Depuis des années, les populations des Parcelles assainies de Keur Massar crient au scandale.En effet, après avoir acquis loyalement des parcelles auprès de la société Hlm, ces populations n’ont jamais connu le bonheur. ‘Là où les cités voisines bénéficient d’un certain nombre d’infrastructures nécessaires à un cadre de vie sain, les populations de cette zone vivent dans l’obscurité quasi-totale avec tous les risques d’insécurité liés à cette situation’.
Les Parcelles assainies, avec ses nombreuses unités, constituent un îlot sombre à côté du Plan Jaxaay et des quartiers alentours qui sont éclairés. Pour tromper la vigilance des passants, des appliques munies de lampes toutes neuves ont été fixées à certains endroits visibles du projet depuis 2007. ‘Depuis cinq ans, ces lampes sont rattachées aux poteaux, sans qu’aucune ne s’allume. Les agressions se multiplient et personne n’ose s’aventurer dehors à des heures tardives. D’ailleurs, un gardien a déjà payé de sa vie le manque d’éclairage, et des commerçants ont aussi perdu leurs biens du fait de la fréquence des actes de vol’, relève Issa Dione, habitant un quartier des parcelles assainies de Keur Massar.
En attendant l’assemblée générale des propriétaires des logements, les habitants sont très remontés contre la Sn/Hlm qu’ils accusent d’avoir installé certains dans des dépressions, et de morceler les espaces qui étaient initialement prévus pour abriter les équipements sociaux. ‘Visiblement, les autorités se soucient plus de Jaxaay’, affirme cet autre habitant.
Selon les témoignages des populations, la voirie ne se résume qu’à la simple délimitation des grandes unités dont certaines comptent plus de 800 parcelles, avec une partie précipitamment recouverte de bitume pour désenclaver les cités du Plan Jaxaay récemment construites. ‘Ceci aux dépens des unités des Parcelles assainies riveraines de la route principale menant à Rufisque et qui demeure impraticable pour les transports en commun’.
Face à cette situation, les populations lancent un cri du cœur à l’endroit des autorités pour que leurs préoccupations soient prises en compte. ’La nouvelle délégation spéciale de la commune Jaxaay/Niacoulrab est incapable de régler nos problèmes’, regrette Issa Dione. Qui fixe un délai de quelques jours avant d’entamer la lutte.
Najib SAGNA
( Walf)
Les Parcelles assainies, avec ses nombreuses unités, constituent un îlot sombre à côté du Plan Jaxaay et des quartiers alentours qui sont éclairés. Pour tromper la vigilance des passants, des appliques munies de lampes toutes neuves ont été fixées à certains endroits visibles du projet depuis 2007. ‘Depuis cinq ans, ces lampes sont rattachées aux poteaux, sans qu’aucune ne s’allume. Les agressions se multiplient et personne n’ose s’aventurer dehors à des heures tardives. D’ailleurs, un gardien a déjà payé de sa vie le manque d’éclairage, et des commerçants ont aussi perdu leurs biens du fait de la fréquence des actes de vol’, relève Issa Dione, habitant un quartier des parcelles assainies de Keur Massar.
En attendant l’assemblée générale des propriétaires des logements, les habitants sont très remontés contre la Sn/Hlm qu’ils accusent d’avoir installé certains dans des dépressions, et de morceler les espaces qui étaient initialement prévus pour abriter les équipements sociaux. ‘Visiblement, les autorités se soucient plus de Jaxaay’, affirme cet autre habitant.
Selon les témoignages des populations, la voirie ne se résume qu’à la simple délimitation des grandes unités dont certaines comptent plus de 800 parcelles, avec une partie précipitamment recouverte de bitume pour désenclaver les cités du Plan Jaxaay récemment construites. ‘Ceci aux dépens des unités des Parcelles assainies riveraines de la route principale menant à Rufisque et qui demeure impraticable pour les transports en commun’.
Face à cette situation, les populations lancent un cri du cœur à l’endroit des autorités pour que leurs préoccupations soient prises en compte. ’La nouvelle délégation spéciale de la commune Jaxaay/Niacoulrab est incapable de régler nos problèmes’, regrette Issa Dione. Qui fixe un délai de quelques jours avant d’entamer la lutte.
Najib SAGNA
( Walf)
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