La Fondation Friedrich Naumann a organisé un Fuckup Night au profit des étudiants porteurs de projets innovants. Au cours de cette séance de partage d’expériences, des spécialistes ont valorisé l’échec.
L’entreprenariat n’est pas un long fleuve tranquille. C’est un chemin tumultueux et parfois sinueux. Mais il reste l’une des réponses au chômage des jeunes. Aucun pays au monde ne peut résoudre le problème du sous-emploi des diplômés. C’est pour cette raison que la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté multiplie l’organisation des Fuckup Night, une séance d’échange d’expériences sur l’entreprenariat. « La plupart du temps, les gens ne font que montrer leurs succès, les aspects positifs. Derrière tout succès, il y a des échecs. Et les gens n’en parlent pas. L’échec est le premier pas vers la réussite, cela veut dire échouer ne veut pas dire s’arrêter. L’échec, on le met dans le cadre d’une expérience qui nous permet de nous améliorer », a indiqué Antoinet Gning, chargé de Programme à la Fondation Friedrich Naumann.
Le jeune sénégalais, Alioune Badara Mbengue qui a mis au point la poubelle intelligente faisait partie des panélistes. En 2017, il était lauréat du Falling Walls de la Fondation Friedrich Naumann. En 2018, il a reçu le prix Hub Africa à Casablanca au Maroc. « Nous sommes là pour partager nos échecs dans notre parcours entrepreneurial. En 2015-2016, nous avons eu beaucoup de reconnaissances avec notre projet Mbal-It. Nous avions beaucoup d’opportunités. Aujourd’hui, nous avons fait un revirement pour accompagner les entreprises qui souhaitent tirer le maximum de profits de l’intelligence artificielle », a-t-il informé lors d’un Fuckup Night organisé par la Fondation Friedrich Naumann à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO).
En plus de Alioune Badara Mbengue, le journaliste spécialiste des nouvelles technologies, Basile Niane a aussi partagé son parcours entrepreneurial. Dans l’odyssée entrepreneuriale, l’une des contraintes, c’est l’accès aux financements. Mieux, il faudra en faire un bon usage. Du moins, c’est ce à quoi, invite Basile Niane, lui qui a utilisé les ressources qu’il avait mobilisées à d’autres fins. « J’avais utilisé de l’argent pour me marier et pour acheter de belles chaussures. Le projet a échoué. Il a fallu que je me retrousse les manches pour réaliser mon rêve d’entrepreneur », a laissé entendre Basile Niane, lors du Fuckup Night. Ses séances de partage d’expériences sont demandées un peu partout à travers le Sénégal. « Nous l'organisons depuis des années. Nous ne nous sommes pas limités seulement à Dakar. On le fait à Ziguinchor, Saint-Louis, Rufisque et Thiès. Le besoin se fait sentir. On reçoit de plus en plus de demandes dans ce sens », a rapporté Antoinet Gning.
L’entreprenariat n’est pas un long fleuve tranquille. C’est un chemin tumultueux et parfois sinueux. Mais il reste l’une des réponses au chômage des jeunes. Aucun pays au monde ne peut résoudre le problème du sous-emploi des diplômés. C’est pour cette raison que la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté multiplie l’organisation des Fuckup Night, une séance d’échange d’expériences sur l’entreprenariat. « La plupart du temps, les gens ne font que montrer leurs succès, les aspects positifs. Derrière tout succès, il y a des échecs. Et les gens n’en parlent pas. L’échec est le premier pas vers la réussite, cela veut dire échouer ne veut pas dire s’arrêter. L’échec, on le met dans le cadre d’une expérience qui nous permet de nous améliorer », a indiqué Antoinet Gning, chargé de Programme à la Fondation Friedrich Naumann.
Le jeune sénégalais, Alioune Badara Mbengue qui a mis au point la poubelle intelligente faisait partie des panélistes. En 2017, il était lauréat du Falling Walls de la Fondation Friedrich Naumann. En 2018, il a reçu le prix Hub Africa à Casablanca au Maroc. « Nous sommes là pour partager nos échecs dans notre parcours entrepreneurial. En 2015-2016, nous avons eu beaucoup de reconnaissances avec notre projet Mbal-It. Nous avions beaucoup d’opportunités. Aujourd’hui, nous avons fait un revirement pour accompagner les entreprises qui souhaitent tirer le maximum de profits de l’intelligence artificielle », a-t-il informé lors d’un Fuckup Night organisé par la Fondation Friedrich Naumann à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO).
En plus de Alioune Badara Mbengue, le journaliste spécialiste des nouvelles technologies, Basile Niane a aussi partagé son parcours entrepreneurial. Dans l’odyssée entrepreneuriale, l’une des contraintes, c’est l’accès aux financements. Mieux, il faudra en faire un bon usage. Du moins, c’est ce à quoi, invite Basile Niane, lui qui a utilisé les ressources qu’il avait mobilisées à d’autres fins. « J’avais utilisé de l’argent pour me marier et pour acheter de belles chaussures. Le projet a échoué. Il a fallu que je me retrousse les manches pour réaliser mon rêve d’entrepreneur », a laissé entendre Basile Niane, lors du Fuckup Night. Ses séances de partage d’expériences sont demandées un peu partout à travers le Sénégal. « Nous l'organisons depuis des années. Nous ne nous sommes pas limités seulement à Dakar. On le fait à Ziguinchor, Saint-Louis, Rufisque et Thiès. Le besoin se fait sentir. On reçoit de plus en plus de demandes dans ce sens », a rapporté Antoinet Gning.
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