Opposition et Présidentielle 2012 :
Wakhonako* et pourtant le régime est déboulonable à jamais mais
Comment où et quand ???
Les Sénégalais sont fatigués disait feu Me Kéba Mbaye à l’ancien Président Sénégalais M Abdou Diouf. Aujourd’hui sur un même ton nous savons tous que les Sénégalais sont fatigués, fauchés, ont faim, ont honte de leur nationalité à cause du régime libéral et de ses pratiques indécentes.
L’opposition Sénégalaise significative a le devoir et l’obligation d’abréger la souffrance des Sénégalaises et Sénégalais, souffrance qui a pris repère un certain 19 mars 2000.
Si l’adage selon lequel « qui veut voyager loin ménage sa monture » est une vérité générale, moi je serai tente de dire « qui veut voyager loin se ménage soit même ». Cette opposition significative qui a marqué l’histoire politique le 22 mars 2009 en infligeant une défaite éclatante à la coalition Sopi et ses alliés, défaite matérialisée par une percée extraordinaire de la coalition BSS en gagnant les collectivités locales les plus importantes du pays ; Benno doit impérativement changer de fusil d’épaule pour mettre sur la touche pour ne pas dire hors jeu le règne libéral. Changer de stratégie est la condition sine qua non pour remettre ce beau pays sur les rails, pays tant admiré sous le règne socialiste de par sa diplomatie, sa gestion des affaires Etatiques.
Le régime libéral aime dans son argumentaire se focaliser sur un bilan de 40 ans, bilan plus que positif car ce régime a laissé un Etat, une Nation, une Armée, une Ecole. Le Sénégal depuis la pénétration coloniale a été le laboratoire de l’AOF et un pays pilote pour les occidentaux sur beaucoup de programmes de développement qui ont été managés avec succès. Aujourd’hui tout ce capital de sympathie, de crédibilité s’est fondu comme du beurre sous le soleil surtout avec l’affaire « Séguragate » qui a alimenté la presse nationale et internationale depuis quelques temps et tant d’autres scandales d’envergure nationale et internationale.
Après la marche de l’opposition du 06 novembre 2009 qui a connu un franc succès, pour moi ce n’est pas en restant dans des moelleux salons, en faisant des déclarations et des communiqués hebdomadaires après les SEP des différents partis politiques qu’on viendra à bouter ce régime avec un train de vie dispendieux, ostentatoire.
L’histoire m’a donné raison avec le mémorable 23 juin 201, ce jour le Gand Peuple Sénégalais (jeunes, hommes, femmes, vieux, enfants, société civile, syndicats, les politiques s’était levé pour dire non et surtout ne touche pas à ma Constitution
Remontons un peu dans l’histoire politique Sénégalaise, pour répondre à la question
COMMENT BOUTER LE REGIME LIBERAL?
L’opposition devait s’inspirer du poète Président Léopold Sédar Senghor contre Me Lamine Guèye au sommet de leur confrontation politique. Senghor avait sillonné le pays du Nord au Sud, d’EST en Ouest, au Centre pour battre campagne et sensibiliser les masses laborieuses : pêcheurs, pasteurs, paysans, (même étant jeune nous savons la suite des évènements).
Aujourd’hui plus que jamais pour reprendre les rennes et remettre ce pays sur le bon chemin tous les leaders de partis d’opposition doivent quadriller l’ensemble du territoire national prêcher la bonne et vraie information, les réalités au sommet de cet Etat « Bandit ». Tâche qui ne devrait poser aucun problème car ils sont combien ces leaders, plus nombreux que Senghor et ayant un adversaire je dis bien sans sous estimer un adversaire moins coriace que Me Lamine Guèye car l’on ne peut sous aucun angle faire la comparaison entre la carrière et le profil de Me Abdoulaye Wade et Me Lamine Guèye même étant tous des juristes de formation.
Les différents élus locaux issus de Benno doivent faire preuve de bonne gouvernance. Il faut qu’ils gèrent de manière transparente les derniers publics, qu’ils fassent un travail de proximité. Les élus doivent être conscients que les citoyens ne les pardonneront pas la moindre forfaiture parce que ceux qui sont déboulonnés ont été sanctionnés par ce qu’ils ont mal géré. Ils ont eu une gestion patrimoniale, privée des biens des collectivités locales. Incontestablement, ils subiront le même sort s’ils s’hasardent à faire comme eux, les citoyens sont devenus plus exigeants aujourd’hui.
OU BOUTER CE REGIME ?
