Le port-parole du candidat des Forces alliées pour la victoire (FAL 012), El Hadji Amadou Sall, a relativisé lundi les premières tendances du scrutin de la présidentielle, affirmant qu’il s’agit pour le moment de ‘’résultats épars et isolés’’ qui ne permettent de tirer "aucune conclusion".
Réagissant sur les ondes de la Radio Futurs Médias (RFM, privée), après les premières tendances issues du dépouillement des bureaux de vote, M. Sall estime que ces résultats ‘’représentent à peu près moins de cinq pour cent des résultats globaux’’. Ce qui, selon lui, ne permet pas d’avoir ‘’une tendance lourde’’.
‘’Donc, on attend. Les Sénégalais se sont exprimés. Et puis nous leur tendons l’oreille, pour savoir exactement ce qu’ils ont dit. Donc, nous sommes au moment où nous collectons, nous essayons de comprendre ce que les Sénégalais ont exprimé’’, a-t-il expliqué.
En conséquence, il estime que ‘’c’est aller très vite en besogne que de tirer une première conclusion ou une première leçon’’.
Il s’est félicité du bon déroulement du scrutin. ‘’Ce qu’il faut retenir, dit-il, c’est que tout s’est passé assez correctement. Il n’y a absolument pas eu de violences. Les Sénégalais sont allés librement. Franchement, (…) on est fiers d’être Sénégalais et de notre démocratie et surtout, surtout que nos citoyens sénégalais ont fait la leçon à certains hommes politiques’’.
Pour El hadji Amadou Sall, à travers ce scrutin, les Sénégalais ont ‘’fait au monde entier une véritable leçon de démocratie’’.
A la question de savoir si le candidat sortant est disposé à aller à un éventuel second tour, Me Sall a dit : ‘’ Le candidat Abdoulaye Wade a parlé, il a plusieurs fois parlé. Je crois qu’il n’est pas suffisamment écouté.
Le candidat Abdoulaye Wade ’’avait dit dès le départ qu’il est malgré tout et en dépit de tout le gardien de la Constitution et qu’il doit veiller au bon fonctionnement des institutions.’’
Poursuivant son propos, il ajoute : ‘’Il a dit qu’il se soumettait aux institutions. (…) Il a dit le départ que je me soumettrai à ce que le Conseil constitutionnel décidera, au verdict des urnes. Il a dit si je suis vaincu, je féliciterais le vainqueur (…)’’.
Réagissant sur les ondes de la Radio Futurs Médias (RFM, privée), après les premières tendances issues du dépouillement des bureaux de vote, M. Sall estime que ces résultats ‘’représentent à peu près moins de cinq pour cent des résultats globaux’’. Ce qui, selon lui, ne permet pas d’avoir ‘’une tendance lourde’’.
‘’Donc, on attend. Les Sénégalais se sont exprimés. Et puis nous leur tendons l’oreille, pour savoir exactement ce qu’ils ont dit. Donc, nous sommes au moment où nous collectons, nous essayons de comprendre ce que les Sénégalais ont exprimé’’, a-t-il expliqué.
En conséquence, il estime que ‘’c’est aller très vite en besogne que de tirer une première conclusion ou une première leçon’’.
Il s’est félicité du bon déroulement du scrutin. ‘’Ce qu’il faut retenir, dit-il, c’est que tout s’est passé assez correctement. Il n’y a absolument pas eu de violences. Les Sénégalais sont allés librement. Franchement, (…) on est fiers d’être Sénégalais et de notre démocratie et surtout, surtout que nos citoyens sénégalais ont fait la leçon à certains hommes politiques’’.
Pour El hadji Amadou Sall, à travers ce scrutin, les Sénégalais ont ‘’fait au monde entier une véritable leçon de démocratie’’.
A la question de savoir si le candidat sortant est disposé à aller à un éventuel second tour, Me Sall a dit : ‘’ Le candidat Abdoulaye Wade a parlé, il a plusieurs fois parlé. Je crois qu’il n’est pas suffisamment écouté.
Le candidat Abdoulaye Wade ’’avait dit dès le départ qu’il est malgré tout et en dépit de tout le gardien de la Constitution et qu’il doit veiller au bon fonctionnement des institutions.’’
Poursuivant son propos, il ajoute : ‘’Il a dit qu’il se soumettait aux institutions. (…) Il a dit le départ que je me soumettrai à ce que le Conseil constitutionnel décidera, au verdict des urnes. Il a dit si je suis vaincu, je féliciterais le vainqueur (…)’’.
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