Tout le monde a été pris au dépourvu suite au meurtre du jeune Abdou Diaw dans l’abattoir de Seras ce lundi matin. D’habitude, ces crimes odieux étaient enregistrés en dehors de l’enceinte, notamment aux environs des abattoirs. Abdou Diaw, la victime, de même que son bourreau étaient des commerçants qui vendaient des abats de bœuf. Ils ne faisaient pas partie du personnel de la SOGAS mais travaillaient indirectement avec la société. « Il y’a plusieurs agents de la Sogas qui viennent gagner leur vie dans ces abattoirs.
Parmi eux, ces tripiers qui travaillent pour leur propre compte. Il semblerait qu’il y’a eu un petit contentieux auquel nous n’avons jamais été au courant. Mais ils l’ont réglé de manière extraordinaire » a regretté le chef du personnel des abattoirs. Après avoir commis son crime, Abdou Mbaye, le présumé meurtrier qui s’est enfui avec l’arme du crime a été poursuivi par certains commerçants qui ne pouvaient pas prendre le risque de l’attraper. « Depuis que les abattoirs à la SOGAS ont commencé à fonctionner en 1957, un tel crime n’y a jamais été signalé » rapporte Mamadou Talla.
Parmi eux, ces tripiers qui travaillent pour leur propre compte. Il semblerait qu’il y’a eu un petit contentieux auquel nous n’avons jamais été au courant. Mais ils l’ont réglé de manière extraordinaire » a regretté le chef du personnel des abattoirs. Après avoir commis son crime, Abdou Mbaye, le présumé meurtrier qui s’est enfui avec l’arme du crime a été poursuivi par certains commerçants qui ne pouvaient pas prendre le risque de l’attraper. « Depuis que les abattoirs à la SOGAS ont commencé à fonctionner en 1957, un tel crime n’y a jamais été signalé » rapporte Mamadou Talla.