Il y a aujourd’hui une floraison de candidatures déclarées pour les prochaines échéances électorales au Sénégal. Et naturellement, chacune d’elles prétend détenir les solutions aux multiples problèmes de nos compatriotes. Chacune d’elles prétend avoir ficelé le programme qui restaurerait la démocratie, éradiquerait la corruption et sortirait notre cher pays du sous-développement…
Et comme dans toutes les démocraties, chaque candidat s’évertuera tout le long de la campagne électorale a essayer de nous convaincre de la pertinence de ses idées, de l’adéquation de son programme avec nos attentes d’équité, de justice et de développement.
Pour ce faire, ils doivent être eux-mêmes convaincus qu’ils sont à la hauteur de la tache qui les attend une fois élus! Il s’agira de démontrer qu’on est prêt à gouverner autrement ce Sénégal nouveau, ce Sénégal du 21e siècle avec des demandes sociales fortes, des exigences de transparence dans la gestion des affaires publiques clairement exprimées.
La première exigence de cette nouvelle conscience citoyenne du peuple Sénégalais est l’organisation de débats publics contradictoires entre candidats, fortement médiatisés, traduits dans nos principales langues nationales.
De nos jours, les plus grandes démocraties utilisent ce forum qui permet d’en savoir un peu plus sur les motivations du candidat, sa probité morale, son projet de société… En somme, cela permet aux électeurs d’être mieux informes sur le candidat et donc mieux outilles pour un choix démocratique. Mieux, un tel débat aiderait a faire baisser le taux d’abstentionnisme et boostera l’électorat avec des “déplacements” ou “glissements” de voix. Ce n’est pas pour rien que les grandes démocraties exigent ce genre d’exercice. On se rappelle encore les débats intenses sous la 5e république entre Valérie Giscard- D’Estaing et François Mitterrand; et récemment entre Sarkozy et Ségolène Royale. En Amérique du Nord les débats épiques entre Hillary Clinton et Obama ou MC Cain/Obama sont encore frais dans nos mémoires.
Le peuple Sénégalais ne mérite pas moins que ces grandes démocraties. Il a trop souffert de promesses démagogiques de politiciens véreux qui changent de discours en fonction des audiences et des circonstances. La plupart des prétendants à la magistrature suprême sont des hommes et des femmes de bonne foi. Ils sont sûrement confiants que leur programme est le plus approprie pour apporter des solutions aux problèmes du pays. Ce genre de plateau devrait donc être une aubaine pour eux. Une occasion de convaincre, mais surtout de démontrer d’ores et déjà qu’on a du respect pour ce peuple et qu’on accepte d’être comptable devant ce même peuple.
Pour satisfaire une telle demande de notre démocratie, nous invitons les organes de presse du pays a faire de cette idée la leur, et trouver en leur sein les moyens humains et matériels nécessaires a sa mise en oeuvre. Ces débats que nous appelons de tous nos voeux pourraient se tenir avant le premier tour, après publication par le conseil constitutionnel de la liste définitive des candidats.
La démocratie appelle à une confrontation des idées et invite au débat public. Le citoyen de s’assurer que ce qu’il voit, entend et lit sur les programmes des candidats n’est pas seulement une compilation d’idées nées de l’imagination fertile de producteurs et d’auteurs, mais plutôt une vision bien élaborée et donc bien assimilée du candidat.
NOUS NE MERITONS PAS MOINS!
NOUS N’EXIGERONS PAS MOINS!
Le Comite Fédéral d’Initiatives et de Stratégies de Rewmi en Amérique du nord (CFISRAN)
www.rewmiusa.com
Et comme dans toutes les démocraties, chaque candidat s’évertuera tout le long de la campagne électorale a essayer de nous convaincre de la pertinence de ses idées, de l’adéquation de son programme avec nos attentes d’équité, de justice et de développement.
Pour ce faire, ils doivent être eux-mêmes convaincus qu’ils sont à la hauteur de la tache qui les attend une fois élus! Il s’agira de démontrer qu’on est prêt à gouverner autrement ce Sénégal nouveau, ce Sénégal du 21e siècle avec des demandes sociales fortes, des exigences de transparence dans la gestion des affaires publiques clairement exprimées.
La première exigence de cette nouvelle conscience citoyenne du peuple Sénégalais est l’organisation de débats publics contradictoires entre candidats, fortement médiatisés, traduits dans nos principales langues nationales.
De nos jours, les plus grandes démocraties utilisent ce forum qui permet d’en savoir un peu plus sur les motivations du candidat, sa probité morale, son projet de société… En somme, cela permet aux électeurs d’être mieux informes sur le candidat et donc mieux outilles pour un choix démocratique. Mieux, un tel débat aiderait a faire baisser le taux d’abstentionnisme et boostera l’électorat avec des “déplacements” ou “glissements” de voix. Ce n’est pas pour rien que les grandes démocraties exigent ce genre d’exercice. On se rappelle encore les débats intenses sous la 5e république entre Valérie Giscard- D’Estaing et François Mitterrand; et récemment entre Sarkozy et Ségolène Royale. En Amérique du Nord les débats épiques entre Hillary Clinton et Obama ou MC Cain/Obama sont encore frais dans nos mémoires.
Le peuple Sénégalais ne mérite pas moins que ces grandes démocraties. Il a trop souffert de promesses démagogiques de politiciens véreux qui changent de discours en fonction des audiences et des circonstances. La plupart des prétendants à la magistrature suprême sont des hommes et des femmes de bonne foi. Ils sont sûrement confiants que leur programme est le plus approprie pour apporter des solutions aux problèmes du pays. Ce genre de plateau devrait donc être une aubaine pour eux. Une occasion de convaincre, mais surtout de démontrer d’ores et déjà qu’on a du respect pour ce peuple et qu’on accepte d’être comptable devant ce même peuple.
Pour satisfaire une telle demande de notre démocratie, nous invitons les organes de presse du pays a faire de cette idée la leur, et trouver en leur sein les moyens humains et matériels nécessaires a sa mise en oeuvre. Ces débats que nous appelons de tous nos voeux pourraient se tenir avant le premier tour, après publication par le conseil constitutionnel de la liste définitive des candidats.
La démocratie appelle à une confrontation des idées et invite au débat public. Le citoyen de s’assurer que ce qu’il voit, entend et lit sur les programmes des candidats n’est pas seulement une compilation d’idées nées de l’imagination fertile de producteurs et d’auteurs, mais plutôt une vision bien élaborée et donc bien assimilée du candidat.
NOUS NE MERITONS PAS MOINS!
NOUS N’EXIGERONS PAS MOINS!
Le Comite Fédéral d’Initiatives et de Stratégies de Rewmi en Amérique du nord (CFISRAN)
www.rewmiusa.com