Louange à Allah (SWT) qui, de Sa Sublime Lumière, a fait jaillir la Lumière du Sceau des Prophètes Mouhammad (PSL). Sans cette lumière sur terre, l’Humanité serait plus profondément dans les ténèbres comme l’a si bien exprimé Seydi Elhadji Malick SY (RTA) dans son Taïssir. Mohammad (PSL) est l’incarnation de la bonté de l’âme. Par son œuvre divinement inspirée et initiée il y a plus de 1400 ans, les musulmans viennent de boucler un mois de dévotions intensifiée durant lequel tout croyant aura pansé et rééduqué son âme tâchée et blessée par ce monde matérialiste et de plus en plus dépouillée de sa substance spirituelle.
Mouhammad (PSL) ne s’est pas limité à institué la meilleure des religions. Il a en même temps, avec la perfection digne du meilleur des prophètes, fondé une Nation, forgé un Etat, élaboré un code moral et mis en œuvre plusieurs réformes sociales et politiques indispensables. C’est ce qui fera dire à Thomas Carlyle dans « Heroes and Heroworhip » paru en 1840 : « comment un homme d’une seule main, pourrait souder les tribus qui s’entretuent, les bédouins qui errent, en une seule nation la plus puissante et la plus civilisée en moins de deux décennies ? Les mensonges occidentaux amassés autour de Mouhammad sont honteux à nous-mêmes ». A l’opposé des sociétés matérialistes actuelles, sources des déséquilibres sociaux et environnementaux, que l’Occident s’est entêté à parachever en terrassant les traditions chrétiennes et judaïques orthodoxes, Mouhammad (PSL) avait, quant à lui, érigé une société juste, équilibrée et basée sur le culte du bon voisinage entre toutes les confessions religieuses.
Dans « The World’s Religions » paru en 1991, Huston Smith rappelle à la, page 256 : « Mouhammad avait établi un document qui stipulait entre autres : les juifs et les chrétiens seront protégés de toutes insultes ou vexations, ils auront les mêmes droits que les musulmans à notre protection et nos services, en plus, ils pratiqueront leurs religions aussi librement que les musulmans ». Auparavant De Lacy O’Leary écriait dans « Islam at the Crossread » paru en 1923 que : « l’histoire montre clairement que la légende des musulmans fanatiques balayant le monde et imposant l’Islam par la pointe de l’épée aux races conquises est un des mythes les plus fantastiquement absurdes qui aient jamais été rapportés par les historiens ». D’ailleurs en 1492, quand Ferdinand et Isabelle avaient reconquis l’Espagne occupés par les musulmans, ils avaient chassé tous les juifs qui sont allés se réfugier en Turquie où régnait un Califat islamique.
L’islam est une manière d’être, une éducation et une programmation comportementales exclusivement basées sur l’adoration d’Allah (SWT) et l’écrasement de l’égo dans une quête perpétuelle de la conscience. Suivant une démarche d’exemplarité comportementale, de pratique et de représentation de ses sublimes enseignements, Mouhammad (PSL) s’est toujours évertué à éduquer les croyants dans l’équilibre et la mesure. Il est venu comme un modeste et humble être humain montrer la voie de l’adoration, de la promotion d’une conscience collective et de la coexistence paisible entre les communautés humaines. Edwar Gibbon et Simon Ockley mentionnent dans « History of the Saracen Empires » paru en 1870 que « les hommages rendus au prophète n’ont jamais franchi la mesure de la vertu humaine ; et ses préceptes vivants ont restreint la gratitude de ses disciples dans la limite de la raison et de la religion ».
Le jour de la mort de son fils Ibrahim, une éclipse lunaire s’était manifestée, et les croyants musulmans l’avaient interprétée comme les condoléances de Dieu à l’égard de son prophète. Et Mouhammad (PSL) déclara qu’une éclipse étant un phénomène naturel, il est insensé d’attribuer ce genre de phénomène la naissance ou la mort d’un être humain. Par ailleurs, après avoir été hué à Taïf (la ville de ses oncles) où il était parti demandé main forte contre les chefs de la Mecque, de même qu’après avoir été blessé lors de la bataille de OHUD, les fidèles musulmans avaient suggéré au prophète d’implorer Dieu pour qu’Il punisse les adversaires. La réaction de Mouhammad (PSL) a été sans appel : « Dieu m’a envoyé pour changer les hommes et non pour les détruire. Soyons patients, ils seront peut-être des nôtres dans l’avenir ». Dans le verset 4 de la sourate 68, Allah (SWT) a clairement loué sa clairvoyance, sa générosité d’âme, sa Grande bonté et sa patience en ces termes : « tu es certes d’une moralité sublime ». C’est ainsi cette magnifique et pittoresque stratégie d’implantation de l’Islam, de même que l’élégance humaine et spirituelle qu’il a apportée à l’humanité qui ont éveillé si profondément la curiosité de tous les grands philosophes de ce monde tout au long de l’histoire.
