Le président sénégalais Abdoulaye Wade envisage, s’il est réélu en février 2012, de mettre en place "un gouvernement de large union nationale", rapporte le texte de son message à la nation, dont copie a été transmise samedi à l’APS.
‘’Si Dieu, Maître du pouvoir qu’il confie à qui Il veut, quand Il veut, me choisit de nouveau pour continuer à présider le destin de notre pays, je mettrai en place, sous sa Divine Bénédiction, un Gouvernement de large union nationale, tenant dûment compte de l’approche genre, par-delà les frontières de partis, de façon à mettre au service de notre pays les meilleurs talents, les meilleures volontés, les plus fermes engagements’’, a-t-il dit.
Le chef de l’Etat sénégalais a invité samedi ses opposants qu’il a qualifiés d’‘’égarés aveuglés par l’appétit du +pouvoir tout de suite+ (à) revenir sur terre et au pays’’.
‘’Ils ont déjà inutilement perdu beaucoup de temps à l’étranger au lieu de venir tenter de convaincre nos compatriotes et solliciter leurs suffrages, car les élections ne se font ni à Paris ni à Washington mais au Sénégal’’, a dit Me Wade, dont la candidature est contestée par l’opposition et la société civile.
( APS )
‘’Si Dieu, Maître du pouvoir qu’il confie à qui Il veut, quand Il veut, me choisit de nouveau pour continuer à présider le destin de notre pays, je mettrai en place, sous sa Divine Bénédiction, un Gouvernement de large union nationale, tenant dûment compte de l’approche genre, par-delà les frontières de partis, de façon à mettre au service de notre pays les meilleurs talents, les meilleures volontés, les plus fermes engagements’’, a-t-il dit.
Le chef de l’Etat sénégalais a invité samedi ses opposants qu’il a qualifiés d’‘’égarés aveuglés par l’appétit du +pouvoir tout de suite+ (à) revenir sur terre et au pays’’.
‘’Ils ont déjà inutilement perdu beaucoup de temps à l’étranger au lieu de venir tenter de convaincre nos compatriotes et solliciter leurs suffrages, car les élections ne se font ni à Paris ni à Washington mais au Sénégal’’, a dit Me Wade, dont la candidature est contestée par l’opposition et la société civile.
( APS )