Pour annoncer la commande de 70 «Boeing 777-300 », Ernest Dikoum, directeur régional d’Emirates et ses collaborateurs ont organisé la semaine dernière, un déjeuner de presse, lors duquel M. Dikoum a indiqué que la prolifération des taxes aéroportuaires contribue au renchérissement de la plateforme sénégalaise.
Les professionnels du tourisme ne sont pas les seuls à déplorer la prolifération des taxes aéroportuaires au Sénégal. Les opérateurs aériens aussi, considèrent que ces taxes contribuent au renchérissement de leurs coûts d’exploitation. La plateforme aéroportuaire du Sénégal est l’une des plus chères en Afrique de l’ouest, constate Ernest Dikoum, directeur régional d’Emirates. Toutefois, «les efforts que le gouvernement sénégalais est en train de fournir actuellement, au plan sécuritaire sont quand même encourageants», soulignent M. Dikoum et ses collaborateurs qui tenaient un déjeuner de presse pour annoncer la commande de 70 appareils de type «Boeing 777-300 ER», d’une valeur de 26 milliards de dollars.
Selon les responsables d’Emirates à Dakar, «l’accord a été signé lors d’une cérémonie tenue en marge du dernier Salon aéronautique de Dubaï, par son Altesse Cheikh Ahmed Bin Saeed Al-Maktoum, Président directeur général du Groupe Emirates et Jim Albaugh de Boeing commercial Airplanes». La compagnie émiratie considère que le Boeing 777-300 ER lui permet de «moderniser sa flotte afin de pouvoir maintenir son leadership dans l’économie de carburant, tout en continuant à fournir à ses clients encore et toujours un produit meilleur». Aussi note Cheikh Ahmed Bin Saeed Al-Maktoum, dans un communiqué, ce type d’appareil «joue un rôle pivot dans le développement de la flotte moderne d’Emirates pour répondre aux exigences du marché mondial du transport aérien dans l’avenir».
Emirates qui dispose d’une flotte de 162 avions long-courrier vers 115 destinations dans 67 pays du monde, compte acquérir 73 avions Airbus 380, 70 Airbus 350, 40 avions Boeing 777-RE et 6 Boeing cargo. Cela, pour plus de 92 milliards de dollars, en fonction de «notre objectif de faire un remplissage de 100% au plan opérationnel», informe Enerst Dikoum. Déjà au Sénégal, ils disent être sur «une bonne tangente», avec un taux qui est passé de 84% à 96% au deuxième trimestre, d’autant que leur ambition est de passer de 5 vols par semaine à des vols quotidiens.
Selon M. Dikoum, Emirates dont la majorité des clients sont des commerçants, ne participe pas aux appels d’offres concernant le transport des pèlerins, car dit-il, ce n’est pas leur métier. N’empêche, leur compagnie traite les demandes du secteur privé qui transporte des pèlerins aux Lieux Saints de l’Islam.
( Le Quotidien )
Les professionnels du tourisme ne sont pas les seuls à déplorer la prolifération des taxes aéroportuaires au Sénégal. Les opérateurs aériens aussi, considèrent que ces taxes contribuent au renchérissement de leurs coûts d’exploitation. La plateforme aéroportuaire du Sénégal est l’une des plus chères en Afrique de l’ouest, constate Ernest Dikoum, directeur régional d’Emirates. Toutefois, «les efforts que le gouvernement sénégalais est en train de fournir actuellement, au plan sécuritaire sont quand même encourageants», soulignent M. Dikoum et ses collaborateurs qui tenaient un déjeuner de presse pour annoncer la commande de 70 appareils de type «Boeing 777-300 ER», d’une valeur de 26 milliards de dollars.
Selon les responsables d’Emirates à Dakar, «l’accord a été signé lors d’une cérémonie tenue en marge du dernier Salon aéronautique de Dubaï, par son Altesse Cheikh Ahmed Bin Saeed Al-Maktoum, Président directeur général du Groupe Emirates et Jim Albaugh de Boeing commercial Airplanes». La compagnie émiratie considère que le Boeing 777-300 ER lui permet de «moderniser sa flotte afin de pouvoir maintenir son leadership dans l’économie de carburant, tout en continuant à fournir à ses clients encore et toujours un produit meilleur». Aussi note Cheikh Ahmed Bin Saeed Al-Maktoum, dans un communiqué, ce type d’appareil «joue un rôle pivot dans le développement de la flotte moderne d’Emirates pour répondre aux exigences du marché mondial du transport aérien dans l’avenir».
Emirates qui dispose d’une flotte de 162 avions long-courrier vers 115 destinations dans 67 pays du monde, compte acquérir 73 avions Airbus 380, 70 Airbus 350, 40 avions Boeing 777-RE et 6 Boeing cargo. Cela, pour plus de 92 milliards de dollars, en fonction de «notre objectif de faire un remplissage de 100% au plan opérationnel», informe Enerst Dikoum. Déjà au Sénégal, ils disent être sur «une bonne tangente», avec un taux qui est passé de 84% à 96% au deuxième trimestre, d’autant que leur ambition est de passer de 5 vols par semaine à des vols quotidiens.
Selon M. Dikoum, Emirates dont la majorité des clients sont des commerçants, ne participe pas aux appels d’offres concernant le transport des pèlerins, car dit-il, ce n’est pas leur métier. N’empêche, leur compagnie traite les demandes du secteur privé qui transporte des pèlerins aux Lieux Saints de l’Islam.
( Le Quotidien )
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