Des renvois intempestifs, des va-et-vient incessants, des mesures de restriction sécuritaires qui handicapent l’économie et empêchent la libre circulation des personnes pendant les jours de procès, ont fini d'avoir raison sur les nerfs des sénégalais, plus particulièrement les dakarois…
Depuis 3 ans, c’est cette situation avec son lot de désagréments que vit la population Dakaroise à chaque fois que le procès pour viol, opposant Ousmane Sonko, leader du parti Pastef et la jeune dame nommée Adji Sarr, masseuse au salon « Sweet Beauté » est agité.
Résultat des courses : il faut que cette affaire soit le plus rapidement vidée et la lumière faite enfin...