Dans « Mohammad et Mohammadisme » paru en 1874, Bosworth Smith écrit à la page 92 : « Il était César et le Pape réunis en un seul être ; mais il était le Pape sans avoir les prétentions du Pape, et César sans avoir les légions du César : sans armée, sans garde du corps, sans palais et sans revenu fixe, s’il y a un homme qui a le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mouhammad, puisqu’il a tout le pouvoir sans en avoir les instruments et les supports ». Dans le volume 1, numéro 81 de « The Guenuine Islam » paru en 1936, Georges Bernard Shaw est allé plus loin que les autres : « j’ai toujours eu une haute estime pour la religion de Mouhammad à cause de sa merveilleuse vitalité. C’est la seule religion qui me semble posséder cette capacité d’assimilation aux différentes étapes de l’existence. J’ai étudié cet homme merveilleux qui, à mon avis, est loin d’être l’Antéchrist, et qui devrait être appelé le sauveur de l’humanité. J’estime que si un homme comme lui devait exercer une hégémonie sur le monde moderne, il réussirait à résoudre tous les problèmes de façon à lui apporter la paix et le bonheur ». Dans ses fameux écrits de 1954 Alphonse de Lamartine mentionne : « sa patience dans la victoire, son ambition toute d’idée, nullement d’empire, a prière sans fin, son triomphe après le tombeau attestent plus qu’une imposture, une conviction. Ce fut cette conviction qui lui donna la puissance de restaurer un dogme. Ce dogme était double, l’unicité de Dieu et l’immatérialité de Dieu ; l’un disant ce que Dieu est, l’autre disant ce qu’il n’est pas : l’un renversant avec le sabre de dieux mensongers et l’autre inaugurant avec la parole une idée ».
Edwar Gibbon et Simon Ockley (1870) avaient également mentionné que : « ce n’est pas la propagation mais la permanence de sa religion qui mérite notre émerveillement ; la même impression, pure et parfaite, qu’il laissa à la Mecque et à Médine, se retrouvent après douze siècles écoulés, chez les Indiens, les Africains et les Turcs ». La religion musulmane repose sur un coran resté similaire à travers le temps et à travers toute la planète. Ses recommandations sont restées immuables et adaptables à toutes les époques. Dans le verset 38 de la sourate 6 du Coran Allah (SWT a bien mentionné : « Nous n´avons rien omis d´écrire dans le Livre ». C’est l’unique religion qui s’adressera à toute l’humanité jusqu’à la fin des temps. Et Mouhammad (PSL) est le dernier prophète, modèle d’être humain à imiter par tous les hommes jusqu’à la fin des temps. Aucun homme n’a su le remplacer pleinement au risque de faire oublier son œuvre. Le sort de chacun des quatre premiers Khalifes (RTA) après lui en est justement illustrateur.
Paix et Salut sur Mouhammad, cet argument sans qui, Allah n’aurait pas besoin de nous créer.
Paix et Salut sur ces Premiers Compagnons sans qui son action aurait été compromise.
Elhadji Mounirou NDIAYE, économiste
Mouhammad (PSL) ne s’est pas limité à institué la meilleure des religions. Il a en même temps, avec la perfection digne du meilleur des prophètes, fondé une Nation, forgé un Etat, élaboré un code moral et mis en œuvre plusieurs réformes sociales et politiques indispensables. C’est ce qui fera dire à Thomas Carlyle dans « Heroes and Heroworhip » paru en 1840 : « comment un homme d’une seule main, pourrait souder les tribus qui s’entretuent, les bédouins qui errent, en une seule nation la plus puissante et la plus civilisée en moins de deux décennies ? Les mensonges occidentaux amassés autour de Mouhammad sont honteux à nous-mêmes ». A l’opposé des sociétés matérialistes actuelles, sources des déséquilibres sociaux et environnementaux, que l’Occident s’est entêté à parachever en terrassant les traditions chrétiennes et judaïques orthodoxes, Mouhammad (PSL) avait, quant à lui, érigé une société juste, équilibrée et basée sur le culte du bon voisinage entre toutes les confessions religieuses.
Dans « The World’s Religions » paru en 1991, Huston Smith rappelle à la, page 256 : « Mouhammad avait établi un document qui stipulait entre autres : les juifs et les chrétiens seront protégés de toutes insultes ou vexations, ils auront les mêmes droits que les musulmans à notre protection et nos services, en plus, ils pratiqueront leurs religions aussi librement que les musulmans ». Auparavant De Lacy O’Leary écriait dans « Islam at the Crossread » paru en 1923 que : « l’histoire montre clairement que la légende des musulmans fanatiques balayant le monde et imposant l’Islam par la pointe de l’épée aux races conquises est un des mythes les plus fantastiquement absurdes qui aient jamais été rapportés par les historiens ». D’ailleurs en 1492, quand Ferdinand et Isabelle avaient reconquis l’Espagne occupés par les musulmans, ils avaient chassé tous les juifs qui sont allés se réfugier en Turquie où régnait un Califat islamique.
