« J’ai toujours combattu ceux qui disent que le ministre de l’Intérieur ne doit pas être politique », a déclaré le chef de l’Eat ce 31 décembre, à l’occasion du Grand Entretien, organisé par la RTS, avec la participation de confrères de différentes rédactions.
Macky Sall, qui dément avoir récusé Ousmane Ngom, a rappelé qu’il était victime des mêmes attaques alors qu’il exerçait les fonctions de ministre en charge de l’organisation des élections sous le magistère du président Abdoulaye Wade.
« Je ne le ferai jamais », écarte-t-il la démission de Aly Ngouille Ndiaye. « Je ne suis pas là pour satisfaire les désirs de quelques personnes. (...). C’est un faux-débat. Tant que nous respectons l’état de droit, je ne vois pas pourquoi on va changer l’équipe », a ajouté le président de la République.
Profitant de cette tribune, le président Sall souligne qu’il n’a pas la haute main sur la justice pour pouvoir écarter des adversaires.
« Celui qui veut devenir chef d’Etat doit éviter de jeter l’opprobre sur le Conseil constitutionnel », avertit-il. « Je supporte toutes les critiques parce que je dirige ce pays et comme on dit en wolof, kou bot bouki khath bawla ", termine-t-il son propos.
Macky Sall, qui dément avoir récusé Ousmane Ngom, a rappelé qu’il était victime des mêmes attaques alors qu’il exerçait les fonctions de ministre en charge de l’organisation des élections sous le magistère du président Abdoulaye Wade.
« Je ne le ferai jamais », écarte-t-il la démission de Aly Ngouille Ndiaye. « Je ne suis pas là pour satisfaire les désirs de quelques personnes. (...). C’est un faux-débat. Tant que nous respectons l’état de droit, je ne vois pas pourquoi on va changer l’équipe », a ajouté le président de la République.
Profitant de cette tribune, le président Sall souligne qu’il n’a pas la haute main sur la justice pour pouvoir écarter des adversaires.
« Celui qui veut devenir chef d’Etat doit éviter de jeter l’opprobre sur le Conseil constitutionnel », avertit-il. « Je supporte toutes les critiques parce que je dirige ce pays et comme on dit en wolof, kou bot bouki khath bawla ", termine-t-il son propos.