Sur cette photo, Alioune Tine, militant des droits de l’homme, acteur-clé de la démocratie sénégalaise, est allongé sur son lit d’hôpital, perforé par des tuyaux de perfusion, suite à son agression par les nervis de l’iconoclaste Farba Senghor, le 23 juin, alors qu’il exerçait une liberté prévue par la Constitution de notre pays : le droit de manifestation et de cortège.
Dakaractu.com condamne avec la plus grande fermeté cette atteinte intolérable à son intégrité physique et rappelle que le Sénégal doit rester une démocratie dans laquelle les acteurs se combattent par la parole, l’écrit et l’image. Nous ne voulons plus de ces pratiques qui ont semé ailleurs la haine, la guerre, la mort... Plus jamais ça !
Dakaractu.com condamne avec la plus grande fermeté cette atteinte intolérable à son intégrité physique et rappelle que le Sénégal doit rester une démocratie dans laquelle les acteurs se combattent par la parole, l’écrit et l’image. Nous ne voulons plus de ces pratiques qui ont semé ailleurs la haine, la guerre, la mort... Plus jamais ça !