendre du chanvre indien et je n’ai jamais possédé par devers moi du chanvre indien. Les policiers n’ont même pas trouvé de l’argent sur moi. Je ne fume pas et je ne vends rien d’autre que du café touba», a-t-il soutenu.
Dans son réquisitoire, le procureur a requis 2 ans ferme d’emprisonnement contre l’accusé. Selon lui, les agents enquêteurs ont bel bien mis la main sur une importante quantité de drogue lorsque le mis en cause a été arrêté.
« O. Ba a voulu prendre la poudre d’escampette mais il a été alpagué», a expliqué le maître des poursuites.
Pour la défense, le dossier qui incrimine O. Ba est vide de sens. Pour l’avocat, les éléments qui ont procédé à l’arrestation de son client n’ont rien trouvé sur lui. Il a plaidé le doute avant de solliciter sa relaxe.
Rendant son verdict, le tribunal a relaxé O. Ba au bénéfice du doute et a ordonné la destruction de la drogue saisie.