Je me réjouis comme beaucoup de mes camarades, militants de l’Alliance pour la République(A.P.R)/ YAAKAR, de la tournée politique à l’intérieur et à l’extérieur du pays de Maître Alioune Badara CISSE. Avec lui, l’A.P.R écrira son histoire de gloire politique et de dignité républicaine.
Nous ne doute pas que les actes qu’il est entrain de poser renforceront à coup sûr les réalisations politiques souhaitées et l’atteinte des objectifs pour le mieux être des populations en général et des militants de base en particulier. Nous avons tous vu qu’il a opté pour le renversement de tendance par son audace car, nous le savons toujours fidèle à ses options de militants en tant que membre fondateur du parti qui croit en sa personne. Son expérience politique lui a permis de découvrir une philosophie de l’anticipation et de tracer les lignes de conduite qui mènent vers le succès. Il a pressenti que de la manière d’appréhender les problèmes, dépendait l’efficacité des solutions. Sa stratégie demeure dans la communication par le contact, l’écoute, l’échange avec les militants de base qui est un baromètre sûr pour réussir les combats politiques et massifier le parti. Qui fait mieux que lui ?
Il va de soi, comme j’aime toujours à le dire que nous devons « cultiver notre jardin propre » et que les fruits profiteront aux sénégalais ; aussi faut multiplier et renforcer les actes politiques qui nous poussent à concentrer notre attention sur les problèmes réels au sein des structures de base internes ou externes. Ceci, Maître ABC l’a bien compris, contrairement à ses détracteurs qui se réclament responsables et qui, maladroitement sèment le désordre. Ces verbalistes qui proclament l’austérité au sein du parti que confirment si tristement les querelles de positionnement.
En faisant une petite analyse, ou en posant le débat en termes de problématiques politiques inéluctables :
A qui appartient le parti et qui en détermine son fonctionnement ? A qui reviennent l’animation politique et la vie des structures du parti ? A qui profitent les retombées positives au plan politique ? Les réponses sont évidentes ; car à première vue, tout part des militants et logiquement tout doit leur revenir. Mais comment expliquer ce déni récurrent, l’arbitraire flagrant, ce pilotage à vue qui sont en passe de devenir les maîtres mots de ce qu’il est politiquement clair d’appeler « manque de considération » des responsables envers leurs militants de base depuis l’élection de notre camarade Secrétaire général son Excellence Monsieur Macky SALL ? En témoignent la composition du Bureau Politique de l’A.P.R, le pilotage à vue opéré au sein des organes externes du parti, la nomination aux postes de responsabilité de personnes n’ayant aucun mérite politique, la transhumance devenue clientélisme par intérêt au lieu par conviction…
Bien que n’ayant pas encore tenu de congrès constitutif pour élire de manière démocratique les responsables du parti, j’aurai préféré les voir tous s’activer au niveau de leur base pour la massification du parti au lieu de s’inscrire dans une dynamique de rivalités et de querelles latentes entre eux.
Ce que je récuse encore comme bon nombre de militants, c’est la léthargie, le manque d’initiative et d’innovation, qui pour l’heure, profite à nos adversaires devenus des alliés par intérêt dans le cadre du « Benno Book Yaakar ». Ce manque d’initiative et d’innovation fait aujourd’hui de notre parti un parti vidé de son contenu car n’ayant aucun programme politique permettant l’éducation et la formation militante.
Ne posons pas de faux fuyants pour essayer de combler nos lacunes. Posons un débat interne qui ira jusqu’aux racines du mal si nous voulons un parti qui vit, un parti animé qui élabore des solutions conjoncturelles efficaces, un parti ayant une espérance de vie longue regroupant des hommes et des femmes qui aspirent tous à opérer des ruptures aux seules fins de hisser le Sénégal vers l’émergence économique. Nous devons conjurer nos querelles politiques afin de préparer les joutes électorales à venir en optant pour la solidarité entre camarades, la considération et le respect du sommet à la base. Sans la base, un parti n’est rien et n’a et n’aura rien. C’est au nom des principes républicains que chacun de nous doit avoir à l’esprit qu’il a sa part de responsabilité pour le triomphe du parti. Pour cela, il faut que les structures du parti soient des lieux où s’exprimeront et s’imprimeront toutes les idées novatrices. Il nous faut aller plus loin et d’être plus ambitieux pour relever les défis majeurs et ceci requiert un engagement et une certaine éthique politique que seuls la formation à la base et l’encadrement permettent d’acquérir.
Laissons à part ce que nous n’avons pas été capables de faire jusqu’à maintenant, consacrons nous sur ce que nous sommes capables de faire et ce que nous devons faire en termes de priorités et de défis : bâtir un parti républicain dont les dirigeants cesseraient de se prendre pour des chefs mais des serviteurs de la base. A l’exemple de Maître Alioune Badara CISSE.
