Nous sommes des hommes et des femmes du Sénégal animés par la volonté de servir notre pays. Notre engagement est aussi un humanisme. C’est la conséquence de l’échec à tous les niveaux d’un régime animé par une seule volonté : se servir au détriment du développement et de la valorisation des compétences de notre pays.
Gandhi dans les lettres à Ashram nous apprenait que le patriotisme n’est pas exclusif : c’est la même chose que l’humanité et qu’il se considérait [lui Gandhi] comme patriote parce qu’il était homme et humain.
Les jeunes, que nous sommes, avons toujours nos mains suspendues à la recherche d’un emploi que nous peinons à avoir. La plupart d’entre nous, préfèrons donner de notre vie pour survivre, bravant l’inconnu et rêvant de l’eldorado. Barça ou barsax est le symbôle d’un rêve brisé.
Le panier de la ménagère est affaibli par une hausse du niveau de vie résultat de l’absence de planification de notre économie, du gaspillage de nos maigres ressources et de l’agencisation insensée du gouvernement conséquence de son train de vie dispendieux. La cleptomanie du fils a pris le dessus sur tout.
L’énergie nécessaire à l’émergence de nos PMI et PME nous fait défaut rendant frileux tout porteur de projet.
Les valeurs fondatrices de notre République s’affaissent. Il n’ y a plus de notion d’éthique et de séparation des pouvoirs.
Nos magistrats réclament plus d’indépendance au nom de l’équilibre des pouvoirs.
L’incompétence est promue, la vertu combattue, l’impunité et le vice encouragés.
Les enseignants sont souvent en grève pour de meilleures conditions d’existence et cela se reflète sur le niveau de nos élèves.
Notre jeunesse tremble, le reste du Sénégal claque naturellement des dents.
C’est ce constat qui est très loin d’être exhaustif qui nous a fait assez souvent réagir et agir. C’est un amer constat qui n’est cependant pas insolvable. La solution réside d’abord dans une volonté commune et inébranlable de nous rassembler pour servir notre pays. Cette volonté commune nous permettra d’aller vers des lendemains meilleurs où les institutions auront une valeur, la justice indépendante et l’économie au service de chaque sénégalais. Gustave le Bon nous apprenait que « le patriotisme est la plus puissante manifestation de l’âme d’une race. Il représente un instinct de conservation collectif qui, en cas de péril national, se substitue immédiatement à l’instinct de conservation individuelle. »
Par conséquent, nous restons persuadés qu’il est toujours possible de réhabiliter les valeurs cardinales qui jusqu’ici ont fondé notre résistance à toutes les épreuves.
L’alternance a été certes piégée et n’a pas pu cristalliser les espoirs. Mais elle était une nécessité. Nous n’avons aucun regret à nourrir puisque si elle était à refaire nous militerions pour. Seulement, nous devons fermement nous engager, unis, afin de rétablir ce qui a été dévoyé par des mercenaires, transhumants et magouilleurs professionnels.
Une question essentielle s’impose : Qui pour redresser ce qui a été mis à terre, mener le vrai changement et engager le vrai développement ?
Nous avons fait un choix patriotique mêlant lucidité et réalisme.
« Les défis sont énormes. L’heure est, certes, grave mais elle est au rassemblement. La foi de notre peuple, la compétence des enfants de ce pays, leur capacité de dépassement lorsqu’il s’agit du Sénégal, me confortent dans la ferme conviction que tout est possible et que l’espérance est permise ». Ces mots du Président Idrissa SECK montrent à plus d’un titre que c’est le seul candidat qui a réellement compris les impératifs de l’heure. Il a compris qu’il « faut rassembler pour gagner, rassembler pour gouverner, rassembler pour servir. » Mais, aussi et surtout rassembler pour unifier un peuple déchiré.
Qui d’autres que lui pour rétablir l’espoir vaincu ? Lui qui en connait l’envers et le revers ?
Le Président Idrissa SECK incarne à la fois l’effort dans l’unification des forces vives de la Nation, la reconstruction d’un Etat en lambeau, la stabilité pour le développement du pays, la solidité et la rigueur. Ceci se reflète dans le choix du chiffre quatre (4) que St-Jérome définit comme représentant le sens de la révélation et de la stabilité. Le chiffre quatre (4) symbolise la famille, étant considéré comme une autre image du chiffre un (1). Simple projection de l'unité, il est le nombre de l'organisation et du rythme parfait. Dans la Bible il symbolise le cosmos, le monde.
Le symbolisme dans l’alliance qui porte sa candidature Idy4president (lire Idy for President) est ainsi perçu. Cette alliance est le reflet d’une réelle volonté d’unir toutes les compétences pour un objectif commun : le développement du Sénégal. Cet objectif sera atteint dans la stabilité, la solidité et la fermeté.
Nous avons fait le choix de l’espoir. « Notre vision est celle de l’Espoir. Cet espoir est d’autant plus grand qu’il a permis de rassembler des Sénégalais de tous horizons politiques, de la société civile et de toutes les forces vives autour d’un seul but : Servir le Sénégal. »
C’est pour réorganiser ce qui a été brouillé, réhabiliter le culte de la compétence et de la vertu, servir et non se servir, rétablir nos institutions désacralisées, avoir une justice forte et indépendante et avoir une politique sociale et économique cohérente, que nous adhérons à l’alliance Idy4president.
