Le secteur de l’éducation et de la formation entretient des relations complexes avec l’espace politique et ses principales activités. Ces liens spécifiques font que l’éducation subit, dans son fonctionnement, des influences négatives ou positives de la vie politique nationale. Cette situation est à l’origine de jugements, caractérisant les mouvements des organisations d’enseignants et d’élèves, comme étant les résultats de manipulations imputables aux acteurs politiques.
Pour répondre à cette question et dans le but de mieux cerner la problématique, la COSYDEP a organisé un panel ce Mardi 11 avril 2023 portant sur : ‘‘Dialogue sur les relations entre Politique et Syndicat / Élections politiques et Éducation.’’ Une rencontre qui a réuni d’éminentes personnalités politiques et syndicales, notamment d’anciens ministres et de SG de syndicats, mais aussi de tous les membres du G7. L’activité qui a réuni une cinquantaine de participants, venant de la société civile, des institutions en charge de l’éducation et d’acteurs politiques, a été l’occasion pour les acteurs de l’éducation de se prononcer sur cette problématique.
Selon Dame Mbodj, “interdire à un enseignant de faire de la politique, c’est de la fumisterie. Nous, dans notre organisation syndicale, nous sommes foncièrement politiques. Et nous exigeons du gouvernement la libération de tous les enseignants qui sont injustement privés de liberté.”
Selon Dame Mbodj, les arguments avancés par le Gouvernement “sont des arguments légers qu’on ne retrouve que dans les dictatures.” Dame MbojrBODJ rejette ainsi les chefs d’inculpation portant sur “offense du chef de l’état “ et ou encore “appel à l’insurrection “ Cependant estime Dame MBODJI, “ un enseignant qui est pris en flagrant délit pour des actes graves, nous demandons que la loi s’applique dans toute sa rigueur. Mais arrêter un enseignant, à cause d’un post sur Facebook ou dans un groupe watshapp, ça nous ne l’accepterons pas” a conclu Dame Mbodj.
Pour répondre à cette question et dans le but de mieux cerner la problématique, la COSYDEP a organisé un panel ce Mardi 11 avril 2023 portant sur : ‘‘Dialogue sur les relations entre Politique et Syndicat / Élections politiques et Éducation.’’ Une rencontre qui a réuni d’éminentes personnalités politiques et syndicales, notamment d’anciens ministres et de SG de syndicats, mais aussi de tous les membres du G7. L’activité qui a réuni une cinquantaine de participants, venant de la société civile, des institutions en charge de l’éducation et d’acteurs politiques, a été l’occasion pour les acteurs de l’éducation de se prononcer sur cette problématique.
Selon Dame Mbodj, “interdire à un enseignant de faire de la politique, c’est de la fumisterie. Nous, dans notre organisation syndicale, nous sommes foncièrement politiques. Et nous exigeons du gouvernement la libération de tous les enseignants qui sont injustement privés de liberté.”
Selon Dame Mbodj, les arguments avancés par le Gouvernement “sont des arguments légers qu’on ne retrouve que dans les dictatures.” Dame MbojrBODJ rejette ainsi les chefs d’inculpation portant sur “offense du chef de l’état “ et ou encore “appel à l’insurrection “ Cependant estime Dame MBODJI, “ un enseignant qui est pris en flagrant délit pour des actes graves, nous demandons que la loi s’applique dans toute sa rigueur. Mais arrêter un enseignant, à cause d’un post sur Facebook ou dans un groupe watshapp, ça nous ne l’accepterons pas” a conclu Dame Mbodj.
Autres articles
-
Dame Mbodj « réduit à néant » la coalition Sàm Sa Kàddu: « Ils ne représentent rien en politique »
-
Falémé sous surveillance : le coup de filet spectaculaire des forces armées à Ségoto, un site d’orpaillage clandestin démantelé
-
Colloque International du CHEDS : environ 300 participants attendus pour répondre aux défis de la souveraineté et de la sécurité en Afrique de l’Ouest et au Sahel
-
Santé : Entre statut professionnel, conditions de travail et insertion, les spécialistes en formation montent au créneau face aux autorités
-
Université Assane Seck de Ziguinchor: Des Étudiants en colère brûlent des véhicules pour réclamer leurs bourses et exiger l'achèvement des chantiers