Les différents leaders doivent occuper les moindres compartiments et recoins du pays. : Par exemple : Niasse et Tanor au centre(Thiès, Kaolack, la petite Côte), Wilane et Mata Sy Diallo dans le Ndoukoumane et, Macky Sall le Sine et le Fouta, ainsi que Me Aissata Tall Sall et Cheikh Bamba Dièye,Me Aliou Badara Cissé , Bathily, Dansokho et Abdou Khadre Cissokho l’Est et le Sud(Tamba, Bakel, Kédougou, Koumpentoum,Goudiry, Kidira), Robert Sagna et Landing Savanéet Mamadou Lamine Diallo le Sud(ziguinchor, Kolda, et Sédiou, Bignona, Oussouye), Aminata Mbengue Ndiaye Hélène Tine, Moustapha Cissé Lo(Louga, Thiès Diourbel, Touba) ainsi tout le territoire sera maillé et occupé par l’opposition. Un week end une capitale régionale, un week end une capitale départementale, un week end une grande commune, un week end un gros village au bout de deux, quatre voire six mois le régime sera certaine que la tendance sera incontestablement irréversible avant l’échéance 2012.
Les différents leaders pourront parler des scandales de la gouvernance libérale, l’envers des soient grands projets de Me Wade, les voyages intempestifs et coûteux au contribuable Sénégalais. La relance de tous les secteurs mis en faillite particulièrement celui de l’agriculture. Comment remettre l’éducation, la santé sur les bons rails ? Quelles alternatives pour l’emploi des jeunes ?
Vu les résultats du 22 mars toutes les localités gagnées par Benno la population était bien sensibilisée malgré la manne financière du régime, la coalition Sopi a perdu ; l à où l’information n’avait pas passé, Benno a perdu. Ce sont les populations intérieures de Bamba Thialène, de Kissang, Palmarin Ngalou, de Ndame, Fongolimby, Fahoye,Mbello Guith, Oréfondé, Barkédji, de Méréto,Diaglé Sine, Diambour, Kouthiagaidy,Ndoumane, Ndarou Ndimbélane, Mbocky, Barkéwel d’Enempore, de Suelle, d’Ouonk,de Niamone, des villlages du terres neuves, de Ségou, de Ngaloukoye, de Mbanhakoune, de Barsafa, de Kippe Baba, de Same Guèyène, d’Ainoumane, de Kolonto Bou Mack,de Mbam Log, de Thiaré Log, de Soum, de Mbassis Log, de Djilor saloum,de Ndorng Log, de Ndoffène,de Dabo, de Dioulacolon,de Médina Yérofoulah, de Pakour, de Parempampy, de Fafakourou, de Bonconto, de Mampatin, de Linkéring, de Bemet Bijini, de Coumbacara, d’Ouassadou qu’il faut sensibiliser.
Ce sont ces populations qui voteront aux différents scrutins électifs, l’opinion internationale est assez informée de ce qui se passe dans ce pays. Dakar la capitale, tous les médias y sont concentrés (radios, télévisions, presse écrite, Internet) tout ce qui s’y passe est connu de tous. Preuve par neuf Benno a gagné la capitale et la quasi-totalité des grandes villes du Sénégal.
Les leaders devraient mettre le paquet à l’intérieur du pays en étant auprès des citoyens qui les sentent dans le cours normal des choses, et éviter de les approcher seulement à l’orée des échéances électorales.
Avec une stratégie bien planifiée, des moyens humains, matériels et financiers rationnels la coalition pourra bouter ce régime en stimulant une révolution passive intérieure exprimée par un vomissement du Sopi.
QUAND BOUTER CE REGIME ?
Maintenant, maintenant Wade doit être conscient que les sénégalais de l’intérieur notamment les pasteurs, les pêcheurs surtout les paysans qui ont vu tout leur espoir s’envoler à cause de la désorganisation programmée de la filière arachide ne croient plus en lui. Me Wade et ses alliées ne pourront pas contenir cette révolution intérieure, rejet exprimé par un vomissement du régime libéral dans toutes ses formes.
L’opposition devrait utiliser la plus grande partie de son précieux temps à aller vers les populations dont l’écrasante majorité ne lit pas les journaux, n’écoute pas la radio pour leur expliquer les défaillances, voire les forfaits de la parasite gouvernance libérale. Dans les quatre coins du pays, elle devrait organiser des rencontres de quartiers, des meetings, des conférences en langues locales, les sujets ne manquent pas pour organiser ces genres d’activités.
C’est un devoir, une obligation pour chacun et chacune d’entre nous de retrousser les manches et les pantalons pour dire non au pouvoir de cet homme qui nous a mis dans cette situation délicate.
Texte écrit en le 08 décembre 2009 selon un adage wolof, « mieux vaut alerter à temps que de te dire que je le savais »
Moustapha DIENG
taphdieng@yahoo.fr
MDJ/LD/Koumpentoum
Wakhonako* et pourtant le régime est déboulonable à jamais mais
Comment où et quand ???