Oumar Fall
Chargé de relations extérieures
C A D R E (Convergence Andd Dekkal Rewmi)
cadresenegal@gmail.com
Gandhi dans les lettres à Ashram nous apprenait que le patriotisme n’est pas exclusif : c’est la même chose que l’humanité et qu’il se considérait [lui Gandhi] comme patriote parce qu’il était homme et humain.
Les jeunes, que nous sommes, avons toujours nos mains suspendues à la recherche d’un emploi que nous peinons à avoir. La plupart d’entre nous, préfèrons donner de notre vie pour survivre, bravant l’inconnu et rêvant de l’eldorado. Barça ou barsax est le symbôle d’un rêve brisé.
Le panier de la ménagère est affaibli par une hausse du niveau de vie résultat de l’absence de planification de notre économie, du gaspillage de nos maigres ressources et de l’agencisation insensée du gouvernement conséquence de son train de vie dispendieux. La cleptomanie du fils a pris le dessus sur tout.
L’énergie nécessaire à l’émergence de nos PMI et PME nous fait défaut rendant frileux tout porteur de projet.
Les valeurs fondatrices de notre République s’affaissent. Il n’ y a plus de notion d’éthique et de séparation des pouvoirs.
Nos magistrats réclament plus d’indépendance au nom de l’équilibre des pouvoirs.
L’incompétence est promue, la vertu combattue, l’impunité et le vice encouragés.
Les enseignants sont souvent en grève pour de meilleures conditions d’existence et cela se reflète sur le niveau de nos élèves.
Notre jeunesse tremble, le reste du Sénégal claque naturellement des dents.
C’est ce constat qui est très loin d’être exhaustif qui nous a fait assez souvent réagir et agir. C’est un amer constat qui n’est cependant pas insolvable. La solution réside d’abord dans une volonté commune et inébranlable de nous rassembler pour servir notre pays. Cette volonté commune nous permettra d’aller vers des lendemains meilleurs où les institutions auront une valeur, la justice indépendante et l’économie au service de chaque sénégalais. Gustave le Bon nous apprenait que « le patriotisme est la plus puissante manifestation de l’âme d’une race. Il représente un instinct de conservation collectif qui, en cas de péril national, se substitue immédiatement à l’instinct de conservation individuelle. »
Par conséquent, nous restons persuadés qu’il est toujours possible de réhabiliter les valeurs cardinales qui jusqu’ici ont fondé notre résistance à toutes les épreuves.
L’alternance a été certes piégée et n’a pas pu cristalliser les espoirs. Mais elle était une nécessité. Nous n’avons aucun regret à nourrir puisque si elle était à refaire nous militerions pour. Seulement, nous devons fermement nous engager, unis, afin de rétablir ce qui a été dévoyé par des mercenaires, transhumants et magouilleurs professionnels.
Une question essentielle s’impose : Qui pour redresser ce qui a été mis à terre, mener le vrai changement et engager le vrai développement ?
Nous avons fait un choix patriotique mêlant lucidité et réalisme.
« Les défis sont énormes. L’heure est, certes, grave mais elle est au rassemblement. La foi de notre peuple, la compétence des enfants de ce pays, leur capacité de dépassement lorsqu’il s’agit du Sénégal, me confortent dans la ferme conviction que tout est possible et que l’espérance est permise ». Ces mots du Président Idrissa SECK montrent à plus d’un titre que c’est le seul candidat qui a réellement compris les impératifs de l’heure. Il a compris qu’il « faut rassembler pour gagner, rassembler pour gouverner, rassembler pour servir. » Mais, aussi et surtout rassembler pour unifier un peuple déchiré.
Qui d’autres que lui pour rétablir l’espoir vaincu ? Lui qui en connait l’envers et le revers ?
Le Président Idrissa SECK incarne à la fois l’effort dans l’unification des forces vives de la Nation, la reconstruction d’un Etat en lambeau, la stabilité pour le développement du pays, la solidité et la rigueur. Ceci se reflète dans le choix du chiffre quatre (4) que St-Jérome définit comme représentant le sens de la révélation et de la stabilité. Le chiffre quatre (4) symbolise la famille, étant considéré comme une autre image du chiffre un (1). Simple projection de l'unité, il est le nombre de l'organisation et du rythme parfait. Dans la Bible il symbolise le cosmos, le monde.
Le symbolisme dans l’alliance qui porte sa candidature Idy4president (lire Idy for President) est ainsi perçu. Cette alliance est le reflet d’une réelle volonté d’unir toutes les compétences pour un objectif commun : le développement du Sénégal. Cet objectif sera atteint dans la stabilité, la solidité et la fermeté.
Nous avons fait le choix de l’espoir. « Notre vision est celle de l’Espoir. Cet espoir est d’autant plus grand qu’il a permis de rassembler des Sénégalais de tous horizons politiques, de la société civile et de toutes les forces vives autour d’un seul but : Servir le Sénégal. »
C’est pour réorganiser ce qui a été brouillé, réhabiliter le culte de la compétence et de la vertu, servir et non se servir, rétablir nos institutions désacralisées, avoir une justice forte et indépendante et avoir une politique sociale et économique cohérente, que nous adhérons à l’alliance Idy4president.
Oumar Fall
Chargé de relations extérieures
C A D R E (Convergence Andd Dekkal Rewmi)
cadresenegal@gmail.com