A suivre…
Malick Wade GUEYE,
Coordinateur comité A.P.R/ Ndouck/ Fatick depuis l’Europe
Nous ne doute pas que les actes qu’il est entrain de poser renforceront à coup sûr les réalisations politiques souhaitées et l’atteinte des objectifs pour le mieux être des populations en général et des militants de base en particulier. Nous avons tous vu qu’il a opté pour le renversement de tendance par son audace car, nous le savons toujours fidèle à ses options de militants en tant que membre fondateur du parti qui croit en sa personne. Son expérience politique lui a permis de découvrir une philosophie de l’anticipation et de tracer les lignes de conduite qui mènent vers le succès. Il a pressenti que de la manière d’appréhender les problèmes, dépendait l’efficacité des solutions. Sa stratégie demeure dans la communication par le contact, l’écoute, l’échange avec les militants de base qui est un baromètre sûr pour réussir les combats politiques et massifier le parti. Qui fait mieux que lui ?
Il va de soi, comme j’aime toujours à le dire que nous devons « cultiver notre jardin propre » et que les fruits profiteront aux sénégalais ; aussi faut multiplier et renforcer les actes politiques qui nous poussent à concentrer notre attention sur les problèmes réels au sein des structures de base internes ou externes. Ceci, Maître ABC l’a bien compris, contrairement à ses détracteurs qui se réclament responsables et qui, maladroitement sèment le désordre. Ces verbalistes qui proclament l’austérité au sein du parti que confirment si tristement les querelles de positionnement.
En faisant une petite analyse, ou en posant le débat en termes de problématiques politiques inéluctables :
A qui appartient le parti et qui en détermine son fonctionnement ? A qui reviennent l’animation politique et la vie des structures du parti ? A qui profitent les retombées positives au plan politique ? Les réponses sont évidentes ; car à première vue, tout part des militants et logiquement tout doit leur revenir. Mais comment expliquer ce déni récurrent, l’arbitraire flagrant, ce pilotage à vue qui sont en passe de devenir les maîtres mots de ce qu’il est politiquement clair d’appeler « manque de considération » des responsables envers leurs militants de base depuis l’élection de notre camarade Secrétaire général son Excellence Monsieur Macky SALL ? En témoignent la composition du Bureau Politique de l’A.P.R, le pilotage à vue opéré au sein des organes externes du parti, la nomination aux postes de responsabilité de personnes n’ayant aucun mérite politique, la transhumance devenue clientélisme par intérêt au lieu par conviction…
Bien que n’ayant pas encore tenu de congrès constitutif pour élire de manière démocratique les responsables du parti, j’aurai préféré les voir tous s’activer au niveau de leur base pour la massification du parti au lieu de s’inscrire dans une dynamique de rivalités et de querelles latentes entre eux.
Ce que je récuse encore comme bon nombre de militants, c’est la léthargie, le manque d’initiative et d’innovation, qui pour l’heure, profite à nos adversaires devenus des alliés par intérêt dans le cadre du « Benno Book Yaakar ». Ce manque d’initiative et d’innovation fait aujourd’hui de notre parti un parti vidé de son contenu car n’ayant aucun programme politique permettant l’éducation et la formation militante.
Ne posons pas de faux fuyants pour essayer de combler nos lacunes. Posons un débat interne qui ira jusqu’aux racines du mal si nous voulons un parti qui vit, un parti animé qui élabore des solutions conjoncturelles efficaces, un parti ayant une espérance de vie longue regroupant des hommes et des femmes qui aspirent tous à opérer des ruptures aux seules fins de hisser le Sénégal vers l’émergence économique. Nous devons conjurer nos querelles politiques afin de préparer les joutes électorales à venir en optant pour la solidarité entre camarades, la considération et le respect du sommet à la base. Sans la base, un parti n’est rien et n’a et n’aura rien. C’est au nom des principes républicains que chacun de nous doit avoir à l’esprit qu’il a sa part de responsabilité pour le triomphe du parti. Pour cela, il faut que les structures du parti soient des lieux où s’exprimeront et s’imprimeront toutes les idées novatrices. Il nous faut aller plus loin et d’être plus ambitieux pour relever les défis majeurs et ceci requiert un engagement et une certaine éthique politique que seuls la formation à la base et l’encadrement permettent d’acquérir.
Laissons à part ce que nous n’avons pas été capables de faire jusqu’à maintenant, consacrons nous sur ce que nous sommes capables de faire et ce que nous devons faire en termes de priorités et de défis : bâtir un parti républicain dont les dirigeants cesseraient de se prendre pour des chefs mais des serviteurs de la base. A l’exemple de Maître Alioune Badara CISSE.
A suivre…
Malick Wade GUEYE,
Coordinateur comité A.P.R/ Ndouck/ Fatick depuis l’Europe