La journée internationale « tolérance zéro excision » a été célébrée à Dakar sous le thème « Mettre fin aux mutilations génitales féminines est une décision politique. Tolérance zéro des instructions régionales et sous régionales. »
Dans son intervention lors de cet événement, la représentante résidente du fonds des Nations-Unies pour l’enfance (UNICEF), Laylee Moshiri, a soutenu que « dans les pays ou l’UNICEF et l’UNFPA interviennent, les filles ont actuellement plus de 33% de chance à l’excision qu’en 1997. Elle a également révélé que, malgré les mesures, les défis restent énormes au Sénégal. »
« L’excision des filles de 14 à 19 ans a diminué à 21% en 2017, tandis que 14 % des filles de moins de 15 ans sont toujours excisées au Sénégal… Selon Laylee Moshiri c’est parce qu’une minorité de personnes pensent toujours que l’excision est une pratique religieuse, donc l’accent doit être mis sur la formation et l’éducation... »
VoxPop
Dans son intervention lors de cet événement, la représentante résidente du fonds des Nations-Unies pour l’enfance (UNICEF), Laylee Moshiri, a soutenu que « dans les pays ou l’UNICEF et l’UNFPA interviennent, les filles ont actuellement plus de 33% de chance à l’excision qu’en 1997. Elle a également révélé que, malgré les mesures, les défis restent énormes au Sénégal. »
« L’excision des filles de 14 à 19 ans a diminué à 21% en 2017, tandis que 14 % des filles de moins de 15 ans sont toujours excisées au Sénégal… Selon Laylee Moshiri c’est parce qu’une minorité de personnes pensent toujours que l’excision est une pratique religieuse, donc l’accent doit être mis sur la formation et l’éducation... »
VoxPop