Les Sénégalais sont fatigués disait feu Me Kéba Mbaye à l’ancien Président Sénégalais M Abdou Diouf. Aujourd’hui sur un même ton nous savons tous que les Sénégalais sont fatigués, fauchés, ont faim, ont honte de leur nationalité à cause du régime libéral et de ses pratiques indécentes.
L’opposition Sénégalaise significative a le devoir et l’obligation d’abréger la souffrance des Sénégalaises et Sénégalais, souffrance qui a pris repère un certain 19 mars 2000.
Si l’adage selon lequel « qui veut voyager loin ménage sa monture » est une vérité générale, moi je serai tente de dire « qui veut voyager loin se ménage soit même ». Cette opposition significative qui a marqué l’histoire politique le 22 mars 2009 en infligeant une défaite éclatante à la coalition Sopi et ses alliés, défaite matérialisée par une percée extraordinaire de la coalition BSS en gagnant les collectivités locales les plus importantes du pays ; Benno doit impérativement changer de fusil d’épaule pour mettre sur la touche pour ne pas dire hors jeu le règne libéral. Changer de stratégie est la condition sine qua non pour remettre ce beau pays sur les rails, pays tant admiré sous le règne socialiste de par sa diplomatie, sa gestion des affaires Etatiques.
Le régime libéral aime dans son argumentaire se focaliser sur un bilan de 40 ans, bilan plus que positif car ce régime a laissé un Etat, une Nation, une Armée, une Ecole. Le Sénégal depuis la pénétration coloniale a été le laboratoire de l’AOF et un pays pilote pour les occidentaux sur beaucoup de programmes de développement qui ont été managés avec succès. Aujourd’hui tout ce capital de sympathie, de crédibilité s’est fondu comme du beurre sous le soleil surtout avec l’affaire « Séguragate » qui a alimenté la presse nationale et internationale depuis quelques temps et tant d’autres scandales d’envergure nationale et internationale.
Après la marche de l’opposition du 06 novembre 2009 qui a connu un franc succès, pour moi ce n’est pas en restant dans des moelleux salons, en faisant des déclarations et des communiqués hebdomadaires après les SEP des différents partis politiques qu’on viendra à bouter ce régime avec un train de vie dispendieux, ostentatoire.
L’histoire m’a donné raison avec le mémorable 23 juin 201, ce jour le Gand Peuple Sénégalais (jeunes, hommes, femmes, vieux, enfants, société civile, syndicats, les politiques s’était levé pour dire non et surtout ne touche pas à ma Constitution
Remontons un peu dans l’histoire politique Sénégalaise, pour répondre à la question
COMMENT BOUTER LE REGIME LIBERAL?
L’opposition devait s’inspirer du poète Président Léopold Sédar Senghor contre Me Lamine Guèye au sommet de leur confrontation politique. Senghor avait sillonné le pays du Nord au Sud, d’EST en Ouest, au Centre pour battre campagne et sensibiliser les masses laborieuses : pêcheurs, pasteurs, paysans, (même étant jeune nous savons la suite des évènements).
Aujourd’hui plus que jamais pour reprendre les rennes et remettre ce pays sur le bon chemin tous les leaders de partis d’opposition doivent quadriller l’ensemble du territoire national prêcher la bonne et vraie information, les réalités au sommet de cet Etat « Bandit ». Tâche qui ne devrait poser aucun problème car ils sont combien ces leaders, plus nombreux que Senghor et ayant un adversaire je dis bien sans sous estimer un adversaire moins coriace que Me Lamine Guèye car l’on ne peut sous aucun angle faire la comparaison entre la carrière et le profil de Me Abdoulaye Wade et Me Lamine Guèye même étant tous des juristes de formation.
Les différents élus locaux issus de Benno doivent faire preuve de bonne gouvernance. Il faut qu’ils gèrent de manière transparente les derniers publics, qu’ils fassent un travail de proximité. Les élus doivent être conscients que les citoyens ne les pardonneront pas la moindre forfaiture parce que ceux qui sont déboulonnés ont été sanctionnés par ce qu’ils ont mal géré. Ils ont eu une gestion patrimoniale, privée des biens des collectivités locales. Incontestablement, ils subiront le même sort s’ils s’hasardent à faire comme eux, les citoyens sont devenus plus exigeants aujourd’hui.
OU BOUTER CE REGIME ?
