Heureux comme Nicolas Sarkozy au Maroc sous le soleil de Tanger. Aux côtés du roi Mohammed VI, le président français foule les tapis rouges sous les applaudissements de la foule. Ici, loin des affaires et des revers électoraux, le chef de l’Etat est concentré sur son travail de président. « Et vendre des TGV au Maroc, se réjouit-il, c’est bon pour l’emploi des Français ».
Un demi-milliard d'euros
« C’est le premier TGV dans un pays arabe », souligne-t-il. « C’est de l’emploi pour les Français puisque pour Alstom, c’est quatorze rames, près d’un demi-milliard d’euros de commandes. Cela veut dire qu’à Belfort, à La Rochelle et dans d’autres sites, c’est des milliers d’heures de travail pour les ouvriers français ».
Dans l’entourage du président, les mêmes mots, les mêmes éléments de langage. « Le président est zen », disent en cœur les ministres qui l’accompagnent. « Dans l’avion, il ne nous a parlé que de football et du Maroc ». Difficile pourtant pour le président, même au Maroc, d’oublier les divisions de sa majorité alors que c‘est Jean-.Louis Borloo, son ancien ministre des Transports, qui s’étalait en grand sur toutes les images dans la gare de Tanger. Jean-Louis Borloo avait en effet signé, il y a quatre ans, le projet du futur TGV.
( RFI )
Un demi-milliard d'euros
« C’est le premier TGV dans un pays arabe », souligne-t-il. « C’est de l’emploi pour les Français puisque pour Alstom, c’est quatorze rames, près d’un demi-milliard d’euros de commandes. Cela veut dire qu’à Belfort, à La Rochelle et dans d’autres sites, c’est des milliers d’heures de travail pour les ouvriers français ».
Dans l’entourage du président, les mêmes mots, les mêmes éléments de langage. « Le président est zen », disent en cœur les ministres qui l’accompagnent. « Dans l’avion, il ne nous a parlé que de football et du Maroc ». Difficile pourtant pour le président, même au Maroc, d’oublier les divisions de sa majorité alors que c‘est Jean-.Louis Borloo, son ancien ministre des Transports, qui s’étalait en grand sur toutes les images dans la gare de Tanger. Jean-Louis Borloo avait en effet signé, il y a quatre ans, le projet du futur TGV.
( RFI )