La comédie s’arrête là pour Moussa Seck. L’artiste, connu pour ses talents d’humoriste, a été arrêté et écroué dans le cadre d’une enquête sur une vaste fraude autour de la convention État-employeur, mise en place durant la Covid-19. Selon Libération, il aurait monté un dossier fictif pour détourner 8,8 millions de francs CFA des caisses publiques.
Un mandat d’amener exécuté par la DIC
L’affaire a été révélée par une enquête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). Après la découverte de cette fraude, un mandat d’amener a été lancé contre Moussa Seck. La Division des investigations criminelles (DIC) l’a interpellé et conduit dans les locaux du Pool judiciaire financier (PJF) à Sacré-Cœur.
Une instruction a été ouverte, et le juge du cinquième cabinet financier a décidé de le placer sous mandat de dépôt pour escroquerie sur les deniers publics, faux et usage de faux.
Un réseau bien organisé ?
Moussa Seck n’est pas le premier à tomber dans ce dossier. Libération rappelle que deux autres personnes ont déjà été inculpées pour concussion, et l’enquête se poursuit pour identifier d’autres complices.
Ce scandale pourrait bien dévoiler une véritable mafia, où des individus ont profité des fonds destinés aux employeurs en difficulté pendant la pandémie. L’instruction en cours risque d’entraîner de nouvelles arrestations.
Un avenir judiciaire incertain
Le comédien, habitué aux projecteurs, se retrouve désormais sous les feux de la justice. Cette fois, ce n’est plus un rôle qu’il joue, mais bien sa liberté qui est en jeu. Reste à savoir si l’enquête révélera d’autres noms impliqués dans cette affaire qui, selon Libération, est loin d’avoir livré tous ses secrets.
Un mandat d’amener exécuté par la DIC
L’affaire a été révélée par une enquête de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). Après la découverte de cette fraude, un mandat d’amener a été lancé contre Moussa Seck. La Division des investigations criminelles (DIC) l’a interpellé et conduit dans les locaux du Pool judiciaire financier (PJF) à Sacré-Cœur.
Une instruction a été ouverte, et le juge du cinquième cabinet financier a décidé de le placer sous mandat de dépôt pour escroquerie sur les deniers publics, faux et usage de faux.
Un réseau bien organisé ?
Moussa Seck n’est pas le premier à tomber dans ce dossier. Libération rappelle que deux autres personnes ont déjà été inculpées pour concussion, et l’enquête se poursuit pour identifier d’autres complices.
Ce scandale pourrait bien dévoiler une véritable mafia, où des individus ont profité des fonds destinés aux employeurs en difficulté pendant la pandémie. L’instruction en cours risque d’entraîner de nouvelles arrestations.
Un avenir judiciaire incertain
Le comédien, habitué aux projecteurs, se retrouve désormais sous les feux de la justice. Cette fois, ce n’est plus un rôle qu’il joue, mais bien sa liberté qui est en jeu. Reste à savoir si l’enquête révélera d’autres noms impliqués dans cette affaire qui, selon Libération, est loin d’avoir livré tous ses secrets.
Autres articles
-
[🛑DIRECT] Affaire Moustapha Diop : L’assemblée examine les conclusions de la commission ad hoc
-
Drame à Seras-Yarakh : Deux ouvriers piégés et emportés dans un égout
-
Journée de sensibilisation sur la Trisomie 21 : Lutte contre les préjugés pour une société inclusive
-
Ramadan et Sport : Pourquoi faire du fitness après la rupture du jeûne ?
-
« Ce qui oppose SENEGINDIA à la DGPU… » : Souleymane Ndoye revient sur les contours d’une expropriation