Les différents leaders doivent occuper les moindres compartiments et recoins du pays. : Par exemple : Niasse et Tanor au centre(Thiès, Kaolack, la petite Côte), Wilane et Mata Sy Diallo dans le Ndoukoumane et, Macky Sall le Sine et le Fouta, ainsi que Me Aissata Tall Sall et Cheikh Bamba Dièye,Me Aliou Badara Cissé , Bathily, Dansokho et Abdou Khadre Cissokho l’Est et le Sud(Tamba, Bakel, Kédougou, Koumpentoum,Goudiry, Kidira), Robert Sagna et Landing Savanéet Mamadou Lamine Diallo le Sud(ziguinchor, Kolda, et Sédiou, Bignona, Oussouye), Aminata Mbengue Ndiaye Hélène Tine, Moustapha Cissé Lo(Louga, Thiès Diourbel, Touba) ainsi tout le territoire sera maillé et occupé par l’opposition. Un week end une capitale régionale, un week end une capitale départementale, un week end une grande commune, un week end un gros village au bout de deux, quatre voire six mois le régime sera certaine que la tendance sera incontestablement irréversible avant l’échéance 2012.
Les différents leaders pourront parler des scandales de la gouvernance libérale, l’envers des soient grands projets de Me Wade, les voyages intempestifs et coûteux au contribuable Sénégalais. La relance de tous les secteurs mis en faillite particulièrement celui de l’agriculture. Comment remettre l’éducation, la santé sur les bons rails ? Quelles alternatives pour l’emploi des jeunes ?
Vu les résultats du 22 mars toutes les localités gagnées par Benno la population était bien sensibilisée malgré la manne financière du régime, la coalition Sopi a perdu ; l à où l’information n’avait pas passé, Benno a perdu. Ce sont les populations intérieures de Bamba Thialène, de Kissang, Palmarin Ngalou, de Ndame, Fongolimby, Fahoye,Mbello Guith, Oréfondé, Barkédji, de Méréto,Diaglé Sine, Diambour, Kouthiagaidy,Ndoumane, Ndarou Ndimbélane, Mbocky, Barkéwel d’Enempore, de Suelle, d’Ouonk,de Niamone, des villlages du terres neuves, de Ségou, de Ngaloukoye, de Mbanhakoune, de Barsafa, de Kippe Baba, de Same Guèyène, d’Ainoumane, de Kolonto Bou Mack,de Mbam Log, de Thiaré Log, de Soum, de Mbassis Log, de Djilor saloum,de Ndorng Log, de Ndoffène,de Dabo, de Dioulacolon,de Médina Yérofoulah, de Pakour, de Parempampy, de Fafakourou, de Bonconto, de Mampatin, de Linkéring, de Bemet Bijini, de Coumbacara, d’Ouassadou qu’il faut sensibiliser.
Ce sont ces populations qui voteront aux différents scrutins électifs, l’opinion internationale est assez informée de ce qui se passe dans ce pays. Dakar la capitale, tous les médias y sont concentrés (radios, télévisions, presse écrite, Internet) tout ce qui s’y passe est connu de tous. Preuve par neuf Benno a gagné la capitale et la quasi-totalité des grandes villes du Sénégal.
Les leaders devraient mettre le paquet à l’intérieur du pays en étant auprès des citoyens qui les sentent dans le cours normal des choses, et éviter de les approcher seulement à l’orée des échéances électorales.
Avec une stratégie bien planifiée, des moyens humains, matériels et financiers rationnels la coalition pourra bouter ce régime en stimulant une révolution passive intérieure exprimée par un vomissement du Sopi.
QUAND BOUTER CE REGIME ?
Maintenant, maintenant Wade doit être conscient que les sénégalais de l’intérieur notamment les pasteurs, les pêcheurs surtout les paysans qui ont vu tout leur espoir s’envoler à cause de la désorganisation programmée de la filière arachide ne croient plus en lui. Me Wade et ses alliées ne pourront pas contenir cette révolution intérieure, rejet exprimé par un vomissement du régime libéral dans toutes ses formes.
L’opposition devrait utiliser la plus grande partie de son précieux temps à aller vers les populations dont l’écrasante majorité ne lit pas les journaux, n’écoute pas la radio pour leur expliquer les défaillances, voire les forfaits de la parasite gouvernance libérale. Dans les quatre coins du pays, elle devrait organiser des rencontres de quartiers, des meetings, des conférences en langues locales, les sujets ne manquent pas pour organiser ces genres d’activités.
C’est un devoir, une obligation pour chacun et chacune d’entre nous de retrousser les manches et les pantalons pour dire non au pouvoir de cet homme qui nous a mis dans cette situation délicate.
Texte écrit en le 08 décembre 2009 selon un adage wolof, « mieux vaut alerter à temps que de te dire que je le savais »
Moustapha DIENG
taphdieng@yahoo.fr
MDJ/LD/Koumpentoum