L’islam est une manière d’être, une éducation et une programmation comportementales exclusivement basées sur l’adoration d’Allah (SWT) et l’écrasement de l’égo dans une quête perpétuelle de la conscience. Suivant une démarche d’exemplarité comportementale, de pratique et de représentation de ses sublimes enseignements, Mouhammad (PSL) s’est toujours évertué à éduquer les croyants dans l’équilibre et la mesure. Il est venu comme un modeste et humble être humain montrer la voie de l’adoration, de la promotion d’une conscience collective et de la coexistence paisible entre les communautés humaines. Edwar Gibbon et Simon Ockley mentionnent dans « History of the Saracen Empires » paru en 1870 que « les hommages rendus au prophète n’ont jamais franchi la mesure de la vertu humaine ; et ses préceptes vivants ont restreint la gratitude de ses disciples dans la limite de la raison et de la religion ».
Le jour de la mort de son fils Ibrahim, une éclipse lunaire s’était manifestée, et les croyants musulmans l’avaient interprétée comme les condoléances de Dieu à l’égard de son prophète. Et Mouhammad (PSL) déclara qu’une éclipse étant un phénomène naturel, il est insensé d’attribuer ce genre de phénomène la naissance ou la mort d’un être humain. Par ailleurs, après avoir été hué à Taïf (la ville de ses oncles) où il était parti demandé main forte contre les chefs de la Mecque, de même qu’après avoir été blessé lors de la bataille de OHUD, les fidèles musulmans avaient suggéré au prophète d’implorer Dieu pour qu’Il punisse les adversaires. La réaction de Mouhammad (PSL) a été sans appel : « Dieu m’a envoyé pour changer les hommes et non pour les détruire. Soyons patients, ils seront peut-être des nôtres dans l’avenir ». Dans le verset 4 de la sourate 68, Allah (SWT) a clairement loué sa clairvoyance, sa générosité d’âme, sa Grande bonté et sa patience en ces termes : « tu es certes d’une moralité sublime ». C’est ainsi cette magnifique et pittoresque stratégie d’implantation de l’Islam, de même que l’élégance humaine et spirituelle qu’il a apportée à l’humanité qui ont éveillé si profondément la curiosité de tous les grands philosophes de ce monde tout au long de l’histoire.
Dans « Mohammad et Mohammadisme » paru en 1874, Bosworth Smith écrit à la page 92 : « Il était César et le Pape réunis en un seul être ; mais il était le Pape sans avoir les prétentions du Pape, et César sans avoir les légions du César : sans armée, sans garde du corps, sans palais et sans revenu fixe, s’il y a un homme qui a le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mouhammad, puisqu’il a tout le pouvoir sans en avoir les instruments et les supports ». Dans le volume 1, numéro 81 de « The Guenuine Islam » paru en 1936, Georges Bernard Shaw est allé plus loin que les autres : « j’ai toujours eu une haute estime pour la religion de Mouhammad à cause de sa merveilleuse vitalité. C’est la seule religion qui me semble posséder cette capacité d’assimilation aux différentes étapes de l’existence. J’ai étudié cet homme merveilleux qui, à mon avis, est loin d’être l’Antéchrist, et qui devrait être appelé le sauveur de l’humanité. J’estime que si un homme comme lui devait exercer une hégémonie sur le monde moderne, il réussirait à résoudre tous les problèmes de façon à lui apporter la paix et le bonheur ». Dans ses fameux écrits de 1954 Alphonse de Lamartine mentionne : « sa patience dans la victoire, son ambition toute d’idée, nullement d’empire, a prière sans fin, son triomphe après le tombeau attestent plus qu’une imposture, une conviction. Ce fut cette conviction qui lui donna la puissance de restaurer un dogme. Ce dogme était double, l’unicité de Dieu et l’immatérialité de Dieu ; l’un disant ce que Dieu est, l’autre disant ce qu’il n’est pas : l’un renversant avec le sabre de dieux mensongers et l’autre inaugurant avec la parole une idée ».
Edwar Gibbon et Simon Ockley (1870) avaient également mentionné que : « ce n’est pas la propagation mais la permanence de sa religion qui mérite notre émerveillement ; la même impression, pure et parfaite, qu’il laissa à la Mecque et à Médine, se retrouvent après douze siècles écoulés, chez les Indiens, les Africains et les Turcs ». La religion musulmane repose sur un coran resté similaire à travers le temps et à travers toute la planète. Ses recommandations sont restées immuables et adaptables à toutes les époques. Dans le verset 38 de la sourate 6 du Coran Allah (SWT a bien mentionné : « Nous n´avons rien omis d´écrire dans le Livre ». C’est l’unique religion qui s’adressera à toute l’humanité jusqu’à la fin des temps. Et Mouhammad (PSL) est le dernier prophète, modèle d’être humain à imiter par tous les hommes jusqu’à la fin des temps. Aucun homme n’a su le remplacer pleinement au risque de faire oublier son œuvre. Le sort de chacun des quatre premiers Khalifes (RTA) après lui en est justement illustrateur.
Paix et Salut sur Mouhammad, cet argument sans qui, Allah n’aurait pas besoin de nous créer.
Paix et Salut sur ces Premiers Compagnons sans qui son action aurait été compromise.
Elhadji Mounirou NDIAYE, économiste
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